Les meilleurs avis sur les Presse
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Les plus : Découverte de nouveaux sextoys, et quelques infos insolites, le cadeau (parfois)
les moins : Mise en page peu avenante et quelque peu prétentieuse, illustrations pas belles, cher, trop de publicité, rubriques souvent ennuyeuses
Disons-le d'emblée, je n'ai acheté le premier numéro que pour le cadeau qui l'accompagnait, un peu, comme, quand j'achetais Pif Gadget à l'âge de 10 ans! Depuis le numéro 1, d'ailleurs, les gadgets sont de plus en plus nuls (ce fut le cas dans Pif Gadget aussi...!), mais le magazine s'est, dans l'ensemble, un peu étoffé par rapport au degré zéro d'intérêt du numéro initial.
Alors que celui-ci était en effet un cahier publicitaire, les 3 numéros suivants ont légèrement rectifié la politique éditoriale, et substitué à la publicité explicite quelques articles sur des sujets habituels aux journaux BF (Bonnes Femmes): test, cuisine, interview de star, beauté, mode (hélas, déjà 8 pages de fringues, dont on n'a vraiment rien à faire). Le tout saupoudré de vague sexe-érotico-yéyé. Ouf, vous retrouverez la rubrique que tout magazine de BF doit aborder: "couchez avec un(e) ami(e)" (septembre 2007, p. 57)
Mais l'idée originale du magazine n'existe plus vraiment: on ne s'intéresse plus au sextoy, et à son univers, mais à une sorte de sexy-ambiance, où tout et n'importe quoi peuvent entrer à condition d'y accoler le mot "vagin" et "baiser". Au lieu de parler de Guerlain, on parlera donc de Vulva, le nouveau parfum à odeur de vulve.
Du point de vue informatif, cela reste très pauvre. Quant à la rubrique "banc d'essai" - test de toys -, je l'ai trouvée assez insuffisante, et surtout obnubilée par l'idée selon laquelle il faudrait faire "tendance" plutôt que par un vrai travail comparatif (la mention du métier des testeuses sert ainsi à cela: ça change de tester le X de chez Y, quand vous êtes webmasteuse? non, mais c'est mode).
Ce journal n'a pas, selon moi, trouvé sa voie.
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Les plus : Le choix des thèmes "sexe" abordé est, en apparence, un peu plus libéré qu'en France
les moins : Ensemble assez moralisateur cependant, quantité de publicités considérable, très cher
En apparence, le Glamour américain est un peu plus proche du Cosmo américain que du Glamour français; on n'hésite pas à s'aventurer davantage dans la chambre à coucher et à aborder des questions plus dérangeantes. Mais ce n'est que de surface. La réalité est assez vite moralisatrice. Les articles sont souvent courts, peu documentés, et donneurs de leçons, présentant une sorte de sexualité modèle à laquelle la femme glamour doit parvenir.
Toujours donc le fameux thème des Dos and Don'ts, qui reste le fin mot de ce magazine en tout domaine, y compris dans notre lit!
La santé est aussi un lieu où l'on donne des conseils, à faire, à ne pas faire, et les témoignages sont là pour nous rappeler à la fois le courage des femmes, mais aussi les erreurs qu'elles ont faites. La question du cancer, et du vivre avec un cancer, est centrale à ce journal, comme au reste dans le Cosmo américain, bien plus sans doute que ne l'est le SIDA, ou d'autres maladies qui touchent particulièrement notre époque. Comme dans le Glamour anglais, l'automédication est présente à chaque page du magazine, essentiellement sous la forme de publicité.
Celle-ci est omniprésente: le Glamour américain bat tous les records (jusqu'à présent!! Peut-être Arétina va-t-elle le détrôner grâce au Glamour roumain? Les jeux sont faits!). 29 pages de publicité sur le numéro de septembre 2007 avant de parvenir au sommaire. 281 pages de publicités explicites sur 420 pages, soit plus de la moitié du magazine!!! Par contre, on nous épargne les petites annonces de chiromancie, cartomancie, astrologie, chirurgie esthétique, speed dating, et autres inventions jugées plaisantes à la femme moderne.
Enfin, les rubriques paraissent un peu mélangées, il est difficile de se repérer (c'est une présentation brouillonne sur du papier de mauvaise qualité). Mais peut-être est-ce tout simplement dû encore à l'abondance de "réclames", comme on disait jadis si joliment?!
En résumé, cette revue a, pour moi, peu d'attrait.
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Les plus : Synthétique, large éventail abordé, thèmes traités intéressants.
les moins : Trop synthétique, manque de cohérence d'ensemble.
J'ai hésité entre deux et trois cœurs pour cette note. Il y a des choses intéressantes, mais le thème du dossier ne me semble pas assez ciblé, du coup, aucun des thèmes n'a le temps d'être suffisamment approfondi. Et l'ensemble est assez morcelé. Cependant, ce genre de lecture reste assez sympathique pour lancer des réflexions. Généralement les dossiers de cette revue sont plus structurés et approfondis. Ce qui ne veut pas dire que les articles soient pour autant dénués d'intérêt.
