Les meilleurs avis sur les Magasins physiques

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Ouverte depuis mai 2007, cette "boudique"® (mot-valise formé de boudoir et boutique, invention à laquelle on tient comme issue de la maison) est un petit espace qui vous transporte hors de la dimension ou vous vous trouvez lorsque vous flânez dans les couloirs du musée vivant qu’est Rome.

D’abord, l’enseigne : les clubiens reconnaîtront la célèbre photo de couverture du magazine Bizarre, réalisée par John Willie. Cette photo (voir : produit > sexgamebook histoire culturelle sexualite) fut choisie comme logo de la boutique, tout en glissant les petins fantasmagoriques entre les deux parties du nom, en soi tout aussi évocateur, et qu’il me soit permis, tout aussi vintage : Misty Beethoven (de son nom complet de film : The opening of Misty Beethoven) fut un film révolutionnaire à son époque (1975), entre autres (comme une intrigue, des dialogues un peu plus réfléchis) parce qu’il montrait une pénétration femme-homme.

En entrant dans la boutique, on est reçu par une ambiance rouge, feutrée, mystérieuse. Qui est très souvent la scène de toute sorte d’événements*
Mais même en absence de ce type d’occasion, la boudique est immergée dans une atmosphère d’autres temps.

Commençant par les vendeuses, toutes en mise de soubrettes vintage (un mélange entre les cigarette girls des secrétaires coquettes que l’on voit dans les films des années 1940), qui, du haut de leurs talons vertigineux, vous dirigent un sourire charmant d’une rougeur irrésistiblement scandaleuse.
Un tableau parfaitement complété par le fond : des étagères bien nanties des produits de la marque Agent provocateur.

Certes, avec les produits proposés à la clientèle on fait un saut de quelques décennies pour revenir aux temps des cannetons Big Teaze, des merveilles Lelo, des élégants dildos en céramique de Goldfrau…
Les deux pièces de la boudique sont chacune équipées d’un meuble qui invitent à s’asseoir et prendre son temps avec les produits et les vendeuses : la première pièce une sofa bergère et la seconde un volumineux ottoman rond.
J’avoue que ce dernier m’a semble particulièrement approprie : on peut avoir une vue globale de la pièce rien qu’en s’affalant sur ce meuble aux airs orientaux… Et cela vaut le coup, parce que la seconde pièce est celle des trésors pour les goûts particuliers : en entrant, à droite une grande panoplie avec des jouets pour les amateurs BDSM, les autres murs cachés par des belles vitrines pleines des belles choses : godes en métal, céramiques, quartz…

Une autre section qui est soigneusement fournie : les vêtements. Que cela soit de la lingerie pour les dames qui ont envie d’explorer leur cote « courtisane », ou pour celles qui veulent se tester en guise de Wanda Dunajew, ou le contraire, O, ou pourquoi pas, alterner le tout ?
Parce que chez Misty Beethoven, on songe à tout cela : lingerie en dentelles de rêve, tout comme en cuir, latex et vinyle…
Sinon, les retifistes aguerris pourront trouver leur bonheur : bottes, escarpins, et les chaussures vintage… des talons qui ont l’air de vouloir émuler les « calcagnetti » des courtisanes de la Renaissance… (d’accord, cela arrive pas jusqu'à mi-mètre, vu que ce n’est pas le même type de semelle, mais cela touche légèrement les 20 cm…)
Malheureusement, les prix sont assez élevés pour cet article vestimentaire… Mais quand on aime, on ne fait pas attention à l’argent, comme on dit dans mon pays…

Bref, si vous perdez vos pas lorsque vous sillonez le périmètre délimité par la gare Termini, il Quirinale (Palais du Quirinal – l’Elysée italien) et le Forum romain, pimentez votre route d’une petite visite chez Misty,  pour sniffer les 1940 hollywoodiens comme vous priserez du Michel-Ange au Vatican. (ouhla, fallait l’oser celle-la ! ;) )

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Si, il y a une semaine, je vous ai présenté la Sensuelle, cette semaine vous connaitrez la chérie frivole : Darling Frivole. Sans être une néophyte en matière des love stores, il me faut admettre que c’est la première boutique (de profil) de luxe - dans le sens propre du mot – dont j’ai franchi le seuil.

Certes, la façade dans la photo ne vous dira pas grande chose. Mais un indice qui la campe dans la classe luxe c’est déjà son emplacement : perpendiculaire sur la rue Maximilian – une des quatre avenues « royales », où toutes les marques de renom s’empressent d’avoir leur espace -  et tout près de la place dominée par l’ancien palais royal des Wittelsbach.

L’intérieur de la boutique ne dévie pas de la ligne chère aux love stores : ambiance tamisée, sexy-chic, avec les produits disposés dans un ordre « par hasard, mais avec un clin d’œil espiègle » qui fait pointer dans un coin de la tête l’idée : « ah, ce serait chouette d’avoir ce coin dans mon nid à folies ! Tiens, pourquoi pas essayer… et pourquoi pas commencer avec ce jouet-là ? »

Mais Darling Frivole joue dans la ligue des grands : son offre cible les gouts les plus exigeants. Si je vous dis que les Lelo et le Rock Chick sont parmi le plus accessibles comme prix, je pense que vous pouvez concevoir le niveau…
Si vous êtes un inconditionnel de Toy Joy, Seven Créations & co., vous serez déçu·e·s.

Loin de moi de vous inculquer des a prioris envers cette adorable cave d’Ali Baba. (et vu le choix, l’expression est particulièrement adaptée).
D’ailleurs, dès vos premiers pas dans la boutique, vous vous sentez comme une VIP grâce à l’attention de l’accueil !
Une très charmante dame, en mise idoine pour une cocktail-party huppée (partner in crime a hasardé : une ancienne mannequin ?), vous présente, patiemment et avec déluge de détails techniques et pratiques, les produits qui ont suscité votre attention. Et même ceux que votre attention a omis…

Vous pouvez tester textures, vibrations, poids, dimensions, odeurs.
Des marques exposées sur les présentoirs, dans les niches et sur les support affectés à mettre les produits en valeur : Lelo, JimmyJane, Myla, PVibe…
Les dildos en acier semblent d’être recherchés, ce qui explique le grand choix disponible. Le nom de la marque m’échappe, mais les objets sont très beaux. Les dildos en verre sont ceux de la marque « chouchou » des lovestores : Xsela.

Lingerie, accessoires, déguisements et produits bien-être sont dans la même direction : bon goût, mais un peu plus conventionnels comme choix. Mais pas comme prix.

Cote culture : quelques titres littéraires consacrés et des DVD avec des classiques érotiques.

Bref, Darling Frivole vaut une visite. Pas juste pour le joli cadeau glissé dans votre tout aussi joli sac d’achats. Mais aussi parce que c’est flairer une ambiance que l’on n’a pas l'habitude d'associer avec le monde des sextoys.

J'ai décidé de ne pas noter les prix. Juste parce qu'ils sont élevés, cela ne veut pas dire qu'ils sont mauvais. Les matériaux dont sont fabriqués la plupart des produits et les prix bas, ça fait deux.

