Les meilleurs avis sur les Arts et Culture
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Les plus : la beauté de Mimi, la perversité, le suspense
les moins : démarrage trop lent
L'histoire est géniale. On sait que ça va mal finir (le "narrateur" est en fauteuil roulant), mais on se demande comment il en est arrivé là, et surtout on découvre ensuite qu'il est possible de descendre plus bas encore. L'amour est fort, et on voit bien toutes les phases: euphorie, lassitude, tentatives de relancer la machine avec le SM et la jalousie... Puis la séparation, pour éviter la déliquescence du couple. Le mariage entre les personnages est parfaitement logique: ils s'aiment et se haïssent avec une telle intensité! Certaines scènes (la danse, reprise sur l'affiche, le lait au petit déjeuner...) sont sublimes. Une belle mise en image d'une exploration des dangers que pose la démesure en amour et la surenchère dans la perversité.
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3 Commentaires
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Scénario & Dialogues |
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Les plus : suspens, thème de la manipulation
les moins : pas d'un très grand intérêt
Ce dvd nous a suivi pendant des années, dans tous nos déménagements, sans que fredB consente à le regarder avec moi : il l'avait vu une fois, cela lui suffisait. Je ne connaissais pas ce film, n'avais pas envie de le voir seule, j'ai donc attendu patiemment. Et voici que le cds propose une rubrique consacrée aux films avec ce Basic instinct que je n'avais jamais vu. Je me suis servie de ce prétexte pour le mettre le dvd sous les yeux de FredB, nous l'avons donc regardé. Je comprends à présent pourquoi il ne souhaitait pas le voir une nouvelle fois. A moi aussi, une fois suffit ! Je ne dis pas que le film est mauvais. D'ailleurs, je n'ai aucune compétence particulière pour juger de la qualité du scénario, de la mise en scène, etc. J'ai donc mis cette note de "correct" parce que ce n'est pas trop mal sans être formidable. Seulement, j'étais pressée de le voir fini, je l'avoue. La scène la plus marquante selon moi est lorsque la jeune femme, soupçonnée de meurtre, utilise ce même pic à glace qui a servi à tuer pour casser les glaçons. FredB me dit que "la" scène est celle du commissariat. Il est vrai qu'elle est assez particulière. Voilà donc pour moi un film qui s'articule autour de ces brefs passages, et cela s'arrête là.
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Les plus : Toutes les cultures, toutes les époques, toute forme de sexualité sauf la pédophilie, pour cause, y sont représentés sur 3 étages + cave.
les moins : Négatif, non mais dommage qu'il n'y ait pas plus de posters ou d'autres produits papeteries que l'on trouve dans l'expo, tel que les étiquettes de vin, un peu "osés", au coin librairie.
Mon amour et moi, nous nous sommes régalés pendant des heures.
Côté interactif et surprise garantie: il faudra bouger un peu, changer de perspective, se pencher sur certaines "maison de poupées" afin de trouver un voyeur, un client, un fesseur dans le miroir...
Une raison pour revenir: à part les exhibits qui resteront de façon permanente, il y aura toujours une ou plusieurs expos itinérantes (veuillez vous renseigner sur le site-web), les vidéos montrés ne sont pas tjs les mêmes, la musique de fond ne l'est non plus.
La petite librairie-papeterie à la fin de l'expo offre un choix délicat de posters, livres, timbres osés...
Last but not least: un accueil chaleureux et un service aimable et compétant.
C'est sûr que j'y retournerai, d'autant plus que les heures d'ouverture (de 10 h du matin à 2 h du matin!) ne posent aucun problème.
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1 Commentaire
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Scénario & Dialogues |
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Les plus : Acteurs, réalisation, histoire, développement des personnages
les moins : aucuns
"Bad Guy" n'est pas à proprement parler un film érotique. Mais le contexte et certaines situations le sont.