-libres & fidèles de Florence Mottot: il s'agit d'un article très descriptif. Cela a l'avantage de présenter beaucoup de données, d'évoquer bien des sondages. Mais cela manque à mon sens d'analyse, d'interprétation, et de recul critique. Du coup cela reste trop superficiel.
L'identité contre l'égalité: François de Singly Un article sur les nouvelles raisons de l'inégalité du partage dans les taches domestiques. Le propos est à la fois engagé et nuancé. L'idée est que les individus opèrent une nette distinction entre la sphère civile où l'égalité est recherchée, et la sphère privée où l'identité sexuée est revendiquée fortement par chacun des deux sexes. Cette recherche de l'identité sexuée conduit certes à la conservation de la classique domination masculine (les femmes font encore deux fois plus de travail ménager que les hommes à travail égal). Malgré cela les femmes partagent un peu moins les taches ménagères qu'elles jugent valorisantes, et ont en compensation plus d'autorité sur la gestion de la vie collective de la famille (l'éducation, etc…). Même si comme on pouvait s'y attendre, il n'y a pas là de grandes révolutions, l'analyse de la situation est intéressante.
Qu'il fut long le chemin de l'amour: D'Agnès Walch: une petite rétrospective historique de l'évolution de la conception du couple dans notre société. C'est une synthèse un peu brève de deux pages, mais bien menée en si peu de place.
La monogamie est-elle naturelle ? de Frank Cézilly Cet article survole lui aussi un domaine assez large. Une étude des différentes organisations familiales Chez les animaux, nous conduit à conclure en l'absence d'un modèle unique dans la nature. Il est fort heureusement rappelé la spécificité de la sexualité humaine, et le parallèle avec l'animal s'arrête là. Du coup le propos change son angle d'approche, et du biologique, on s'intéresse finalement au sociologique. Il y a une bonne dénonciation de la tendance à prendre des inégalités issues de différences de traitement socio-économique des femmes pour des faits de nature. Ainsi, il est intéressant d'apprendre que les femmes norvégiennes en prenant très rapidement leur indépendance économique, ont eu des comportements et des jugement sur la sexualité beaucoup plus proches de celles de leur conjoint. Mais on aimerait en savoir plus sur cet exemple trop rapidement présenté. Au final, la monogamie est ramenée à être dépendante des variations socio-économiques. Un tel avis arrive à mon sens trop rapidement. Car la nature de l'homme peut être comprise autrement que comme une référence au biologique. La question de savoir si la monogamie est plus en accord avec la nature de l'homme -comme être de culture- reste…
Remarque: Dans cet article il est fait au passage une distinction intéressante pour penser le fait libertin: celle entre la monogamie sociale et de la monogamie sexuelle.
variations libres autour d'un couple: de Florence Mottot & Martine Fournier. Il s'agit d'un ensemble de six petits articles. Beaucoup sont trop courts. Certains sont des clins d'oeil amusants ex: l'optique curative de l'homme dans le ménage opposée à celle préventive de la femme. Les liens entre sexe et la relation à l'argent, et celui sur "l'argent a-t-il un sexe" est pas mal. "L'enfant, ciment du couple", n'est pas seulement trop court, il est caricatural.
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Les plus : varié, reportages, informations diverses
les moins : tendance à copier les magazines destinés aux plus jeunes, publicité, articles sexo très réduits
Présentation générale
Marie-Claire existe désormais en deux formats, comme la plupart des magazines féminins, et son petit format est de prix classique: 2 euros. On trouve également un forum sur internet qui permet aux lectrices de réagir aux articles. Le magazine est en effet soucieux d'améliorer son image, et propose des enquêtes régulièrement.
L'ensemble est destiné aux femmes plus âgées que celles qui lisent Cosmopolitain par exemple. Même si bien des rubriques sont proches de celles de ce dernier, en revanche, Marie-Claire fait une large part aux récits d'expérience collective: reportage à l'étranger, reportage portant sur une femme ayant réalisé un challenge spécial, reportage sur une situation insupportable, ou sur des problèmes sociologiques et ethnologiques. L'horizon de Marie-Claire est ainsi beaucoup plus ouvert et cosmopolite, en fait, que l'horizon de Cosmopolitain. On certes resserré aussi sur les soucis personnels, et ce, toujours sur le mode du témoignage: le sexe n'est jamais abordé sous la forme de conseils "généraux", mais sous la forme de récits. Quelques femmes racontent ce qu'elles ont vécu. Il y a sans doute, par rapport à d'autres revues, moins de richesse, mais on a plus le sentiment de vraisemblance. En outre, l'absence de conseils, du moins explicites, car il est évident que ceux-ci sont sous-jacent et que le magazine prend parti, rend la lecture relativement agréable. Les mannequins féminins sont à peu près les mêmes que ceux des autres magazines destinés à un public moins âgé. Mais un effort est fait toutefois: les mannequins féminins sont parfois plus vieux et plus "gras"; quant aux mannequins masculins, ils n'ont plus 20 ans, et permettent à la lectrice de pouvoir s'imaginer en position de séductrice!