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Le routard sensuel qui se dirige de la gare centrale de Zürich vers le centre palpitant de la ville – quai du Limmat et le lac - ne peut pas omettre cette petite boutique à la façade discrète, mais élégante. Seule les objets exposés dans les vitrines – et peut-être le nom - en suggèrent le profile.

En entrant on est surpris par la propreté, par le bon ton et l’ambiance de paix qui règne dans la boutique. (Le « swiss touch », je suppose. :) )
(Qui plus est, ma visite eut lieu au milieu du mois d’août, mois de vacances…)
L’ambiance est fidèle à la tendance « hédonisme chic » qui s’est imposée dans ces derniers temps. Un petit love shop à l’atmosphère ouatée - sans être tamisée, sensuelle – sans être indécente. Posément espiègle, pour en dire ainsi.

Le choix est de qualité. Mais il suit un peu trop des chemins battus (ceci, si on est un·e habitué·e de ce type de boutique). Ce qui, vu sous l'angle pratique, est bon signe : on peut compter sur trouver les produits qui font tendance ou les produits connus.

La gérante (qui fait également office de vendeuse) a à cœur de savoir sa clientèle satisfaite. Cela transparait dans :

- son accueil impeccable : patience, écoute et conseil, le paquet est complet ! Ajoutez-y un sourire de poupée comme attention supplémentaire !

- le choix de produits.
Certes, assez conventionnel avec les marques que tout clubien régulier saurait nommer même à peine éveillé du sommeil : Lelo, Jimmyjane, Fun Factory. Les godemichés en verre sont aussi présents, ce sont les créations chic de la marque Xsela, que je connaissais déjà de Vienne.
J’ai enfin pu tester le Hitachi Magic Wand. (Mais juste l’espace d’une minute, et pas très près des endroits stratégiques. Ces vibrations sont carrément « dangereuses »  en public !)

Coté bien-être, les marques Shunga, Kama Sutra, JimmyJane, Gliss, Pjur sont en tête de peloton.

Pour l’esprit ludique, les marques Bijoux Indiscrets et Maison Close offrent des options intéressantes et nombreuses.

La lingerie a le tact de vous faire oublier son prix grâce à sa beauté éthérée. Parmi les broderies, la soie et le voile on découvre les « tatouages » de dentelle d’Aubade, les strings de perles de Bracli…
Un bémol serait l’absence de lingerie pour les dames à silhouette rubensienne. (Enfin, j’avais remarque que dans ce genre de boutique, on était soucieux de ne pas oublier aucun•e client•e)

La culture a aussi son coin a elle : des superbes albums photographiques, livres de recettes, littérature érotique (traductions vers l’allemand des classiques, mais aussi des plumes germanophones plus ou moins connues)

Question prix, mes craintes furent infirmées : les prix s’alignent à ceux pratiqués en autres pays, comme Autriche, Allemagne, France, Belgique ou Pays Bas…
(Cela en effectuant une conversion ad-hoc du franc suisse en euros...)

Sensuelle est un petit espace agréable, à l’accueil irréprochable et souriant (on s’attend presque d’en trouver un ou deux sourires en ouvrant le joli sac avec achats une fois rentrée !), malgré son emplacement un peu loin du cœur fréquenté de la ville.

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Tutti Passi est une charmante petite boutique située sur une rue assez commerciale, pas loin du vieux centre d'Anvers. Du à son emplacement, sur une rue qui ressemble à un chapelet de boutiques, ce petit love-store peut passer presque inaperçu.
Presque : des vibros nichés parmi quelques accessoires coquets et des bougies de massage aimantent l'œil du connaisseur d'abord, sa personne entière ensuite.

D'ailleurs, ce qui renforce le coté discrétion : la présence de toutes les autres boutiques. Tutti Passi s'aligne dans la longue chaîne de boutiques sur la Hoogstraat avec le même naturel que les dents sur les gencives.
Les visiteurs y entrent avec la même aise que dans une épicerie, mercerie ou autre.

La boutique est petite, mais bien éclairée et aérée.
Les objets se rangent soit sur les étagères sur les murs, soit sur des coquettes tables en verres.

Le choix est assez restreint, mais chic et de qualité. On y trouve les marques "fétiche" comme Lelo, Kamasutra, Shunga, mais aussi des marques que l'on retrouve fréquemment dans les boutiques de charme et sexshops belges et néerlandais : Mae B et/ou Ree.
Comme tendance, on mise sur l'élégance légèrement assaisonnée - mais pas plus que quelque menotte à fourrure relevé d'une idée de fouet - de SM très soft. (Faut suivre la mode !)
La boutique commercialise également de la lingerie : les modèles, pas nombreux, font le plaisir des yeux et du toucher.

Coté bien-être, on trouve, a part les produits qui font ravages parmi les connaisseurs (je parle principalement des bougies et des huiles de massages), des petits gadgets assez amusants : je me suis longuement amusée avec un savon vibrant ! (Je n’en avais jamais vu avant, donc je me suis déchaînée comme une gamine !)

L’accueil est poli, souriant, pas envahissant, et muni de la patience pour répondre aux questions. (Dans la limite des connaissances, quand même. Ce qui recommande la boutique aux débutants, plutôt qu’aux vieux renards.)

Les prix suivent la tendance que j’avais déjà remarquée dans les autres boutiques de profil belges, c'est-à-dire un brin plus cher qu’en France (mais cela dépend aussi de la boutique.

Un petit bémol : au cas ou vous faites des achats, ceux-ci vous seront remis dans un simple sac en plastique. La boutique ne semble pas avoir des sacs personnalisés.

En grandes lignes, c'est une boutique sympa à visiter si on souhaite se faire une idée sur l’ambiance des love store belges, si on veut faire un achat d’urgence ou découvrir, pour ceux qui font leurs premiers pas dans le fascinant monde des sextoys.

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Une petite boutique dont l'enseigne en forme rectangulaire rouge vous fait signe comme une grande main si vous vous trouvez sur le point ou la Mariahilfer Straße croise la Otto Bauer-gasse  à Vienne. C'est ainsi que l'on l'a découvert.

La boutique est formée de deux pièces, dont celle principale est celle d'accueil et la seconde, toute petite, rappelle un salon oriental: en petites armoires en verre on voit un choix (pas trop ample, vu que le profil de la boutique est quand même centré sur les préservatifs et accessoires) d'objets de chez "Natural Contours", des vibromasseurs et des chapelets. Dans un petit panier, sur des coussins en couleurs chaudes, des Layaspot se régalent comme des dignitaires ottomanes.

Mais rentrons à nouveau dans la pièce d'accueil.
L'espace assez petit est presque entièrement réclamé par les étagères chargées par des boites, petits paniers et bouteilles... C'est une profusion d'objets et couleurs, mais qui ont quelque chose de très petillant, et on est loin de se sentir étouffé. Par contre, on se sent comme dans une mansarde pleine des souvenirs.

Les vendeuses sont très sympa, communicatives sans être envahissantes, patientes, souriantes.