L'histoire: Une jeune femme attend son amoureux sur un banc. Elle est repérée par un homme qui l'abordera et qu'elle rejetera sèchement, avec dégout presque. Son ami arrive, cet homme les observe puis...vient vers eux et embrasse la femme, longuement, malgré sa résistance, malgré l'ami qui veut le détacher, malgré le public choqué et il sera finalement repoussé assez violement. Elle exigera des excuses de lui en public. C'est le début d'une machination de cet homme, humilié, rejeté qui la piègera pour l'obliger à se prostituer, pour la...placer à son niveau. Il l'observera toujours au travers d'une vitre sans teint et y sera de plus en plus attaché, à sa manière, rustre, sans jamais lui dire, sans jamais parler d'ailleurs (la scène ôù il parlera étant une des plus marquantes et émouvantes du film, de manière...inattendue).
Ce film est particulièrement bien joué, surtout par l'acteur principal qui réussi à tant exprimer avec si peu de mots.
Le réalisateur quant à lui, présente dans la plupart de ses films, des histoires d'amour atypiques, choquantes parfois. Il nous montre en tous cas que l'amour peut prendre bien des facettes...
Très recommandé.
La bande annonce: http://www.youtube.com/watch?v=PmH1c_LheuI
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Les plus : acteurs, développement des personnages
les moins : aucuns
L'histoire: Un jeune homme revient voir un de ses anciens ami de fac, avocat, avec une vie bien installée et une jolie femme...qu'il trompe avec sa soeur. Ce jeune homme, très mystérieux, éveillera la curiosité de l'épouse trompée (qui ne sait pas qu'elle est trompée) Elle découvrira que ce jeune homme est impuissant et que ce qui l'intéresse, c'est...filmer des femmes parler d'elles, de leur sexualité.
Voilà, je ne vais pas en dire plus. Mais ce film est génial, très subtil. James Spader y est époustouflant de sincérité. Laura San Giacomo est assez torride mais il ne faut pas s'attendre à des scènes de sexe très démonstratives. Quant à Andie MacDowell, c'était son premier rôle mais aussi probablement un de ses meilleurs. Le film est très psychologique, très confidentiel et aussi assez érotique. Le fait de voir ces femmes accepter de se confier devant la caméra devant un inconnu dans une chambre qu'elles ne connaissent pas est assez érotique en soi. Hautement recommandé.
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Scénario & Dialogues |
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Les plus : ambiance glauque verhoeven quoi, dialogues aiguisés, charge d'érotisme, ambiguité dans les relations, suspense haletant dans l'évolution de la psychologie des personnages, le scénario en lui même
les moins : la fin en eau de boudin je trouve, le second basic instinct beurk
Voici mon avis, sur un film qui m'a profondément plu non pas par l'érotisme au départ du film mais vraiment par l'ambiance qui y règne.
Bon, faut savoir que c'est du Paul Verhoeven, un gars un peu torturé (y'a qu'à voir Hollow man) voire sadique. C'est dérangeant, c'est bizarre, c'est tout ce que vous voulez pourvu que ça choque! lol
Mais bon, l'alchimie ne se fait pas qu'entre Nick et Catherine (gardons les noms des personnages) mais tous les personnages se fusionnent et ont une intéraction entre eux. Tout s'entremêle. Les rôles ont tous un but. Allez, j'arrête mon analyse pseudo psy du film!
Tout ça pour dire que dans ce film règne une ambiance glauque et psychédélique mêlant sexe, drogue et rock and roll (c'est quand même une star du rock qui est assassinée au début!) et notamment les scènes de sexe qui sont vraiment très bien tournées.
Mes scènes préférées: la scène de la première fois entre Nick et Catherine. La discothèque (la musique est fabuleuse notamment), j'adore tous les dialogues.
Et bizarrement le rôle que je préfère dans ce film c'est celui de Gus, l'équipier de Nick le flingueur! Il est monumental George Dzundza dans ce film. (doublé en VF par Daniel Russo que l'on a vu notamment dans neuf mois. Une VF du film d'ailleurs de très bonne facture.)
Bref, vous l'aurez compris j'ai adoré ce film. Et surtout, ne regardez pas Basic Instinct 2. Ca vous gâcherait le premier!