Avis
J'ai toujours été réticente envers ce magazine - je crois à cause du titre, que je n'aimais pas, et que je trouvais mémère. "Marie-Claire", me fait irrésistiblement penser à "Marie-couche-toi-là". Les premières rencontres avec Marie-Claire, au reste, confortait cette idée: journal vieillot, pour vieilles... Cependant, j'ai eu l'occasion de le feuilleter ailleurs que chez le coiffeur, car plusieurs amies (de mon âge) y sont abonné. Il m'a fallu conclure: quoi? ce magazine de vieilles, je suis arrivée à l'âge où je peux le lire??? J'ai donc pris le temps de l'acheter et de le comparer avec mes magazines préférés. Et je dois avouer: 1. que Marie-Claire a considérablement changé, et a rajeuni, copiant bien des petits formats que je lisais, quand j'avais 20-30 ans. 2. que j'ai changé! et que quand je vois le numéro de ce mois d'un magazine (pour jeunes?) avec des mannequins masculins qui pourraient quasiment être mes fils, je me sens à côté de la plaque, et n'ai pas envie de le lire; même si, en moi, rien n'a changé sans doute, et que le sexe m'intéresse autant.
Je ne suis pas devenue adepte de Marie-Claire, qui ne me convainc pas pleinement, mais j'ai compris en lisant ce magazine que je n'avais plus envie de lire des magazines qui ne sont plus "de mon âge".
A quand un magazine de 7 à 77 ans??
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Les plus : intéressant, beaucoup de conseils divers
les moins : s'adresse à des amateurs avertis
Le magazine Chasseur d'Images consacre son numéro d'été, sous forme de deux articles, à la photographie de charme. C'est d'abord un portfolio qui est dédié à un professionnel du nu, Didier Carré (interview mené par Pascal Miele). Le thème du mois ensuite (la leçon pratique) s'intitule "J'ose le nu" (article de Pascal Druel).
Le portfolio Il présente d'abord les photographies (en noir et blanc) les moins pornographiques de Didier Carré (pour des raisons de publication dans un magazine de grande diffusion...). Celui-ci fait part d'un certain nombre de remarques sur le travail du nu, en général - notamment, sur l'aspect financier du métier. Mais aussi, sur le rapport entre photographe, modèle et, point qui m'a arrêtée spécialement, observateur. La discrétion du photographe, le refus des effets, du "rendu", sont abordés.
Le thème du mois: leçon pratique Illustré par des photographies de styles différents, provenant de photographes divers (pour chaque cliché, on a les éléments techniques: sensibilité, focale, type d'appareil, vitesse, diaphragme), l'article fourmille de conseils qui permettent de faire le point (conseils qui d'ailleurs sont bons pour des portraits aussi bien). Par exemple, on insiste sur le déclenchement régulier, même si l'on sait que la photo enregistrée ne correspondra pas à l'attente. Ou encore sur l'intérêt et les dangers (problème d'horizontalité, perspective trop marquée, déformation des courbes du sujet) du grand-angle. Sur la question de la distance de travail, en fonction de la focale choisie. Sur la gestion de la profondeur de champ, en fonction de l'effet recherché. La question des sources lumineuses est soulignée brièvement; quant au traitement de l'exposition, on rappelle les B.A.-BA (toujours utiles).
On regrette que certains points ne soient pas davantage développés, et que l'article ne soit pas, par ailleurs, plus "pratique".
En revanche, un tel article n'est pas accessible pour l'utilisateur de compact ou de bridge.
Ce serait le reproche que j'adresserai à l'ensemble: insuffisamment technique; mais trop technique déjà pour le photographe qui cherche juste le divertissement. Il me semble que l'amateur qui investit dans un réflex, avec des objectifs appropriés, ne sera pas satisfait pleinement des remarques, utiles, mais insuffisantes. Quant à l'amateur qui n'a pas franchi le pas, il trouvera sans doute cela un peu "compliqué".
Ceci dit, il y a, encore une fois, plein de rappels, et d'éléments à retenir pour faire de bonnes photos! Je suis juste un peu sévère, attendant davantage, - peut-être un numéro plus complet sur le thème!
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Les plus : Magazine peu cher, format poche*** commode, thèmes abordés assez variés
les moins : Bien que les thèmes abordés soient variés, leur traitement est toujours le même, ensemble très soft
Lectrice fidèle de Cosmo depuis une quinzaine d'années, et ayant même été abonnée pendant 3 ans, je connais bien ce magazine qui reste, dans l'ensemble de la presse féminine, mon préféré, mais qui convenait, évidemment mieux à mes vingt ans, qu'à mes bientôt quarante.
Il n'y a guère, hélas, de choix pour les femmes de mon âge qui continuent à avoir une vie sexuelle normale et à tenir à l'érotisme; on bascule très vite dans le magazine "famille", "bébé", "couture", "jardinage", "maison", etc. Je ne me reconnais dans aucun de ces thèmes, et je cherche quelque chose qui parle à la fois de beauté, de sexe, et de mode. Il ne reste plus grand chose - on doit déjà tomber dans les rubriques "bouffées de chaleur" et "ménopause" de Elle, que je feuillette aussi quelquefois, mais peu. Catégorie d'âge signifie aussi catégorie socioprofessionnelle, et "money"; les magazines pour femmes de 40 ans qui se veulent coquettes mettent la barre monétaire assez haut dans les produits qui sont vantés; ce qui ne correspond pas forcément à mes souhaits, ni à mes possibilités.