Le choix couvre:
- des préservatifs des différentes marques
- lubrifiants des différentes marques
- la gamme Shunga : huiles, peinture de corps et baumes (celui à la menthe m'a vraiment tentée!)
- des sucreries érotiques: chocolat en formes aguichantes, chocolat "consolateur", bonbons jouissifs, sucettes stimulantes... (pas gouté tout cela, je me suis contentée de grignoter les petits cœurs en sucre fruité offerts aux clients dans une petit drageoir sur le comptoir)
- jouets-fanfreluches et jeux de société
- les duckies!!!
- accessoires pour le bain: huiles, sels, mousses de bain, boules effervescentes, les éponges vibrantes...
- le nécessaire pour le massage

Pour chaque achat on vous offre des préservatifs en cadeau. Cette fois-ci ce fut le tour des condoms au parfum de vanille. Très résistants, mais la vanille n'est pas mon parfum chouchou.

Le site de condomi contient des rubriques supplémentaires, comme par exemple: erotic media (des livres classiques ou en format audio) xxx-treme (pour le côté fetiche) ou on sale (les soldes).

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D'abord, Spartacus est comme un cours en matière de sexualité: il couvre chaque aspect de la sexualité, et il reste toujours tant à découvrir.

Cette boutique fut un des premiers sujets que mon partner in crime a mentionné lors de nos retrouvailles. Il avait du mal à contenir son étonnement et moi j'en eus du mal à croire que quelque chose pouvait encore l'étonner à tel point. Mais le lendemain on s'est rendu au Spartacus et j'ai tout compris.

Or donc, on se promène tranquillement sur Mariahilfer Straße lorsque au dessus d'une porte de boutique, un énorme S qui change de couleur tout en se tournant aimante le regard. On s'approche et lit: Spartacus - Sex World. Mais l'entrée ne se distingue pas trop d'autres sex shops, on ne soupçonne même pas les vraies dimensions de cette boutique qui s'étend sur deux niveaux. A l'entrée, derrière des grands vitres, on voit un choix des objets et accessoires, deux écrans avec le logo de la boutique et un grand mannequin vêtu en latex blanc.
On entre, mais cela m'a l'air encore assez conventionnel. Des toys à droite et à gauche, en peu plus en avant, toujours à gauche un rayon lingerie, dans le milieu un comptoir ... mais on avance pour découvrir la partie des cabines de visionnage. Certaines sont occupées, certaines ont récemment été occupées (;-)). C'est un espace assez grand, qui est connecté avec la pièce de l'entrée par un hall qui abrite la vidéothèque "standard".

Jusque là, rien qui sort de la moule. Mais! Il y a un escalier, dont les marches mènent à l'enfer (ou au paradis???) Laissez tout espoir lorsque vous y entrez, cela créera de l'espace à l'étonnement! Et si vous êtes pressé-e-s, mieux vaut ajourner votre visite ici.

Mais essayons une visite dantesque foudre:
- premier cercle: mediathèque. Vidéos gay, fetiche, revues ( avec une importante proportion des revues asiatiques ), albums, calendriers, cartes postales, livres, mangas;

-deuxième cercle: accessoires SM/SD. Et là il est temps des questions (cela peut servir a quoi??? est-ce possible d'insérer cela???)
Je m'explique: pour un outsider de la scène gay, certains objets peuvent vraiment intriguer. Bien sur, on a déjà vu des plugs, mais s'ils ont la dimension de la tête d'un bébé? Des chaines, des menottes, cela oui aussi. Mais quand on tombe sur des objets a trouver plutôt dans un cabinet de gynécologie?
Enfin, en autres rôles: bijoux, bagues O, pinces à seins, bijoux d'urètre, laisses et colliers, baillons, ball stretchers, ceintures chasteté, deformeurs de nez, des godes longs quant un bras, fisting toys, des gros et lourds chapelets en acier dont on se demande comment on fait pour se tenir debout avec?
Si votre tête ne tourne pas encore assez, vous trouverez la niche qui abrite des grands placards remplis d'objets destines aux lavements anaux.

Si vous avez fini de prendre notes, on avance encore.

- troisième cercle: lingerie et déguisements spéciaux. Il y a le coin lingerie en cuir, le coin lingerie en latex, le coin lingerie en vinyle. Les retifistes sont gâtés avec deux murs d'étagères avec des bottes, chaussures, moules (même en pointure 44!!)

- quatrième cercle: équipement donjon. Là il me faudrait un connaisseur pour les noms  de spécialité, mais en gros ce sont des masques qui s'émulent en avoir le moindre nombre d'orifices, des barres à écarter bras et jambes, des pilori, des croix et brancards pour fixer le soumis dessus, des chaises et fauteuils, même un petit charriot  ou le maitre sera assis lorsque le soumis le promène (il y a évidemment les sabots de cheval prévus pour lui!)

-cinquième cercle: un mur avec des fouets, cravaches et martinets.

En voilà une expéditive visite dans ce mammouth des boutiques. Il y en a peut-être des plus grandes, des mieux achalandées, mais pour l'instant, c'est la plus impressionnante boutique de profil que j'ai vue jusqu'à présent.

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Cette boutique est située dans le 6e arrondissement de la capitale d'Hongrie, sur le boulevard Therese, dans le Pest, la moitié administrative, économique et universitaire de cette belle ville, (Buda étant la moitié vieille, sur laquelle s'étendent les ombres aristocratiques des Habsbourgs)
C'est donc très bien situé (et bizarrement, à peu près tous les sexshops sont a trouver dans le Pest!).
C'est vis-à-vis de la Nyugati pályaudvár (Gare de l'Ouest).

On entre dans un magasin qui a l'air un peu désordonné, malgré le rangement par type des produits...
La boutique est divisée en deux pièces.

Dans la première, juste devant la porte d'entrée, une étagère avec les lubrifiants. Le choix est assez bon, on peut trouver des produits à base d'eau et à base de silicone, parfumés ou neutres, pour utilisation anale...
Les marques sont plus ou moins connues: Pjur, Durex, Joydivision, Doc Johnson...

De l'autre cote, sur la même étagère on trouve les gadgets pour les dames (des papillons vibrants, culottes vibrantes, etc), pour les messieurs (des petits accessoires pour décorer la verge ou pour stimuler la prostate) pour les couples (anneaux et cockrings vibrants).

A droite de l'étagère on trouve une sorte de tonneau rempli, pêle-mêle, des objets en promo (on y trouve des vibros "astro" de Fun Factory à prix modiques!)

Une autre étagère est destinée aux préservatifs. Variété et offre en maxi-paquets sont les aspects les plus louables.

Les murs de la boutique sont le support pour:
- d'un cote: les jouets de la marque Big Teaze (surtout les duckies: on en trouve toutes les couleurs et modelés!), des vibros de Fun Factory, des plugs, chapelets et godes des diverses marques.
Une très plaisante surprise: les godes en pyrex! Lors de ma première visite, ce type de produit n'était pas encore en vente! :)
- de l'autre cote: des produits de presse (calendriers, magazines, quelques bouquins) et une grand choix des DVDs pour divers orientations et penchants.

Il y a aussi un coin ludique, avec lingerie comestible, jeux, et gadgets fun.