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Scénario & Dialogues |
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Les plus : la moiteur de l'Indochine, l'éveil brûlant à la sexualité d'une adolescente
les moins : le phrasé insupportable de Marguerite Duras
J'ai vu ce film lorsque j'étais adolescente, il a eu un impact certain sur mes désirs. Bien sûr pour ma première fois je n'ai eu droit qu'à un jeune homme de mon âge, qui s'est débrouillé gentillement et honorablement, mais sans l'aisance et la dextérité que confère l'expérience. J'avais seize ans. C'était un mercredi après-midi, j'étais allée dans la grande maison vide au sol de marbre de ses parents. J'y étais allée pour ça, rien que pour ça. J'aurais voulu qu'il me prenne là, à peine passé la porte d'entrée, sur le sol de marbre dur et froid. Mais les adolescents sont pleins de convenances, il m'a aimablement et interminablement parlé puis emmenée à tâtons dans sa chambre et j'ai connu ma première pénétration sur un lit étroit, les volets clos, par lesquels passaient des rayons de soleil. C'est une chose que j'ai aimé. Après, je suis allée ouvrir ses volets, nue, mon corps en plein soleil. Il était terrifié que quelqu'un me voie. J'ai ri et refermé les volets. Je suis repartie tout de suite après, par le bus. Mon départ précipité l'a surpris. Je n'étais pas venue pour discuter. J'aimerais parfois reproduire cela. Ne venir que pour être possédée. Et repartir après. De cette première fois il me restera un éternel regret. Tan pis pour le sol de marbre. Dommage. On ne devrait jamais confier une première fois à un débutant.
Visiblement Marguerite Duras a eu plus de chance que moi. Ce film est l'adaptation de son roman autobiographique qui raconte les amours de la jeune Marguerite avec un homme fait, chinois de surcrois ô scandale. Nous sommes en Indochine dans les années 1930. Elle a quinze ans et demi et lui trente-deux. Elle vit dans la "Maison de Sadec", avec son institutrice passive de mère qu'elle aime et méprise, son frère aîné violent qu'elle craint et son frère cadet chétif qu'elle adore. La famille est ruinée, suite à la mort du père et aux mauvais investissements de la mère. La semaine elle poursuit ses études au lycée et loge à la pension Lyautey, du moins les rares nuits où elle ne va pas retrouver son amant dans la chambre obscure donnant sur la ruelle bruyante.
Elle ne l'aime pas, malgré les larmes des dernières scènes. J'aurai préféré la voir s'éloigner du rivage les doigts crispés dans la bouche et l'autre main serrant convulsivement son entre-jambe. Nous avons eu droit aux larmes du départ, plus conventionnelles. Tan Pis. Lui... éprouve de la tendresse et aimerait bien l'épouser, sans toutefois obtenir la permission de son père. Une putain blanche et pauvre? ô scandale. Mais l'aime-t-il vraiment? Hum, la question reste ouverte.
Ce qui les lie est ailleurs. "La jouissance qui fait crier". L'écriture de Marguerite Duras qui passe constamment du "je" au "elle" et semble ne pas connaître l'existence des mots de liaison est à vomir (la voix rocailleuse de Jeanne Moreau en voix off en rachète quelque peu le phrasé détestable), mais des petits bouts de lyrisme évocateurs sont à relever. Notamment cette jolie phrase: "Là où, chaque soir, les yeux clos, je me fais donner la jouissance qui fait crier." Elle met en exergue cette passivité face à un pourvoyeur de plaisir, mentor tout-puissant. Cette impuissance face à l'appel des sens, au mépris des conventions et autres bienséances. C'est aussi ce que j'aime dans ce film: leur différence d'âge scandaleuse, leurs milieux différents. Ils aiment s'égratigner au cours des dîners, elle lui jette ses honteuses origines chinoises à la figure, il lui répond que sans sa virginité elle ne pourra plus se marier. Double déshonneur qu'ils partagent comme ils partagent leurs corps enfiévrés. La famille de la petite vomira sur ce chinois tout en acceptant ses largesses, le père de l'héritier rejettera sans appel cette possible mésalliance.
