Les meilleurs avis
- Choix d'une sous-catégorie >
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : tout (voir mon avis élogieux !)
les moins : rien ou peut-être le prix, et encore...
Autant commencer par là : c'est mon vibromasseur préféré. Je n'en connais peut-être pas suffisamment pour dire qu'il s'agit du meilleur d'entre tous, mais c'est avec mes connaissances en tout cas le meilleur. Il touche à la perfection. Quel point négatif pourrait-il avoir ? Son prix peut-être ? Mais il vaut parfois mieux mettre un prix élevé pour une réelle qualité plutôt que d'acheter deux ou trois produits de moindre qualité qui en fin de compte feront monter la note aussi haut tout en nous laissant peut-être un brin mélancolique : si j'avais su, j'aurais pris Gigi. Vous le savez à présent, commencez à économiser. J'exagère un peu, il y a de bons produits moins chers, pas aussi extraordinaires que Gigi, mais pas mauvais non plus (voire très bien).
Gigi, c'est d'abord une boîte en carton violette et la sobriété de la présentation. Sous la boîte gigogne, une autre boîte épaisse, robuste, et noire cette fois-ci, encore plus sobre. Lelo et l'élégance.
Ouvrons. Dans la boîte, le vibromasseur et tout le matériel qui l'accompagne : chargeur, prises différentes pour des adaptations à tout type de prise électrique car qui possède un produit Lelo possède la clef du plaisir où que cet heureux propriétaire se trouve, et pochette satinée noire, douce, avec liens coulissants.
Gigi est donc, vous l'avez compris, un vibromasseur qui se recharge. Oubliez les piles, mais pas le cordon d'alimentation. Deux heures de chargement apportent 1 h 30 de fonctionnement.
Je parlais de la sobriété du packaging. Mais la sobriété est aussi le fait du produit lui-même. Pas de recherche esthétique futuriste, pas de design aguicheur, pas de couleur ou de forme tape-à-l'œil. Gigi n'en a pas besoin. Gigi est extraordinaire de simplicité, d'élégance au risque de me répéter, tout en étant remarquablement efficace. Tout est là, comme il faut, c'est une merveille.
Gigi se compose de deux parties : une partie blanche, lisse, que l'on tient en main, munie d'un ingénieux bouton permettant de régler tout à la fois le mode de vibration et l'intensité des vibrations et une partie colorée -mon Gigi est parme- en silicone d'une grande douceur à la tête recourbée à la façon d'un crochet. Entre les deux, une bague argentée.
La matière utilisée est donc l'ABS et le silicone. Gigi est d'entretien facile : eau et savon lui suffisent, la forme sans aspérité rend aisé ce nettoyage. Pour les utilisateurs de lubrifiant, peut-être est-il bon de rappeler qu'avec un jouet en silicone, il convient d'utiliser un lubrifiant à base d'eau.
L'interrupteur-modulateur est circulaire, une diode blanche s'y allume après une simple pression. Deux plus, deux moins l'encadrent. Plus d'intensité ou moins d'intensité, aller plus loin ou reculer dans la gamme des modes vibratoires. Voilà le choix proposé. Les combinaisons sont multiples. Soit 14 pressions possibles pour l'intensité et 5 possibilités de modes, nous nous retrouvons donc avec 70 façons différentes d'appréhender Gigi. Si l'on prend en compte le fait que dans une même utilisation plusieurs combinaisons sont essayées de suite, ce nouvel arpège pouvant se répéter, se moduler, changer du tout au tout, vous comprendrez que l'exploration des variantes de Gigi n'a jamais de fin. Gigi est une découverte constante et un mode de découverte de son propre corps sans cesse différente.
Ces modes de vibrations, au nombre de cinq, proposent une vibration continue, trois niveaux de vibrations intermittentes plus ou moins rapprochées et une vibration appelée « avant après » qui donne l'impression d'être prise dans une spirale, un tourbillon.
D'une forme étudiée pour la stimulation du point G, Gigi permet grâce à cette tête une minutieuse et sensuelle découverte de tout point érogène, en surface comme en profondeur et, grâce aux variations d'intensité et de mode de vibrations, la rencontre parfaite entre le lieu stimulé et la vibration la plus adaptée.
Et le tout dans le silence... incroyable réussite, je croyais que la discrétion n'allait pas de pair avec les vibromasseurs. Au plus fort des vibrations, Gigi ne dépasse pas 50 décibels.