La seconde pièce est destinée aux déguisements, à la lingerie et à certains accessoires fétiche.
Le choix est acceptable comme quantité et diversité, mais assez kitsch comme aspect et qualité.
En ce qui me concerne, cette pièce ne m'attire pas trop. Chez Spartacus, à Vienne, c'était plus chic.

Question prix: on peut acheter en monnaie locale (florins hongrois) ou en euros.
Surprenamment, les prix ne divaguent pas trop de la moyenne constatée en Europe occidentale.

L'accueil se fait présent seulement quand on veut payer ou on va poser soi-même questions. Ils sont polis, mais trop absents. Certes, on ne se sent pas épié, mais de l'autre cote, il serait bien d'avoir une personne qui soit disponible pour répondre aux différentes questions...

Bref, pour des emplettes d'urgence si on est sur Budapest elle peut servir de référence, tout comme pour les débutants qui sont sur le point de découvrir.
Sinon, je trouve qu'il y a encore de travail à faire: l'accueil, les emballages des produits que l'on a achetés, une ambiance un peu plus tamisée et sensuelle... Mais qui sait, cela viendra peut-être... déjà qu'en 7 mois il y a eu des changements. ;)

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Situé sur une des principales artères irradiant de la Gare Centrale d'Amsterdam - le Damrak - Drake's a une emplacement très bon.
Cet aspect influe beaucoup sur l'ambiance et l'aménagement de la boutique.

Après le régime copieux des sexshops du district rouge, consistant d'un mélange d'animation des clients, de profusion des produits, des couleurs et saveurs typiques qui font le charme de ce quartier, le climat qui règne dans Drake's semble presque aseptisé et coquet.
Or, les choses sont beaucoup plus décontractées que cela... bien que l'ambiance se plie et s'ajuste aux notes un peu plus posées et commerciales caractérisant le Damrak.
C'est loin d'être tranquille, mais c'est moins fumeux et flamboyant, moins décadent et excentrique que dans le Walletje.

La boutique est très lumineuse et aérée. L'aménagement a une touche un peu trop commerciale, qui "corsète" le profil. C'est une impression étrange : dans les sexshops j'ai toujours l'impression que la nature des produits impose l'atmosphère. Or, chez Drake's les produits semblent "apprivoisés", ils nous confrontent avec le même naturel que le pain dans une boulangerie. On a même pas l'impression d'être dans un sexshop (malgré la présence des certains produits qui dissipent toute doute).

Le rangement des produits dégage une adresse soigneuse. On y trouve des gadgets et souvenirs, produits de presse (revues, affiches), un choix considérable des films (dont on peut faire le visionnage sur place dans des cabines spéciales).
Les toys sont assez nombreux et présente l'entier arc-en-ciel de préférences (fétiche et BDSM, réalistes, fun, voire girly - on n'est pas sectaire aux Pays-Bas, il en faut pour tous les gouts)
Ce que j'ai pu constater dans les sexshops gay c'est le choix plus que satisfaisant des lubrifiants. On peut trouver des versions maxi a des prix très convenables. Je pense même que ce type de shops sont plus indiqués pour les inconditionnels de la sodomie. Car on y trouve une sélection des produits d'hygiène et lubrification spéciales pour cette pratique.

Vu l'endroit - pas loin du Venustempel, l'autre musée érotique d'Amsterdam - Drake's peut être intégré dans une balade aux cibles coquines sur le Damrak.

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Un sortant après une soirée très conviviale dans un très amène local situé pas très loin du Sexodrome, on a décidé d'y aller jeter un coup d'œil. C'était presque 3 heures du matin et - grand étonnement! - c'était encore ouvert.
Notre visite s'est limitée à visiter le parterre, ou il y a assez des choses à voir. Certes, il y a plus grand et encore mieux achalandé, mais quand on a une envie irrépressible d'un petit vibro ou des smartballs après minuit mais on n'en a pas chez soi, c'est une solution. Et bien entendu, que l'on habite Paris.

Sinon, l'impression générale était un mélange de sexshop Pigalle comme le dit très bien Chateign et de sexshop Beate Uhse, car il y a cette pointe de "bordélique" dont je n'arrive pas de m'empêcher d'affubler les boutiques de ce "monstre sacrée" du domaine qu'est quand même la marque Uhse.
Les produits me semblèrent rangés selon une logique qui m'échappait, quoi que je pense que la lignée selon laquelle on s'est guides s'était le type de produit. Ce qui finit par avoir des vibromasseurs haut de gamme (car le Sexodrome en commercialise, oui, oui!) avec des vibromasseurs kitsch, des marques obscures et dont je me demandais si je les avais vus dans le test fait pour établir la teneur en phtalates...
Mais le choix y est. Cela dépend somme toute de la personne:: les débutants seront peut-être accablés, lorsque les connaisseurs et les CDS-istes de souche pourront conjecturer qu'il pourrait y avoir davantage et mieux.
Il y a aussi de la lingerie et elle m'a fait une meilleure impression que leur choix de jouets.

Pour l'accueil, je ne peux pas partager les avis des autres testeurs, tout bonnement parce que, à cette heure-là, l'accueil avait l'attention dirigée vers d'autres choses, et s'est juste contenté de nous saluer quand nous sommes entrés et à nouveau quand nous sommes sortis.

Globalement, cette grande boutique ne m'a pas laissé une impression très profonde ou durable. Peut-être qu'à une heure plus raisonnable et dans une période moins commerciale que celle de Noël, le Sexodrome se présente de manière plus attrayante?

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Parmi les dizaines des sexshops qui se jouxtent dans les rues du Walletje –
affectueux sobriquet du quartier rouge d’Amsterdam, quartier à renom mondial, il côtoie tranquillement des noms comme Rijksmuseum, Rembradthuis ou Anne Frank Huis sur les cartes de la capitale néerlandaise – mon choix pour écrire un avis c’est fermé sur cette boutique fascinante dédiée à l’univers du fétichisme.

Une raison serait le fait que dans la foule des boutiques, Absolute Danny se distingue par une extravagance comme… avoir autre nom que … SEXSHOP.
(Imaginez si j’avais décidé laisser un avis sur chaque boutique visitée : cela aurait été un liste monotone de titres identiques ! Et comme critères différenciateurs l’adresse et les prix ! Car quant au choix, il est souvent similaire !)

Mais la raison principale c’est parce que l’ambiance des boutiques avec cette tendance exerce une fascination magnétique sur moi.
D’habitude, les clients sont plutôt avertis et si une conversation est entamée, c’est détendu et avec un grain de sel. Tuyaux, conseils ou juste des blagues, c’est toujours agréable d’échanger avec.
Les vendeurs n’interviennent que sur sollicitation, ce que j’apprécie. Les vétérans savent ce qu’ils cherchent, les bizuths veulent peut-être leur temps et approcheront quand ils ont effectivement besoin..
Bref, une ambiance ou ne peut que se sentir à son aise.

L’aménagement et les produits de ces boutiques sont les autres facteurs qui interagissent pour générer la force que les boutiques fétichistes ont sur moi.
Lors de mes périples, j’ai déjà pu voir des aménagements aux thèmes différents: clinique, commerciale, donjon, bref, de la variété.