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Architecture & décoration |
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Accueil |
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Richesse de la collection |
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Intérêt de la collection |
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Mise en scène |
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Documentation et signalétique |
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Rapport qualité/prix |
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Note Générale |
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Les plus : richesse de la collection, les horaires d'ouverture
les moins : les explications déplorables, une organisation inexistante
Le 14 juillet dernier, LoupBlanc et Anonyme26 ont visité le musée de l'érotisme de Paris situé en plein coeur du sulfureux Pigalle, à deux pas du plus galvaudé Moulin Rouge. Qu'il est loin le temps de Toulouse-Lautrec... ce bon vieux Paris jadis encanaillé et gouailleur ressemble davantage aujourd'hui au clinquant sordide des néons de Las Vegas... De facto la devanture du Musée de l'Erotisme est assez quelconque, j'aurais attendu des rideaux pourpres et une enseigne en bois sculpté là où l'on me servit du plexiglas et une allure général moderne et proprette, oserais-je dire aseptisée. L'entrée est un peu plus accueillante, avec idoles, amulettes, masques et autres objets de cérémonies, voire des objets du quotidien, tels que vases, coupes, couteaux, mobilier... Le sous-sol et les deux premiers étages sont aussi constitués de ce ramassis éclectique d'objets souvent à visée sacrée, parfois à l'usage plus artisanal ou uniquement burlesque ou décoratif. Ils sont originaires pour la plupart d'Amérique du Sud, d'Afrique, mais aussi de Grèce Antique et du Japon (la collection est moins prolixe quand à ces deux dernières provenances). Ces étages-là regorgent aussi de lithographies indiennes, asiatiques, ainsi que d'anciennes photographies et autres dessins coquins plus occidentaux et plus récents (première moitié du XXème siècle). J'ai été fascinée par les objets, mais je déplore les commentaires stupides qui n'éclairaient pas vraiment leur provenance, que ce soit d'ordre géographique ou temporel, ni même l'usage des objets quotidiens ou les cultes religieux relatifs aux objets sacrés. Tout cela sans mentionner les nombreuses fautes d'orthographes et les phrases que l'on retrouve à l'identique d'une vitrine à l'autre, parfois au sein de la même vitrine!!! De plus j'aurais souhaité que les objets soient regroupés, soit par thème, soit par époque, soit par lieux de provenance. Des figurines modernes franchouillardes côtoient des lithographies indiennes et des amulettes africaines, une collection de rosebuds julian snelling trône à côté de pièces de mobilier lubrique ancien et de sculptures récentes... La collection est riche et variée, très intéressante, mais elle n'est pas mise en valeur car elle est présentée sans aucun souci de classement ou d'éclairage culturel, quel dommage! Ceci dit j'ai beaucoup apprécié cette partie du musée.
Au troisième étage, on peut visionner des films pornographiques anciens qui paraissent très libres quand aux diverses pratiques (notamment homosexualité et ô beurk, zoophilie). Cet étage relate également l'histoire des Maisons Closes en particulier et de la prostitution en général, de la fin du XIXe siècle à l’année 1946 (date de la fermeture des maisons closes en France). Cette collection est riche: photos et œuvres graphiques qui nous plongent dans l'univers des Maisons Luxueuses mais aussi de la misère de la rue. Ces images ne concernent pas seulement les parties « festives », mais aussi le quotidien des filles de joie. J'ai trouvé les textes beaucoup plus intéressants, quoique je sois là aussi restée sur ma faim d'informations. Quelques documents, tels que des « notes de frais » viennent compléter cette exposition, ainsi que des lithographies de Degas (Toulouse-Lautrec, où es-tu???).
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Scénario & Dialogues |
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Scènes érotiques |
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Les plus : Il surprend
les moins : .
Rayon DVD, la jaquette m'interpelle, il faut bien avouer que le "profil" est séduisant ! "La Secrétaire", jamais entendu parler... zou, je retourne le DVD, le synopsis reste mystérieux et les critiques enthousiastes.
Une fois le dvd glissé dans le lecteur, et les premières images passées, je ne peux m'empêcher de me demander quel genre de film je viens d'acheter. Le ton est donné !
Un film BDSM ??? Les a priori reviennent vite, mais le film fait un retour en arrière, 6 mois auparavant et on découvre notre héroïne dans un tout autre rôle ! Celle d'une jeune fille mal dans sa peau, pratiquant l'automutilation. Ce poste de secrétaire va transformer sa vie. Sous l'emprise de son patron qui cherche lui-même à s'affranchir de la domination de son ex compagne, en dominant lui-même, l'héroïne s'épanouit enfin.