Pour ces raisons, je reste fidèle à Cosmo, à son côté mutin, girl qui se la joue riche sans avoir un rond; coquette et coquine; même si j'ai passé l'âge de lire des histoires qui sont limites ado, ou qui parfois ne correspondent vraiment pas à mon mode de vie, et à ma représentation du mode. Les questions habituelles qu'affectionne ce journal: "j'ai couché avec mon patron" ne font pas partie de mes fantasmes. Il est dommage que Cosmo ne véhicule qu'une toute petite quantité de fantasmes: secrétaire/patron; mon meilleur ami est devenu mon amant, tromper son "mec", etc...; problématiques, somme toute, fort restreintes, et qui empêchent les lectrices de se donner une représentation du monde un peu plus variée que celle que véhicule déjà leur quotidien.
Mais ces derniers temps justement, sous la pression et la réussite du concurrent Glamour, Cosmo a donné une nouvelle inflexion à son journal, offrant du rêve en veux-tu en voilà: la ligne "people", qui jusque-là avait été totalement absente, est arrivée en force. En d'autres termes: le sexe et les people; comment rêver sa vie? On présente le train-train des people; sous-entendu: si leur vie est accessible, ce rêve est réalisable. L'horizon de la Star Académy n'est guère loin. On veut toujours nous faire rêver d'or, mais ce sont vraiment des rêves à deux balles, et avec des acteurs et des people nuls; je n'ai pas retenu un seul de leur nom depuis quelques années que Cosmo a changé sa politique éditoriale.
Quant aux choses de fond, par exemple, les questions médicales sur les IST, elles sont fort superficiellement traitées: 1 page de temps en temps, souvent approximative. Ou encore, la question de l'orgasme: j'avoue n'en savoir pas davantage qu'à l'âge de 20 ans sur ce que c'est que l'orgasme féminin, en dehors de ce que j'ai appris par mes expériences personnelles. Cosmo ne m'a jamais rien appris touchant ma jouissance.
Bref, si vous cherchez quelque information sur le sexe, et non pas quelques fantasmes, ce journal n'est pas pour vous. Si en revanche vous cherchez "du rien", c'est-à-dire ne rien faire dans votre bain, dans votre lit, parce que vous avez trop travaillé pendant la journée, alors c'est fait pour vous.
A noter que pendant mes périodes de fort travail, la lecture de Cosmo me tombe des mains, parce que les noms absurdes qui sont donnés aux substances composant les produits de beauté (ainsi que leurs supposées vertus) sont encore plus difficiles à retenir que les kanji japonais!
C'est un journal qui ne repose pas d'une très lourde journée de travail, parce que tout simplement il ne coupe pas avec le monde du travail: il ne parle que du monde du travail, et c'est au fond assez drôle que les femmes passent leur temps à le lire quand elles ont du temps libre...!
***A noter qu'historiquement, Cosmopolitan fut, si mes souvenirs sont bons (à vérifier, merci!), l'inventeur du format poche, qui fut aussitôt copié par tous ses concurrents.
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Les plus : Filles jolies?
les moins : Cher, pas beaucoup de texte!!, beaucoup de publicités, blagues débiles, filles identiques
Playboy est un magazine que je connais depuis assez longtemps, puisque mon père l'achetait! Evidemment, il le cachait, c'était dans les années 1970, je savais tout juste lire. Et j'adorais regarder les photos, c'était drôlement excitant, dès que la famille avait le dos tourné!
Depuis, j'offre de temps en temps un numéro à mon copain, pour qu'on s'amuse ensemble, "à la veillée". Mais j'avoue que Playboy a perdu beaucoup de son charme. Les modèles y sont tous fort semblables, très clean, et soumises à un diktat unique de mode érotique: le pubis obéira à telle forme, les seins idem.
La publicité est omniprésente: télécharger la photo de la playmate sur son portable, d'abord, puis de nombreuses autres pages: rencontrer des étudiantes, etc. C'est un magazine pollué, comme beaucoup d'ailleurs par les anciens 3615 code " ", mais sous la forme internet, meetic, et autres.
Les photographes travaillent tous pour Playboy de manière attitré, à quelques exceptions près. Leur nom est indiqué en bloc vers le sommaire, mais impossible de savoir qui a pris telle photo. Au reste, on n'a guère de variations entre les uns les autres.
Enfin, les textes, euh...: y en a???
Quant à la rubrique "blagues", à la fin du journal, c'est à mourir d'ennui! Bref, ça me fait un peu penser aux journaux de posters qu'on achetait quand on avait 12-13 ans, mais à la place des joueurs de tennis (ou autres), on a des filles à poils, mais pas trop...
Reste que de temps en temps, mon copain et moi, ça nous fournit une occasion de faire des commentaires et davantage!