Pour en parler un peu d’Absolute Danny : Comme plusieurs boutiques du quartier, elle existe déjà depuis quelques lustres (13 ans, pour être exacte).
Elle n’est pas situé loin du Musée Erotique, d’un des plus connus clubs de nuit (ou tout•e passant•e est convié•e d’entrer) et des vitrines des dames qui sont actives dans le quartier.
Ce qui inclut notre boutique dans le circuit touristique. Et explique la discrétion de l’accueil : parfois les gens qui entrent sont que des touristes qui veulent une photo d’une boutique fétichiste.

Comme agencement, l’impression est positive : les produits semblent d’être disposes thématiquement et selon matériel.
Cuir, vinyle, latex, caoutchouc, il y en a pour tous les goûts (même si pas pour tous les odorats, ou j’ai un nez trop sensible ? ?).
Trois murs offrent l’espace pour robes, corsets, cagoules, chaussures, gants, jupes, catsuits (hm, quel est l’équivalent en français ?).
Il y a un coin à toys et produits comme lubrifiants (des marques un peu moins connues sur CDS, mais fréquemment et bien vendues dans les sexshops gay à Amsterdam) et produits de protection.
Il y a aussi des accessoires BDSM, mais le choix n’est pas excessif, vu que la spécialité de la boutique sont les vêtements.

Ce dont je garde le plus vif souvenir, c’est l’étagère aux fetish magazines … C’est hypnotisant. Quelle qualité graphique ! Impeccable, les variées orientations ont presque chacune leur magazine spécial. Grand bémol : le prix ! (Mais c’est un brin moins cher qu’en France, quand même… Ce qui ne change rien au fait : ces magazines restent très chers ! Rien au dessous des 12€ ! ?)

Absolument à visiter, l'Absolute Danny !
Quant à ceux qui ne s'intéressent pas à l'univers fétichiste, l'endroit vaut le coup ne serait-ce que pour dire que l'on a mis pied dans un endroit en train de devenir objectif touristique lui-même.

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Lady Paname est une boutique idéalement située : si on se ferme pour admirer un des plus connus symboles de Bruxelles, la Manneken Pis, il suffit de regarder la long de la rue des Carmes pour repérer l'enseigne de cette charmante boutique ! De toutes les boutiques vues en Belgique, ce fut la plus agréable découverte.

L'espace de Lady Paname s'étend sur deux pièces. Aucune d'entre elles n'est pas thématique.
La disposition des produits ne suit pas un concept précis, mais l'emménagement dégage une note de pétillant, d'esprit vif et élégamment excentrique, le tout agrémenté d'une touche de vintage.

L'ambiance est tamisée : un peu plus poudrée dans la première pièce, un peu plus fumeuse dans la seconde.

La première pièce est très coquette, avec un arrangement ouaté...
La coiffeuse qui fait support aux soins et accessoires de la marque Agent provocateur.
Une vitrine contenant des produits bien-être pimentés de quelque accessoire de chez Bijoux Indiscrets ou quelque album érotique...
Jouxtant cette vitrine, une étagère fournie de bougies de massages, sels et huiles de bains...

On se dirige vers l'autre pièce : au milieu un support à cintres avec la lingerie, que j'avoue avoir inspectée le temps nécessaire pour m'en faire une idée sur la qualité (pas décevante) et la diversité (satisfaisante, sans plus).  
Au coté des murs:
A gauche une vitrine avec des superbes godemichés en pyrex ! Au dessus de la vitrine, des accessoires BDS-fetiche.
A droite un énorme placard à étagères avec les jouets des toutes les marques classiques, mais des marques de luxe également.
Au fond de la pièce, la bibliothèque, ou la Musardine remporte la palme en matière de représentation.
Bref, malgré une sensation de déjà vu (résultat des visites fréquentes dans ce type de boutique), on se sent bien chez Lady Paname.

Certes, on mise sur faire appel au coté hédoniste de la clientèle. La décoration, le choix des produits, la tenue de l'accueil semble de joindre forces pour inciter le visiteur d'explorer son cote épicurien.

Le choix en matière des produits:
Quantitativement il se situe dans la petite moyenne. Mais la boutique ne laisse pas transparaitre que cela serait son but de faire grand marché.
Qualitativement c'est osé et soigné. J'y ai découvert des marques qui m'étaient inconnues jusqu'à cet instant-là.

Le prix sont un miroir assez fidèle de ce tableau : relativement élevés. Chez les marques de luxe les prix s'approchent de ce que l'on trouve sur les sites des marques respectives, alors que pour les autres marques, cela m'a semble un peu plus élevé.

L'accueil est merveilleux. Et ce n'est pas courant de trouver des vendeuses ayant la conversation agrémentée de connaissances littéraires et des références utiles en matière de loisirs galants.

Au sortir de chez Lady Paname, c'est euphorisant d'arborer l'élégant sac noir avec l'enseigne violet acidulé, les anses réunies par deux nœuds rose bonbon. (Nan, c'est pas kitsch ! Et j'en ai deux !))
Mais le plaisir reste le petit quelque chose que l'on s'offre et que la vendeuse enveloppe soigneusement en papier de soie.

Une boutique que je revisiterai volontiers si j'aurai à nouveau chemin à Bruxelles.

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Quartier
Note Générale

Fidèle à sa devise, cette boutique invite les dames (et tous ceux qui les aiment) dans un espace lumineux, coquet et accueillant. Décorations élégantes composent le cadre pour les produits offerts dans la boutique. Dès qu'on a franchi le pas de la porte, on est flanqué par deux armatures: chacune équipée d'accessoires pour le bain et le massage, des grandes plumes d'autruche pour les caresses irréelles ou enjouées, des petites friandises affriandantes (les petits seins en chocolat!!!)...

Ensuite, le regard est attiré par une autre structure dont les étagères sont munies avec le nec plus ultra des jouets: les bijoux de chez Lelo et le "Delight" de Fun Factory.

Si on se tourne vers la droite, on entre dans le rayon lingerie. C'est de la lingerie sexy, sans la moindre touche de vulgaire. Les pièces fortes sont des délicieux ensembles composés de corsets avec des broderies et des petits nœuds et un petit string. La combinaisons de chromatiques est des plus alléchantes: blanc et caramel et des petits boutons de rose d'un rouge intense, de la soie noire parcourue des ronces et roses en couleur cyclamen, du bleu ciel ou rose antique, moiré avec des nuages de broderie blanche, des ensembles en voile, en dentelles, en satin et je pourrais en continuer pendant des heures... On se sent dans le boudoir dune courtisane du XVIIIe siècle.
La boutique ne se dément pas, elle est pour toutes les dames: sur les cintres on trouve des articles pour les silhouettes diaphanes, tout comme pour celles rubensiennes.

A gauche on a deux rayons: vers les vitrines, le coin bibliothèque et vers l'intérieur le coin jouets. Ce qui mérite d'être mentionné c'est le coin aux objets en verre. Le pyrex semble d'avoir un très sérieux concurrent: le Duran®, un verre spécial, utilisée en chirurgie et qui présente les mêmes vertus que le pyrex. Un autre attribut positif de ces jouets en Duran: ils sont adaptés à l'anatomie féminine en plus grande proportion que les objets en pyrex.  