Gigi est-il un vibromasseur destiné aux personnes qui font déjà preuve d'une certaine aisance avec l'utilisation des sextoys ? Est-ce le produit ultime ? Non, pas du tout me semble-t-il. Il peut convenir aussi bien comme premier sextoy (et dans ce cas quelle chance de commencer par le meilleur !). Je pense que Gigi a cette faculté de s'adapter à toutes sortes d'utilisations qu'elles soient d'initiation ou déjà expertes, il offre une palette de sensations, c'est le vibromasseur dont on ne peut pas se lasser, un investissement vite rentabilisé.
Y a-t-il un après-Gigi ? Avec toutes ces qualités, on peut en effet se demander si l'on peut encore utiliser un autre vibromasseur. Il est certain qu'avec Gigi, la barre est très haute. Ce qui ne signifie pas que plus rien ne peut nous satisfaire. Je ne parlerai pas du partenaire car ce serait un faux débat : un vibromasseur n'est pas là pour remplacer monsieur. Pour ma part, il n'y a pas d'après-Gigi dans le sens où je ne le laisse jamais de côté bien longtemps, je reviens à lui fréquemment. Mais des utilisations d'autres sextoys, oui. Parce que le sextoy est un jeu et que j'aime varier les jeux.
|
98 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Goût, parfum |
|
Texture |
|
Contenance |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Le parfum qui reste longtemps après sur la peau
les moins : Prix - Aphrodisiaque ?
Eh oui grâce à notre chère Anonyme26 j'ai enfin retrouvé ce qu'était que cette petite boule ! En effet je l'avais piqué, il y'a de ça longtemps, dans le panier garni offert à mes parents, elle m'avait laissé un souvenir merveilleux et depuis ce jour je ne cesse de chercher ! Mais où la trouver ? Qu'est-ce donc que cette boule qui se dissout ? Et aujourd'hui quel soulagment que d'arrêter ces recherches et de profiter pleinement de ces petites merveilles, donc je le dis haut et fort : MERCI Anonyme26 !!!!
Samedi soir. Petit bain en amoureux. Je veux lui faire découvrir ce petit bijoux, lui, sceptique : " mais qu'est-ce que t'as encore acheté ?!! ".
Je fais couler un bon bain bien chaud et jette cette boule magique dedans. Des oooohh et des aaaahhh à la pelle. Quel bonheur pour les yeux que de voir cette bombe littéralement exploser !! La couleur de l'eau, un vrai délice, on pourrait la boire pensant à du sirop de fraise (en plus clair bien sûr). Mais de l'eau rose quand même, du jamais vu, c'est tout simplement GE-NI-AL, que dire de plus ? Et le bouquet final...cette petite fleur en papier de riz qui flotte une fois la boule complètement dissoute !! Magnifique !! Mais que demander de plus ??
Et ne parlons pas de l'odeur !! Mais si justement, parlons-en ! Exquise, merveilleuse, magique... Ca nous a transporté, complètement. Ce mélange d'huiles, un vrai bonheur. L'odeur nous reste encore longtemps après sur la peau, c'est tellement agréable. On se sent véritablement fraîche.
Mais...vous avez dit aphrodisiaque ? Pour l'esprit peut-être car c'était tout simplement jouissif à ce niveau-là, un bien être intérieur incomparable mais aucun dérapage au final ^_^ Une envie de dormir dans le bain et de sentir cette "eau transformée" agir sur notre peau, de sentir cette odeur merveilleuse durant des heures entières. C'était apaisant pour le corps et jouissif pour l'esprit...
Maintenant le prix... J'avoue que je trouve ça un peu cher dans le sens ou une boule = un bain et que ça se dissout si vite :( On aimerait profiter de ce moment un peu plus longtemps. Il faut vraiment savourer le moment où l'on jette la boule : " et hop 5 € en moins :D ". Néanmoins le prix reste assez corect quand on voit la qualité du produit, nous n'allons donc pas nous plaindre :)
Au final un grand remerciement de l'amoureux envers sa chère et tendre et un grand remerciement de liz30 envers Anonyme26 ^^
liz complètement accro......
|
56 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Excellent rapport qualité/prix
les moins : Il n'aurait pas un grand frère?
Je l’ai voulu dès que j’ai lu l’avis d’Agaperos, et les avis suivants n’ont fait qu’accroître mon envie jusqu’à ce que je finisse par craquer. Au vu de certaines listes, je ne suis apparemment pas la seule à avoir été tentée. :-)
Ce qui m’a séduite c’est la perspective d’avoir les mains libres car j’aime beaucoup utiliser deux jouets à la fois mais ce n’est pas toujours excessivement pratique…Oui, je sais, pour ça il existe un formidable « système deux en un » qui porte le nom bucolique de rabbit (Lillyrose, si jamais tu passes par ici, bientôt je m’en achète un, promis !) mais la vie serait moins drôle si on ne se la compliquait pas un peu. Donc, c’est dans cette optique que j’avais acheté ce petit vibro, et il remplit très bien sa part du contrat. Comme il a été dit dans les précédents avis, les vibrations (un seul mode de vibrations continues, on peut seulement régler l’intensité), se réglant par une molette située à la base, il faut un peu ressortir l’objet pour modifier la vitesse. Pour ma part, j’ai réglé très simplement ce problème, je mets les vibrations à fond et après je ne touche plus à rien.