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Les plus : les nouvelles recrues du porno, les photos, les filles, les mecs ^-^
les moins : le prix, la pub
déjà amatrice de magazine pour homme depuis longtemps, c'est par période qu'ils attérissent chez moi. J'ai sous les yeux le N°46 de septembre 2009. Magnifique Cecilia Vega !
Je vais donc vous le commenter.
C'est un magazine traitant principalement sur la vie des porno-stars et des tournages en cours. Fred Coppula en est l'auteur. John B. Root s'applique à faire connaitre des débutantes avec des belles photos. Marc Dorcel est présent aussi. Hommes de poigne pour les initiés. Les conseils de Nomi
bon nombre de "découvertes" en font les pages principales. Beaucoup de photos répertoriées lors des prises de vues des films, de bonnes qualités je dirais, mais je ne suis pas une pro de la photo.
Des témoignages que je trouve trop rébarbatifs concernant les nouvelles du moment. Effectivement, on a toujours l'impression d'avoir lu ce témoignages 1000 fois ailleurs.
En réalité, je suis curieuse, et j'aime regardé les photos des belles filles. Ce magazine nous donne l'impression de mieux connaitre nos actrices préférées du moment en rentrant dans leur intimité de tous les jours.
Trop de pub en fin comme beaucoup. Ne pas oublier pour les cinéphiles X 2 CD = 2 films ;-) Avis de femme, j'aime bien ce magazine, il m'émoustille toujours au fil des pages. Mais un peu cher si on doit l'acheter tous les mois (ha voui y'a 2 cd!). Une fois de temps en temps pour se faire plaisir c'est pas mal!
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Les plus : Donne énormément d’informations diverses, Discret , Histoires excitantes, Réveille la libido
les moins : La pub à la fin, mais bon il faut bien vivre…
On peut pas avoir le DVD quand on s’abonne… :-(
Je commence par les points négatifs. Evidemment, et tout le monde est unanime à ce sujet : la PUB ! elle prend bien une vingtaine de pages, mais bon la revue serait plus cher sans cela (enfin je pense :- ?) Autre point : quand on est abonné, on ne reçoit pas le DVD en cadeau ou il y a plein de petits films amateurs envoyés par les lecteurs d’UNION. Il y a bien un site et un mot de passe donné dans la revue pour aller visionner ces films (me suis dit chouette ! !) MAIS ! il faut payer le visionnage… bouhhh ! Sinon il faut l’acheter en librairie, mais là on a un magasine en double… bof bof !
Sinon… Il est discret ! On peut le ranger facilement dans le tiroir de la table de nuit ou encore sous un roman :-) C’est un magasine qui est, malgré sa petite taille, très fourni ! On y trouve les sorties de sextoys, les bouquins, les nouveaux jeux érotiques, mais aussi les dates des différents salons, des expositions, les nouvelles ouvertures de boites de nuits, les photos dédicace des lecteurs pour les lecteurs ou leur conjoint, quelques pages sur des blogs amateurs, des histoires contés par les hommes, puis par les femmes, un roman photos, une partie sexo-médicale avec des conseils, depuis peu des recettes de cuisine (si si ! !) et biensur des sujets différents tous les mois… ce mois-ci on a droit au comparatif des jeux de société :-) Bon j’arrête là, il faudrait pas que je remplisse la page non plus :-P
Par contre, la BD citée plus bas a disparue, elle a été remplacée par les fameuses recettes de cuisine
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Les plus : Hebdo, thèmes variés, papier et photos sympas
les moins : S'adresse à un public assez mature, pauvreté des articles sexos
Journal abordant des sujets très divers: mode, décoration, cuisine, ciné, livres, psychologie, vie avec les enfants, avec de belles photos, et une mise en page plutôt accueillante. Se lit avec agrément dans une salle d'attente ou chez un coiffeur. On y trouve plein de trucs, conseils, présentation de produits nouveaux, potins concernant les stars ou les personnalités politiques.
Il n'y a pas spécialement de rubrique dédiée au sexe ou à l'amour, même si régulièrement un thème est abordé: on sent que ce n'est pas le domaine où le magazine est le plus à l'aise. Elle semble s'adresser d'abord à la femme mariée, dans le cadre de la famille: problèmes concernant l'éducation des enfants, comment décorer la maison qu'on vient d'acheter? etc. Mais la vie sexuelle du couple, ou l'érotisme, ne sont pas beaucoup abordés.
Les journalistes de Elle sont très "pro". On sent une rédaction bien tenue. Je ne me suis jamais abonnée à ce magazine, je l'ai toujours consulté en salle d'attente, ou lu chez des amies: ces derniers temps, je lui ai trouvé un petit coup de "jeune", tout en étant un peu plus luxueux de présentation.
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Les plus : indémodable, pour tous les âges; du chocolat en feuilles ; parait à temps
les moins : pub; photos pas toujours esthétiques
Cosmo... Cosmo... Je ne me souviens plus du jour où j'ai fait ta connaissance, tout ce qui me reste de cet impérissable moment c'est l'indéniable sentiment que tous les deux c'est pour la vie ! Ne dis pas le contraire, je te prie ! Que nous ayant 16, 18, 21, ou 30 ans nous trouvons toute un bonheur sans complexe à lire ce magazine sous un soleil de plomb et plus encore quand grisouille nous revenons bredouille de l'école ou du boulot !