La boutique organise, en 2007, des workshops mensuels, qui ont lieu le dernier mercredi du mois.  

Et lorsque vous visitez le "Séparée", vous pouvez bien sur vous régaler des petits cœurs en sucre fruité!

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Les clubiens ont deux raisons de sortir de la Piazza Navona vers le Corso Vittorio Emanuele :
- d’un, un croise la Via Pasquino, ou se trouve la statue que Pierre l’Aretin (et encore d’autres, même de nos jours) utilisait comme support pour ses pamphlets qui flagellaient les tares de ses contemporains. (Et l’Aretin, on l’aime bien sur CDS !)
- de deux,   perpendiculaire sur Via Pasquino, c’est Vicolo della Cancelleria.
Où vous attend un petit antre enchanté : Zouzou !

Parrain du nom de cet adorable love store c’est un film de 1934, Zouzou, dont la protagoniste est la sculpturale et iconique Josephine Baker.

Si Misty Beethoven revendique la paternité de « boudique », voilà que de chez Zouzou, on part enrichi lexicalement avec « glamantic » ! (mot-valisé contenant « glamour » et « romantic »).
Bref, à Rome, une visite dans les love-stores est toujours instructive !

Et pas juste en apprenant un mot nouveau, mais surtout grâce au fait que l’espace de la boutique Zouzou est souvent la scène ou des invités du monde artistique et littéraire viennent apporter leur appui pour que l’érotisme trouve son siège dans l’elysée des vertus humaines dignes d’être cultivées et célébrées.
Atéliers de burlesque, de « fingerfood » pour les doigts de fées friandes et les papilles paillardes, livres licencieux, soyez prêtes à rédiger votre version de l’Éducation sensuelle !

La boutique est vraiment petite, mais ô combien de charmante !
Elle est composée de deux pièces : la boutique, et une toute petite pièce, « il camerino » une chambrette tapissée d’images sensuelles, baignées d’une lumière tamisée, rosâtre, poudrée… un petit boudoir qui éveille la sirène séductrice avec l’efficacité immanquable des sels dont ne se séparaient jamais les suaves dames des temps « encrinolinées »…
Mais retour à la pièce principale ! J’ai tout de suite senti monter en moi la même sensation de bien-être et espièglerie qui m’est déjà familière depuis… 1969, Sensuelle, Darling Frivole, Séparée… ClubDesSens.fr > /lists/guide-routard-sensuel-l554.html
Mais Zouzou a son charme à soi…
Les murs tapissés aux motifs rappellant les boudoirs de la Belle Époque, les tableaux aux images évocateurs, des corsets de rêve qui invitent l’imagination à les remplir de formes voluptueuses…
L’ambiance boudoir est complétée par les lampes bergères qui répandent une lumière douce, renforçant l’ambiance de nuit décadente…
Les plumes, les chiffons, les voiles, les dentelles…
Aucune pique, aucune aspérité… Tout est douceur… entrer chez Zouzou c’est se livrer à une caresse sous forme d’ambiance…

Que vous dire ? Par quoi commencer ? Par les petites merveilles de Jimmyjane, que ce soit la collection des vibros Little Something/ Little Chroma ? Ou les sublimes bougies de massage de la même marque ?
Les rêves des lelophiles devenus réalité, et cela à un prix très alléchant ?
Des godemichés superbes en verre et en quartz ?
Des bijoux indiscrets (heureusement !) qui encouragent les fantasmes et désirs de le devenir autant ?
Des cosmétiques et des parfums qui racontent 1001 contes galants ?
La lingerie fine, mousseuse, reconstituant la « naissance de Venus » : les courbes de madame gainées de dentelles s’entr’aperçoivent comme la silhouette d’Aphrodite lorsqu’elle émergeait de l’écume des mers…
Tout simplement à en perdre la tête de délectation !

Et pour couronner le tout : l’accueil est merveilleux ! Humour, courtoisie, patience, voilà les ingrédients d’une recette comme on l’aime !
Ajoutez à cela des prix qui ne vous quitteront pas le sourire du visage et trop de sous de vos comptes.

Clubiens, une adresse à avoir avec vous si vous vous rendez dans la « Città Eterna » !

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Beate Uhse fut une dame assez particulière, une pionnière par excellence: première pilote cascadeuse et fondatrice du premier sexshop!

Les boutiques Beate Uhse sont plutôt orientées vers la sensualité, bien que les éléments fétiche y sont présents, mais en proportion assez modérée. Sinon, les étagères, les paniers et les coins sont bien achalandés: que cela soit les classiques et/ou les coqueluches du moment.
Dans la boutique située sur la voie commerciale la plus importante de Vienne, on trouve
- un riche choix de lubrifiants de diverses marques (parfois voire en format XXL, comme les lubrifiants de la marque Durex);
- de la lingerie coquine et des déguisements;
- un coin jeux et fanfreluches;
- une petite bibliothèque contenant littérature (spécialisée et bellettristique), albums, calendriers et revues;
- une assez ample videotheque visant de couvrir la plupart des préferences;
- et jouets, jouets, jouets: les plus connues marques sont à trouver avec leurs vibromasseurs, leurs chapelets, boules de geisha (j'y ai vu toute la gamme Hot Sports Love Balls de chez Erotic Entertainment, frôlant les 20 €), les rabbits et tutti quanti.

On y trouve son compte, s'il est conventionnel.

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La boutique Bella Donna a deux boutiques sur Bruxelles : une petite, située sur le boulevard Adolphe Max, et l'autre (qui selon la vendeuse présente le jour de notre visite) est la principale : celle dont l'emplacement est un peu excentré, mais qui correspond à l'adresse indiquée sur la fiche produit.

Mon avis renvoie exclusivement à la boutique sur le boulevard A. Max.

C'est une boutique dont le profil est manifestement love store. La décoration est correcte, avec tendance de se calquer sur le concept hédonisme chic-érotique. On  ressent, malgré tout, le caractère plutôt ébauche condensée. Une ambiance genre "mise en bouche". Je pense que la version "produit fini" ou repas principal doit être la boutique sur le rue Dejoncker.

Nonobstant, dans le petit espace qui couvre deux étages (ce qui pourrait démotiver les personnes qui connaissent le genre d'escalier étroit typique des immeubles belges et hollandais). Pour ceux qui montent : c'est l'espace ou   l'on peut tester plus tranquillement les produits disposés ici : des jouets (toujours Mae B et les incontournables Fun Factory), accessoires BDS et quelques équipements fetiche (principalement des chaussures).

C'est au rez-de-chaussée que la plupart de l'offre est à trouver.
Dans l'espace exigu que l'on passe l'entrée, il y a les rayons bien-être, qui  sont l'image fidèle des préférences du moment : Pjur, Shunga, Kamasutra. Mais aussi une marque vue plusieurs fois dans les love store belges : Femme fatale.

Il y a ensuite une niche lingerie, qui présente quelques modèles soft et/ou fetiche,  un choix plus ample étant étalé sur le mur au fond de la boutique.

Vis-à-vis de cette niche, on peut inspecter la panoplie des sextoys, dominée par les Lelo.