Comme je l’avais acheté en vue d’un usage couplé avec un stimulateur clitoridien, je me serais contentée qu’il remplisse son office pour cette utilisation. Mais ce qui m’a agréablement surprise, c’est que j’ai vite été tentée de faire beaucoup plus avec lui. J’ai beau être clitoridienne, j’ai très vite éprouvé l’envie de l’utiliser seul en raison de ses nombreuses qualités. D’une part, du fait de sa texture agréable et de ses formes douces, c’est un délice de jouer à le faire entrer et sortir. D’autre part, j’ai été scotchée par la puissance de ses vibrations. Je ne sais pas si c’est dû à la qualité de ses vibrations, qui diffèrent de celles de mes autres vibros, ou au fait que, comme dit Agaperos, il se trémousse (il vibre sur la totalité de sa longueur), toujours est-il que les sensations produites diffèrent de celles que je peux connaître avec mes autres jouets. Ca fait comme des ondes qui se propagent partout à l’intérieur de moi, c’est une sensation étonnante et très agréable.
En plus, il a le bon goût d’être incroyablement silencieux.
Un seul tout petit bémol en ce qui concerne les vibrations : parfois à la mise en marche, leur puissance varie d’intensité de façon aléatoire pendant quelques dizaines de secondes, avant de se stabiliser.
Je ne pensais pas en faire un usage clitoridien, sa forme pataude et ses vibrations ne me paraissaient pas optimales. Et puis, un jour où mes vibros préférés étaient déchargés, c’est lui qui m’est tombé sous la main. Au début, j’ai trouvé les vibrations agressives…puis intéressantes. Au final, en usage externe je le trouve aussi très bien et je l’utilise de plus en plus régulièrement.
Cerise sur le gâteau : il marche très bien sous la douche, sans avoir l’air d’en souffrir.
J’ai été bluffée qu’un vibro de ce prix s’avère aussi complet et d’aussi bonne qualité. J’envisage de plus en plus de m’en acheter un deuxième pour en avoir un d’avance au cas où.
|
39 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Goût, parfum |
|
Contenance |
|
Texture |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : jolie présentation, forme pratique, durée d'utilisation, parfum!
les moins : peu présent en France, pas de VPC, et pire que tout : ça ne se mange pas!
Lush, c'est très bien, mais pour satisfaire à des envies pressantes, c'est limité. C'est donc dans une boutique de ma ville que j'ai eu le bonheur de trouver cette petite merveille chocolatée. Que les choses soient claires : j'aime le chocolat. J'adore le chocolat. J'idolâtre le chocolat. Tenez vous le pour dit. Aussi quand après avoir remarqué ce mignon petit coeur rose, surmonté d'un mini coeur brun, j'ai pu lire sur son emballage "Chocolate Therapy" il n'a plus été imaginable de continuer à vivre sans cette barre de massage. C'est donc d'une somme tout à fait raisonnable (compte tenu de la durée d'utilisation) que je m'acquittai auprès de mon nouveau commerçant favori, et repartis l'esprit en fète.
Le massage. L'huile délivrée par la barre est de texture assez fine (moins grasse que les barres lush j'ai l'impression), légère, très agréable. La peau est toute lisse et douce et parfumée... L'odeur est..hmmm...est oooooh...est ..aaaah... c'est bien simple vous avez l'impression de plonger dans une boite de petits chocolats au lait. Souvent dans les cosmétiques, l'arôme du chocolat est plutôt amer, fort : ici on sent vraiment le côté sucré. Et puis ça dure! A vous donner l'impression d'être une jolie pâtisserie dans la vitrine de la boulangerie.
On ne peut pas vraiment dire que je souffre d'une nouvelle addiction, étant déjà accro au chocolat et au principe des barres de massage. Simplement j'ai trouvé un produit qui concilie les deux!
PS : selon leur site internet, bombcosmetics partage les principes cosm'éthiques de Lush. Ils sont aussi Anglais! mais eux ne sont pas encore disponible en VPC en France. Guettez vos petits commerces!
|
34 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Goût, parfum |
|
Texture |
|
Contenance |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : odeur meeeerveilleuse, texture inédite
les moins : difficile à utiliser pour les matins pressés!