On ne peut guère gagner à tous les coups !
Aussi quelle joie de te retrouver cet été pour deux numéros que j'ai pu dévorer il y a peu ! Tu ne peux l'imaginer sans sourire !
En tout cas, toi, tu m'as bien fait rire !!!
Toutefois, je dois te dire que ton article " Dites les garcons, tromper c'est quoi pour vous ? " m'a rendue furieuse, au point de gribouiller des obscénités sur tes jolies pages glacées ! Quelle idée aussi de nous prendre nous pauvres femmes fragiles à rebrousse poil !
Je suis sure toutefois que tu te feras amplement pardonné en septembre, cela va s'en dire !
Cosmo on l'essaye, on l'adopte !
Mais attention, il est que pour moa !
Toxic_Tears
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Les plus : Beauté des filles, qualité du papier et de l'image
les moins : Répétitive et peu sentimentale
Il s'agit d'une revue suédoise, héritière des premières du genre il y a une quarantaine d'années. C'est clairement un travail de professionnels. Les filles sont des pros, les hommes aussi, les photographes, les imprimeurs... Il n'y a que les traducteurs qui sont d'un amateurisme effrayant. De toute évidence, Private ne mise pas sur la qualité des textes. C'est une revue haut de gamme, à condition de ne pas en attendre plus que ce qu'elle offre: du porno. Les clichés du genre y sont tous: double pénétration, éjaculation faciale, seins parfois visiblement refaits. Mais dans le genre, c'est sans conteste ce qui se fait de mieux. Je ne trouve jamais de vulgarité, même dans les gros plans. L'image est toujours contrôlée. C'est un peu trop lisse pour être vrai, le maquillage et les effets spéciaux doivent représenter une bonne part du budget. Mais c'est efficace.
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Les plus : généraliste, prix (2 euros), assez agréable à lire
les moins : pas de touche personnelle qui permettrait de sortir du lot des magazines féminins
J'ignorais totalement l'exitence de ce magazine jusqu'au mois dernier, où, passée dans une maison de la presse, je suis tombée dessus et l'ai pris pour essayer. Je ne parlerai donc que du numéro de février 08, le seul que j'ai lu jusqu'à présent. Et comme je ne lis généralement pas les mêmes magazines d'un mois sur l'autre, si du moins je lis un magazine, il faudra attendre probablement un certain nombre de mois avant que je ne le relise. Par contre, pour compléter mon avis, je me réfère au site internet du magazine, www.espritfemme.com qui propose un numéro en lecture (voir la page http://brochures.numeriques.info/docs/_/ESPRIT_FEMME_34/). Le site a été actualisé, le numéro en question est celui de ce mois-ci, mars 08.
Le magazine possède des rubriques diverses, mode, cuisine, etc. comme dans tout magazine féminin. La rubrique "sexo" est assez maigre. Deux pages sur le numéro de mars en ligne : "Pourquoi les hommes s'endorment-ils après l'amour ?" dont une de photo et quatre pages dans le numéro de février, consacrées au "hsd" autrement dit la baisse de libido avec surtout, sur ces pages, des suggestions pour résoudre ce problème. Ces pages n'apportent pas grand chose, il faut bien le dire. L'article sur le "hsd" est basique, les remèdes sont attendus. Il faut tout de même reconnaître la clarté des explications et la disposition très carrée. En dehors de cette rubrique "sexo", je me souviens, toujours dans ce numéro de février, de deux pages sur l'huile d'argan. En dehors de ces quelques pages, le numéro ne m'a laissé aucun souvenir.
Pour conclure : un magazine plutôt agréable à lire, mais sans plus.
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Les plus : La rubrique gadgets, et l'ensemble, se sont un peu animés, la rubrique cuisine est pas mal...
les moins : Prix un peu élevé, magazine plutôt mémère, mise en page tristounette
La rédactrice en chef de Biba (magazine créé en 1980) est Christine Leiritz (anciennement codirectrice de Bien dans ma vie). Le magazine a toujours visé les femmes d'une trentaine d'années, avec une nette tendance "vie pratique", "psychologie", et "vie de famille". Si, il y a quelques années, la vie de bureau était également une dimension omniprésente de Biba, il faut remarquer qu'un certain nombre de changements ont eu lieu, - en bien -, sous l'influence évidente de Cosmo, que Biba, à mon sens, copie effrontément.
Si l'on prend le numéro d'août de cette année 2007, on trouvera des rubriques qui n'existaient pas il y a quelques années: -"blind test" est un remake de "Rencontre" dans Cosmo: un homme et une femme vérifient s'ils ont les mêmes goûts et s'ils se souviennent des mêmes événements de leur vie. -"Le mec bien" copie bien sûr "30 minutes pour séduire": qu'on prenne le temps de lire les sous-titres "il a une petite gueule d'ange (voire de premier de la classe)" [Biba]; "mais à qui fait-il de l'oeil?" [Cosmo]. -"Autoportrait" reprend la rubrique "VIP".