Sinon, ce qui a fait l'objet de mon attention le plus longtemps : la vitrine à produits luxe. Le choix ne déroge pas au tendances, mais il séduit par sa beauté et qualité. Les bijoux de la marque Pvibe, des njoy, des plugs de toutes dimensions (et, cela ferait peut-être le bonheur de certains : il y avait un plug avec une montre ! :-) )

L'accueil est souriant et courtois.

Les prix ne surprennent en rien, ce ceux que l'on commence à connaitre si on s'est formé l'habitude de fréquenter les boutiques de profil. :)

En conclusion, une boutique qui se prête a un bizutage (un choix plutôt modeste -  le débutant en matière ne se sentira donc pas accablé quantitativement - mais de bonne qualité - le client bénéficiant ainsi d'un "abécédaire" respectable.)
Pour les "expérimentés" la boutique ne sera pas une révélation. Qu'il en soient donc prévenus.

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Me voilà qui ne perds pas mon nord ! Surtout s'il mène en ligne droit le long de la parallèle 60 (Saint-Pétersbourg - Oslo)
Après les Nuits Blanches, c'est le tour de Dollhouse ! (Hm, le nom de la boutique, ne vous fait-il pas penser à la pièce de théâtre d'Ibsen, le dramaturge norvégien ? Ben, ceux qui l'ont eu dans la bibliographie obligatoire de littérature universelle au lycée, si !)
Mais revenons à nos moutons, dans le Marais.

Dollhouse est une petite boutique, (mais il y en a de plus petit !), dont la plupart des aspects valent le qualificatif "joli".
De l'aménagement, en passant par l'ambiance, le choix, le sourire des vendeuses, jusqu'à la conduite des clientes. Clientes, parce que cette boutique est censée de s'adresser aux filles qui aiment les filles. Et d'ailleurs, ce jour-là, la nombreuse clientèle était exclusivement féminine, à deux exceptions près : mon partner in crime et encore un jeune monsieur qui prêtait une oreille attentive aux explications de la vendeuse qui conseillait madame.

Comem Nuits Blanches, Dollhouse s'étend sur deux niveaux : sous-sol et rez-de-chaussée. En haut, on peut admirer la lingerie admirable, avoir un petit aperçu des divers produits...
Mais c'est en descendant l'escalier vers le sous-sol que l'on se dirige vers la cave aux trésors.
J'ai eu un flash-back où fusionnaient des éléments semés dans toutes les love stores que j'avais déjà fréquentés : l'éclairage tamisé d'un boudoir, l'ottomane comme support de divers toys (et le choix couvre vraiment toutes les formes et matières), les vitrines ou des flacons, bouteilles et boites attendent de convaincre les sens des sorcières sybarites...
Des accessoires cinglants ou caressants, captivants ou conquérants...
Jeux qui ajoutent du lubrique au ludique... (mon coup de cœur : la bouteille Spin Me ! de Jimmyjane... Mais bon 38€ pour un truc que l'on peut confectionner soi-même avec une bouteille et une feuille de papier coupée en julienne pour les billets à extraire comme des sorts... Quand même...)
Mais bon, c'est vrai que les prix sont un peu plus (mais l'écart n'est  guère si grand comme je l'avais craint à la suite de la lecture des avis ici...)
A découvrir tout cela, je ne peux que joindre la membre qui a évoqué la différence entre le choix présent (restreint ?) sur le site de la boutique et ce que l'on trouve effectivement sur place ! Le site ne rend pas justice à la boutique ! ;)
Si c'est Dollhouse, préférez la visite réelle à la virtuelle !

Bref, cette boutique m'a fait une excellente impression et je compte y retourner quand je serai à nouveau sur Paris.

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Cette boutique était comme un passage obligé pour moi lors de ma visite à Paris, puisque une bonne partie des objets qui figurent dans la "Treasure Cave" et dans le "Placard polisson" proviennent de cette boutique. (Au point ou les vendeurs connaissent déjà le nom de partner in crime! :O )

Bien que petite, voire très petite, on ne se sent pas encombré, même quand il y a d'autres clients dans les parages. C'est effectivement étonnant, mais la décoration et l'éclairage, l'arrangement des produits, tout semble conçu et harmonisé de façon à créer de l'espace.
Personnellement, cela m'a tant impressionnée parce que j'ai deja visité des boutiques beaucoup plus spacieuses, mais qui engendraient une sensation d'espace serré, tassé, ou l'on craint a chaque pas que l'on va renverser quelque chose.

Ce qui est vrai, le choix est toutefois moins important qu'en autres boutiques. Ici, le cible sont les produits de charme, un peu plus soft. Le mot clé semble d'être la séduction soft et l'érotisme tantôt espiègle, tantôt romantique. Qui cherche les choses plutôt excentriques, hard ou fetiche, risque de ne pas trouver son bonheur.
Les petites vitrines et les présentoirs sont les supports pour les toys des marques déjà consacrées, qui sont vraiment joliment disposés.
Parmi les produits de bien-être y figurent à nouveau que les "stars" qui ont su prouver qu'ils méritent leur popularité.
La lingerie je l'ai très peu remarquée.

L'accueil est un véritable plaisir, souriant, a l'écoute et très poli. Ils semblent de connaitre les produits et n'hésitent pas de donner conseils. (Quoi que, je ne sais pas s'ils ont la politique de faire tester personnellement les vendeurs afin qu'il sachent parler en connaissance de cause.) On peut tester les produits: pour les produits bien-être il y a les échantillons et les jouets ont toujours un exemplaire a la discrétion des mains, nez et oreilles qui souhaitent se faire une idée plus circonstanciée du produit.

Ce petit love-store est une adresse à retenir quand on veut refaire son stock d'huiles, lubrifiants et crèmes. Pour les toys, je pense que l'on peut trouver à prix plus convenable ailleurs. Même si probablement dans une ambiance moins charmante.

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Si vous vous promenez un jour sur Place Vendôme, perdez vous quelques rues plus loin, jusqu'à l'immeuble numéro 11 sur la rue du Marche Saint Honoré.
La boutique se situe dans le cour intérieure de cet immeuble. On y a accès en appuyant sur le bouton adéquat sur l'interphone.
Dès que vous franchissez le pas de la porte, c'est comme entrer dans un paradis rose, malabaro-barbapapesque!  J'en fus toute de suite conquise! C'est lumineux, spacieux (quoi que, la boutique n'est pas énorme!)
Le décor et l'emplacement des supports des produits est bien conçu,  Les produits ont un fort potentiel de voler le cœur. Pour les produits massage et bien être, il s'agit des produits de la maison. Et on peut les tester!
Quant aux toys, on trouve les marques consacrées (Lelo, Big Teaze, Fun factory), très joliment disposés.

Les objets détournés et les accessoires sont d'un bon gout et d'une qualité à même de laisser les plus tatillons sans arguments! (Mais bon, il ne resteront pas sur leur faim: les prix sont assez élevés! Et le choix est encore un peu limité.)