Hé oui mesdames et messieurs, vous l'aurez compris, Lush, ce n'est pas seulement du bonheur en barre, c'est aussi du bonheur en gelée. Et en ce qui concerne le bonheur, cette gelée donne une bonne idée de ce que serait le paradis olfactif. En fait, elle porte plutôt mal son nom. Ses effluves de piña colada (le rhum en moins) auraient plutôt tendance à me donner une furieuse envie de sauter partout! je la trouve terriblement énergisante, euphorisante, plutôt qu'apaisante. La mousse fine à l'odeur fraîche, exotique et enivrante parfume délicatement votre peau et la rend toute douce...
La texture est une vraie curiosité! j'ai hâte de tester la congélation...en attendant, ce n'est pas ce qui se fait de plus pratique : ça glisse et ça se faufile, ça s'échappe par le siphon (et c'est dur de voir un bout de paradis partir dans les canalisations :( )...mais tout de même ça peut donner naissance à toutes sortes de jeux coquins, ou même moins coquins (j'ai passé quelques bonnes minutes à pétrir la gelée entre mes doigts juste pour le plaisir de la sensation-j'adore) Une astuce pour les matins où on a envie de se faire plaisir, mais sans passer son temps à jouer à attrape moi si tu peux : frottez directement votre morceau de gelée sur votre fleur de douche ou écrasez le contre votre loofa ou gant de crin. Il ne filera plus :) En fonction de l'endroit où vous la commanderez, elle vous paraitra plus ou moins onéreuse : en ce qui me concerne, pour le prix que j'ai eu à la payer, je trouve que c'est tout à fait raisonnable pour un petit bout de plaisir les matins où c'est vraiment difficile.
|
31 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : les 16 programmes, forme ergonomique
les moins : Le bruit, le matériau qui attire trop la poussière
Le Cône est dans mon arsenal depuis... je préfère ne même pas le dire. Ce fut un cadeau de partner in crime. Étonnant ! Grand, lourd, hilarement rose... on dirait un chapeau vietnamien recyclé pour le capitaine James T. Kirk en phase "Barbara Cartland". Et 16 programmes de vibrations ! Rien que ça !
Ensuite, pas de grande philosophie pour l'emploi : l'idée de base étant d'avoir le cône stratégiquement placé entre les jambes, le reste (les 9 vignettes du livre d'instructions et aussi ce qui vous dicte l'imagination) formant l'ensemble des variations sur le même thème. C'est particulier, c'est drôle, c'est jouissif.
La mise en marche et le maniement sont un exemple du minimalisme : deux boutons ! Un pour mettre la bête en marche (tenir le bouton appuyé pendant 2 secondes) et l'arrêter (toujours 2 secondes... si c'est plus court que cela, on passe directement au 16e programme... pas chouette si on est au 3e programme par exemple ! :)) et le second bouton pour changer les programmes !
Bref, un jouet pour les gens que veulent beaucoup pour le moindre effort !
Quant aux programmes : un vrai manège vibratoire ! Si les premiers 5 programmes c'est la vibration uniforme dont l'intensité se quintuplie progressivement, à partir du 6e cela commence, les surprises !
Parmi bémols (quel jouet en est exempt ?) : 1. Le matériau. En fait, de bonne qualité : les possesseurs d'un jouet Lelo reconnaitront le soyeux "aile-de-papillon", mais moins rigide à la pression... Ce qu'il faut lui reprocher c'est d'être pire qu'un aimant quand il s'agit de poussière, poils et plein de particules petites et légères... 2. Le bruit ! C'est le plus bruyant jouet dans mon arsenal ! Vous voulez tenter de l'utiliser appuyé contre le mur ? Certes, mais n'oublez pas les boules quiès ! De même pour le sol garni de parquet ! Ou les chaises en bois ! Le problème est que l'objet réclame les surfaces dures afin de mieux rendre les vibrations, dur dur donc d'éviter le bruit ! Mais sur un tapis ou sur un fauteuil revêtu de tissu, c'est déjà moins dérangeant. 3. Le poids. Avec ses 800g, on n'a certainement pas affaire à une plume ! Il n'est donc pas à ranger parmi les jouets à inclure dans le trousseau de voyage ! 4. Comme l'évoque déjà Ève, le changement des programmes est embêtant... La possibilité de naviguer entre les programmes serait bienvenu. Ça coupe un peu l'ambiance si on veut aller du programme 11 au programme 7 - ce qui oblige d'arrêter le cône et de reprendre avec le programme 1 !