Par ailleurs, s'il y a quelques années encore, le sexe était perdu sous les problèmes de bébé, ce n'est plus le cas: cet été, 12 pages "sexo", toutes rouges, consacrées aux jeux sexuels, font la une du magazine (l'annonce est toujours à droite sur la couverture, et comporte 8 lignes; le mot "sexo" étant en caractères roses de taille supérieure à toutes les autres tailles de caractère). Le nouveau Biba aurait-il donc décidé de laisser tomber les collants pour les bas??
Une rubrique micro-trottoir est également consacré à la drague.
A contrario, la rubrique "grossesse" tient 2 pages.
Un nouveau ton a incontestablement été donné. Je tenais à le souligner. Les rubriques de gadgets sont, elles, assez variées: cet été, j'y ai trouvé des trucs marrants et pas chers du tout. Les recettes de cuisine étaient réalisables, et originales, sans être trop chères.
Le numéro d'août (c'est pour ça que je l'ai acheté!!) présentait un petit cadeau: un top Paul & Joe Sister (le tout, avec la revue, coûtait 2 euros 80); bon, c'était pas terrible, terrible, et surtout il n'a pas fait assez de soleil pour le mettre, mais ce n'était pas trop "nul" non plus.
Bref, un magazine que j'ai connu vraiment sans attrait, et que je n'ai pas acheté pendant des années, et qui, pour les derniers achats que j'ai faits, s'est nettement amélioré. A suivre donc.
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Les plus : Prix, format poche, essai de magazine pour les trentenaires, thèmes vraiment variés
les moins : Très orienté "psycho" et bien-être, photos assez laides, plutôt "planplan"!!
Ce magazine fait partie des revues que j'achète régulièrement (il faut de quoi m'alimenter en sottises après le boulot, quand je n'en peux plus), depuis sa première date de parution. Ce qui m'a d'emblée intéressée, c'est qu'il s'adresse enfin à nous, les quasi quadra, ou trentenaires tassées, sans exagérer dans le côté "mémé". Mais, il y a hélas un "mais", ce côté mémé (je ne dis pas ça pour ma "mémé" à moi que j'adore et qui est la moins "mémé" des femmes!) su de partout: c'est d'abord l'idée selon laquelle il faut être, comme le titre l'indique, "bien dans sa vie"; j'avoue que le titre n'est pas, à mon sens, une réussite; il évoque plutôt les pantoufles que les P.-J, ou les corsets de cuir! D'ailleurs, ne vous fatiguez pas, vous ne trouverez rien sur ces deux derniers thèmes dans BDMV...
Fondé en 2002, ce magazine appartient d'abord au groupe allemand de Die Welt, à travers la filiale française Axel Springer France. A partir de 2006, BDMV a été racheté par le groupe Prisma Presse, groupe qui possède notamment Femme Actuelle, et Prima.
Le format poche est très agréable; la mise en page ne change jamais, elle est claire, et pratique, assez colorée; ça va! Les thèmes sont: rubriques générales (livres, ciné, musique, sorties, numérologie, horoscopes, analyse des rêves...!), psychologie, sport, beauté, mode, cuisine, santé, sexualité, femme active.
La rubrique consacrée à la sexualité fait environ 11 pages, et comporte les thèmes suivants: - un petit sondage (souvent rigolo et instructif); - un micro-trottoir, avec les gens en photo; - un article à thème (ce mois: les nouveaux préservatifs: nervurés, etc; et leur lien aux sextoys); - un ou plusieurs tests; - le courrier des lectrices, auquel répond un sexologue.
L'article à thème varie tous les mois; on remarque une certaine orientation sextoys, mais légère encore. Ce qui est intéressant, c'est la rubrique courrier; mais le sexologue ne m'inspire pas confiance. En revanche, à la rubrique santé, le médecin généraliste qui répond au courrier (chaque grande rubrique du magazine comporte son courrier et des réponses) est très honnête, et donne des renseignements, sans faire dans le genre "consultation gratuite". La rubrique santé, au reste, est plutôt bien faite.
Par contre, l'ensemble est assez "gnangan"; manque de punch, de sexy; aussi bien les photos que les articles. Et je n'adhère décidément pas à la psychologisation massive de ce journal: tout est un cas de conscience (on retrouve les éternels problèmes "coucher avec son meilleur ami"). Les rubriques livres, ciné, etc, sont vides. Les horoscopes ne sont même pas drôles. L'introduction de la numérologie et de l'analyse de bastringue des rêves me paraît très dangereuse pour la bonne santé mentale des lectrice.
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Les plus : On l'attend tous les ans
les moins : C'est toujours la même chose!
J'ai commencé la lecture de Cosmo, et donc de son supplément sexe, il y a une quinzaine d'années... Oups! C'est clair j'ai non seulement fait le tour de tous les articles possibles, mais je les connais par coeur avant qu'ils ne soient sortis!