La lingerie est splendide, et toujours plus orientée vers les dames qui cherchent d'allier élégance et glamour à l'attitude sexy et provocatrice. Et c'est de la soie!!! Les bouts de mes doigts en soupirent encore de nostalgie! (Pour vous faire une idée: un splendide petit string coute 30€).

La boutique est divisée en deux pièces: dans la seconde l'atmosphère est plus tamisée. Dans le milieu, sur un sofa rond, on trouve la petite "bibliothèque" que la boutique propose. Des titres plus ou moins connus, quelques albums. On peut consulter sur place.

Le seuls deux hics avec Yoba, la boutique coquine, sont:

- les prix pratiques ici. (Ce qui ne m'a pas empêchée de faire quelques achats, en profitant du fait qu'il était période de fêtes. Et je dois avouer que je suis très très contente de mes achats!)

- le choix quand même assez restreint.

Si vous craquez pour un de leurs produits, le tout est emballé dans une jolie pochette de papier satiné rose, orné d'un petit nœud.


Mon avis n'est des plus objectifs, car cette boutique m'a complètement séduite! Pour résumer : si vous cherchez des toys, vous êtes aussi bien servi ailleurs aux prix plus accessibles. De même pour les livres et jeux.  
Or, si une occasion très spéciale l'exige, et vous désirez embellir vos instants d'intimité ou surprendre  l'élu/e de votre cœur avec un accessoire ou quelque produit de massage exquis et de bonne qualité, c'est une bonne adresse à connaitre.

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Le magasin se trouve au fin fond d'une grosse zone commerciale. Il est bien indiqué, heureusement car on aurait du mal à le trouver autrement. Une fois devant, il ne faut pas se fier à l'aspect de l'établissement, sinon on entre pas! c'est assez austère, une batisse grise avec simplement une banderole et un rideau de fer, qu'il faut en fait contourner pour arriver à l'entrée du magasin. Un petit parking permet de se garer bien à l'abri des regards outrés.
Il n'y a pas de vitrine, seulement une porte qui s'ouvre sur quelques modèles de robes en exposition.

L'accueil est simple, bonjour sans plus, on ne vient pas vous perturber pendant votre visite (je ne le supporte déjà pas pour des vètements, alors pour des jouets...), je trouve que c'est agréable. D'autant que lorsque j'ai demandé à la vendeuse un article que j'avais vu sur leur site internet, ne l'ayant pas, elle s'est empressée d'appeler les autres magasins de la région pour savoir si ils en avaient, et m'a proposé de la rappeler pour lui donner les références exactes du produit, afin qu'elle se le procure. Je trouve cette initiative très appréciable!

Les différentes catégories de produits y sont représentées, en proportions différentes. On y trouve dvd, lingerie, prèt à porter, sextoys, accessoires 'bdsm soft', préservatifs, jeux, lubrifiants, produits de massage et "produits magiques".Il y a même quelques paires de chaussures.

La partie dvd couvre une importante surface du magasin, mais n'étant pas intéressée par ces produits je ny ai pas jeté un coup d'oeil. Cependant le nombre de dvd est assez impressionnant.
C'est ensuite la lingerie et le prèt à porter qui je crois occupent en majorité l'espace de la boutique. Il y a un bon choix, pour tous les gouts dirons nous, du plus sobre au plus...exotique. De nombreuses robes et tenues sexy, en tissus, en cuir ou latex.

Pour les sextoys, on ne peut pas vraiment dire que le choix soit pauvre, mais il s'agit souvent de produits qui font 'cheap', peu de marques malgré les quelques fun factory, big teaze toyz, toyjoy et durex ( wormy(il est énOOOOORme!!!), fishy(il est mOOOOOche!!!), ducky, penguin..) et les quelques jouets en pyrex.
En dehors de ceux là, des produits peu engageants, avec un packaging bof bof.

Pour les accessoires "bdsm", là aussi c'est assez rudimentaire : quelques menottes type fun cuff furry, d'autres en cuir (je crois que je vais craquer), quelques cravaches, barres de maintien, loups, rubans bondage, baillons. Rien de foudroyant.

Le choix est assez restreint pour ce qui est des catégories massages bien être : peu de lubrifiants (CXglide, tokohama, shunga), encore moins de produits de massage, ceux ci relativement "bas de gamme" en plus. Le choix en préservatifs est  suffisant, sans être exhaustif.
J'ai vu quelques jeux mais ne m'y suis pas attardée.

Je n'ai pas pris garde aux prix, comme je n'avais pas l'intention d'acheter, mais comme ils disposent d'un site internet, je pense que leurs prix doivent être alignés sur les boutiques internet, donc relativement raisonnables.

Le gros bémol de cette boutique est indéniablement sa décoration, ou plus précisément son absence de décoration. C'est froid, pas glauque mais pas très chaleureux. Ca mériterait un éclairage, une couleur , des présentoirs un peu plus étudiés que les grilles que l'on trouve au supermarché (je me suis surprise à chercher le prix sur la tige où étaient pendus les jouets...)

Mais tout de même, j'apprécie cette tentative de dédramatiser les sexshop en les présentant comme un "supermarché du sexe". Alors que je n'imagine pas entrer dans les petites boutiques sombres et angoissantes du centre ville, je n'ai que très peu hésité à visiter celle ci. Et j'ai eu en ma compagnie durant ma visite deux femmes et deux couples. J'y retournerai quand j'aurai des sous à dépenser!

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Les Nuits blanches. Vous pensez Saint-Pétersbourg ? Pensez encore. Pensez Paris, rue Tournelles.
Une porte discrète, une fois franchie, vous vous retrouvez dans un espace dont l'aménagement respire l'élégance épurée et subtile qui résulte de l'alliance des lignes simples et le sommaire d'une surface blanche, dont l'éblouissante versatilité se déploie à l'aide de quelques astuces ornementales élémentaires, comme le jeu des reliefs et des creux.
Pas de meubles dans cette boutique (en faisant abstraction du présentoir et le support de lingerie au rez-de-chaussée et une chaise stylisée dans le sous-sol); on se doit d'apprécier ce stratagème de décoration intérieure pour gérer un espace petit.
L'espace même devient support de rangement. Les creux dans les murs font office d'écrins pour les objets.
Et tout cela baigné dans une lumière tamisée et cotonneuse. Charmant !

Une boutique où l'on se sent à l'aise. Le choix est très petit quantitativement. Ce qui permet d'autant plus à en constater la qualité.
Le choix en matière de livres témoigne aussi du bon gout, tout en suivant les tendances du moment. (J'y ai failli acheter un livre dont je rêve depuis un an, mais son poids m'a démotivée ! Une brique dans le sens pondéralement littéral du mot ! Mais bon, c'est juste partie remise.)
Il y a aussi un coté gourmandise, où des friandises au contenu de cacao indécemment élevé attendent à transporter les sens et enflammer le sang...

Le moins le plus frappant c'est le prix de certains produits. (Par contre, le petit jeu de cartes que j'y ai acheté coutait moins que sur le site de la marque qui a mis le jeu sur le marché.)
Sinon, rien à redire sur cette boutique. J'ai vraiment aimé.

Voilà les Nuits Blanches de Paris. Qui ont l'avantage de perdurer de janvier à décembre, pas juste pendant un été !