Mais le film, loin du cliché dominant qui maitrise et soumise qui subit, se penche sur la complexité de la relation amoureuse. Alors qu'elle assume et s'épanouit, c'est lui qui doute et recule !
Un film plein d'humanité qui, au dela du bdsm, parle de sentiment mais aussi de doutes et de sexe librement consenti. Il mérite vraiment d'être regardé !
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Scénario & Dialogues |
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Mise en scène & Réalisation |
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Jeu d'acteur |
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Scènes érotiques |
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Les plus : un film puissant, atypique, dont on se rapelle
les moins : un film dur, ne convient pas pour une soirée détente.
C'est un film très bien fait, qui traite intelligemment des rapports humains.
Il raconte l'histoire d'un jeune couple, dont la fille est malade du cancer, qui va tenter l'expérience du triolisme.
La maladie, le désir, la jalousie, la haine, sont finnement imbriqués pour former un drame fort et marquant. Le film est dur par les sujet dont il traite, mais reste visible, même pour des personnes sensibles. Il est violent dans ce qu'il exprime et dans ce que ressentent les personnages, mais peu dans la mise en scène.
à voir.
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Scénario & Dialogues |
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Mise en scène & Réalisation |
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Jeu d'acteur |
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Scènes érotiques |
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Intérêt du film |
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Les plus : Visuellement superbe, ambiance futuriste, film d'ambiance
les moins : Manque de dialogues, scénario pas assez exploité
I.K.U. est un film expérimental. Une sorte de mélange entre porno soft, Blade Runner, clip video, jeu video. C'est un film à regarder comme on écouterait de la musique. On se laisse prendre par l'ambiance ou pas. Le film nous plonge dans un univers où le plaisir sexuel se consomme en pilules. Pilules aux données récoltées par des androides chargés de récolter des expériences. Ca pourrait nous donner un film au scénario palpitant du genre Blade Runner ou au contraire un nanar SF. Ce n'est ni l'un ni l'autre. L'ayant vu au cinéma, je peux dire que le public était partagé. Certains applaudissaient, d'autres avaient l'air franchement déçus. Quant a moi, ayant lu une critique, je m'attendais à un film de SF érotique avec scénario, dialogues, intrigue, etc...D'où ma déception sur le moment. Et pourtant, quelque chose m'a plu dans ce film (j'ai acheté le DVD par la suite) mais j'étais allé le voir sur une mauvaise base. Comme je l'ai dit plus haut, c'est plus une ambiance, des images superbes, de beaux acteurs/actrices, certaines scènes très érotiques, des effets visuels particuliers et une musique assez spéciale qui colle bien au film. C'est sur cette base qu'il faut le regarder pour pouvoir l'apprécier. Recommandé pour ceux qui veulent quelque chose de différent.
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Scénario & Dialogues |
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Mise en scène & Réalisation |
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Jeu d'acteur |
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Scènes érotiques |
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Intérêt du film |
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Note Générale |
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Les plus : la plastique des acteurs/trices
les moins : intrigue policière un peu "cul-cul"
J'ai eu la "joie" cette semaine d'être coupé du monde d'internet -vive les soucis informatique" du coup j'ai un peu plus accaparé la télécommande de la TV. Et par pur bonheur nos chaînes de Tv nous ont rediffusé ce film. J'avais déjà visionné ce film à sa sortie. Et j'avais gardé un excellent souvenir, scènes saphiques, beaux acteurs, plastiques des filles, intrigues policières etc,, Tout m'avait vraiment plu dans ce film, je n'avais pas arrêté de "saouler" tous le monde avec ça. Sûrement mon jeune age à l'époque , loll !!
Mais cette semaine en le revoyant,,,Pouahhhh !! Nul !!! Si,,, reste juste, la plastique des acteurs auquelle je ne suis pas insensible, mais pour le reste, ce film est vraiment dépassé, je n'ai même pas fini de le regarder, j'ai préféré câliner mon chéri, c'est pour dire.
En conclusion, je dirais un film qui avait cartonné à sa sortie, mais aujourd'hui il vous semblera plutôt fade.
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