Et quand j'étais jeune, ai-je appris quelque chose à la lecture de ces suppléments? Sans doute ai-je été avertie des phénomènes de mode. Par exemple, l'arrivée des "tickets de métro", et autres. Bref, ça m'a permis de ne pas être larguée, quand un homme faisait une allusion à un truc sexe bien connu de la jeune génération. Encore aujourd'hui, pour une vieille comme moi, j'y vois une source de vocabulaire, et de modes: ce qui est dans le vent, touchant le sexe.
Par exemple, dans le numéro de cet été, les filles pas homos qui s'embrassent - une nouvelle mode, une nouvelle façon de flirter, et de draguer les hommes, dit-on.
On a souvent des horoscopes sexe: à mourir de rire! Mais évidemment, comme toute lectrice de Cosmo, je les lis; donc, "j'ai rencontré le bel homme, etc, si je suis célibataire [attention, Cosmo est coquin, mais pas tant que ça], car si je ne suis pas célibataire, je ne rencontre personne, mais tout va bien avec mon mec".
Les tests sexe: la plupart du temps, je ne peux pas les faire, je ne comprends pas les questions, ou je vois venir les résultats gros comme des éléphants dans un magasin de porcelaine. Quelque fois, c'est plus amusant, il y a les tests pour deux: difficile de faire participer mon copain! Mais quand nous le faisons, après avoir répondu à des questions inintelligibles et laissé tomber 3 ou 4 questions, nous apprenons que nous sommes incompatibles! Hélas, sommes-nous trop vieux***? Nous ne connaissons quasiment aucun des héros TV apparaissant dans ces tests et auxquels on nous demande de nous identifier: "iriez-vous passer une semaine avec Patrick Dempsey?" (c'est pas un héros TV?)
Il y a bien sûr des tendances dans Cosmo. J'ai connu, en fonction des rédacteurs en chef, la tendance "homo dures"; ça a duré très peu de temps. Aujourd'hui, le supplément sexe prend une couleur "sextoys" soft; c'est la mode...un peu dans tous les magazines féminins d'ailleurs.
Quoi qu'il en soit, le supplément sexe, je le lis toujours, parce qu'en été, quand il fait beau du moins, j'aime bien lire ça. Mais, cet été, il m'est tombé des mains. Je ne l'ai pas encore fini. De manière générale, les suppléments sont de qualité inférieure avec le temps. Notamment, le traditionnel supplément horoscope de l'hiver est vraiment à qualifier avec un terme qui ne convient pas de figurer ici.
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Les plus : petit format pratique, articles rédigés sérieusement, pas de vulgarité, une véritable information, mise en page soignée, beaucoup d'articles réellement intéressants
les moins : quelques articles d'intérêt moindre, quelques illustrations qui ont un air de déjà vu ailleurs, prix légèrement supérieur à la moyenne des magazines mais cela ne me gêne pas.
Après plusieurs tentatives pour trouver ce magazine dans une maison de la presse près de chez moi -certains buralistes ne connaissaient même pas ce magazine ! et après un retard de publication entre le numéro 3 et le numéro 4, j'ai enfin pu tenir un numéro de Sensuelle. Et je ne regrette pas d'avoir persévéré dans ma recherche et mon attente, puisque c'est un magazine que j'aime beaucoup et auquel je compte m'abonner (ce sera bien plus commode que de le chercher désespérément).
Le magazine fait 100 pages, couverture comprise. Sur ces 100 pages, 9 sont consacrées à la publicité, ainsi qu'un insert en milieu de magazine. Je trouve que c'est peu, surtout que sur ces publicités, deux concernent des spectacles et je trouve cette information publicitaire toujours intéressante. Et puis une jolie publicité pour la lingerie RCrescentini par exemple, cela passe très bien chez moi...
Le magazine propose cinq rubriques : découvrir (avec interview, reportage photographique...), réfléchir avec un dossier sur "la pornographie, banalisation et surenchère sexuelle" que j'ai trouvé intéressant, un entretien avec Jacques Attali à propos de son livre Amours, histoire des relations entre les hommes et les femmes que j'avais lu tantôt (produit > amours histoires des relations entre les hommes les femmes). J'ai trouvé regrettable dans cet interview que l'accent soit surtout mis sur l'avenir de l'être humain et de ces relations entre hommes et femmes, qui ne concerne finalement que la fin de l'ouvrage. Un autre article particulièrement intéressant a pour objet le phallocentrisme ou la longue histoire de la femme perçue comme négation : celle qui n'avait pas de phallus.
La rubrique séduire s'attaque à la lingerie (rouge), à la mode, aux cosmétiques... Une mention spéciale à la présentation de produits au chocolat (ceux qui connaissent ma liste comprendront cet intérêt que je manifeste pour cette page du magazine !)
La rubrique protéger évoque le préservatif féminin et quelques questions sur le plaisir masculin.
Pour terminer, la rubrique partager explore la fellation, le rôle du regard dans le jeu amoureux, l'intervention d'un sexologue dont on croise facilement le nom sur le net et enfin deux articles que je n'ai pas lu : le test psycho et l'astro, parce que cela ne m'intéresse guère. Une chronique amusante, sur une page, conclut le magazine.
Pour une première lecture, je suis très satisfaite du magazine, comme je l'ai dit précédemment. Je continuerai à le lire, sans aucun doute.
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