Globalement, le cône reste une bizarrerie amusante et assez efficace. Un petit météorite tombé du planète de la Mousse-aux-Framboises dont la fonction (ou la révélation de celle-ci ?) dessinera une expression mémorable sur le visage de (au choix) : le cousin féru de technologie, la tante soixantehuitarde, maman (à la réflexion, mieux pas), le curé... le fiancé vieux jeu ? (Ce jouet me met toujours d'humeur ludique !)
|
27 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Ergonomie |
|
Design / Aspect |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Sa beauté - Ses finitions - Sa matière - Diamètre et Longueur
les moins : Absolument AUCUN !
Voici le premier objet de "luxe" qui est arrivé dans ma collection et je crois qu'une fois commencé on est de plus en plus attiré par des objets de ce genre : si cher mais tellement merveilleux !!
Reçu dans une très belle boîte (on aurait envie de la garder et de l'exposer elle aussi). Le LoveMoiselle est bien calé dedans, aucun risque de casse ou alors auncun risque pour qu'il s'abime, d'ailleurs j'ai même eu du mal à le sortir ! Une fois débalé qu'est-ce que découvre ?? Une belle pochette noir en velours pour pouvoir le garder bien au chaud, j'ai également craqué sur cette pochette...ou alors c'est la magie du produit qui fait son effet !!
Que dire sur notre chère NOEMIE à part cela ?? Tout d'abord son efficactité est à la hauteur de sa beauté, incontestablement...
Ses finitions, sa couleur, son motif floral...une vrai oeuvre d'art. Il communique un sentiment de douceur, de légèreté et de sobriété. L'objet face à nous et nous ressentons un merveilleux plaisir : celui des yeux.
La longueur et le diamètre sont, pour moi, parfaite. On a également une (très) bonne prise en main, ce qui facilite énormément les choses ^_^ Pour le poids de l'objet je ne peux répondre, je n'ai jamais eu un gode en verre/pyrex entre les mains, je ne peux donc dire objectivement s'il est lourd ou léger.
La texture...le NOEMIE est très lisse et très doux. On ne sent pas du tout la différence entre le motif floral et le gode en lui-même.
La première utilisation...à mon grand étonnement, pas besoin de lubrifiant, peut-être parce que notre NOEMIE m'avait attiré depuis longtemps déjà ;) On peut l'utiliser à froid ou à chaud et je vous avoue que je préfère le contact à froid, c'est tellement surprenant et c'est...bon, tout simplement :D Le NOEMIE s'adapte assez vite à la température du corps, sûrement dû à sa matière ! Que dire de plus à part qu'il procure énormément de plaisir et de très belles sensations...
J'avais hésité entre lui et sa soeur AVELINE (cf. fiche : produit > aveline), je l'ai choisi lui pour sa beauté et parce que ses courbes m'attiraient mais je crois que je ne pourrais résister à la tentation d'acheter AVELINE...
Son seul bémol (et encore) c'est sa fragilité. J'ai toujours une crainte de le faire tomber par terre mais avec un peu d'attention tout va bien ! Puis, à part dans un lit, je ne l'utilise nul par ailleurs ^_^ Il y'a également le prix qui peut paraître un peu cher mais après utilisation le prix paraît parfaitement (ou presque) approprié.
Mais enfin bon, ce ne sont que des détails, qui pour moi, sont totalement dérisoirs !!
De tous mes jouets (bon ok j'en ai pas beaucoup ^^) c'est lui mon préféré, mon chouchou. Je le recommande à tous et je le redis haut et fort :
- Son efficactité est à la hauteur de sa beauté -
|
24 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Ergonomie |
|
Design / Aspect |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Tous les points forts des Smartballs classiques + le poids, le relief, l'encoche pour faciliter l'insertion
les moins : Le nouveau système de rotation des billes, la ficelle me paraît fragile
Alléchée par l’avis d’Adibou, je me suis précipitée sur les nouvelles Smartballs Teneo. Celles-ci étant sensées être une version améliorée des Smartballs classiques, je ne vais pas refaire un avis complet. Je vais passer assez vite sur les points similaires et plutôt m’attarder sur les différences.
La présentation, la matière, la forme, les dimensions, la facilité d’entretien sont identiques à celles des Smartballs. Pour le moment, les Teneo ne sont pas disponibles dans une large gamme de couleurs douces ou acidulées comme les Smartballs, et sont disponibles seulement dans quelques coloris. Mais les miennes, noires et roses, me plaisent bien.
La première différence notable au niveau de l’aspect extérieur concerne le relief, plus prononcé sur les Teneo, afin de renforcer les sensations. C’est un des points qui avaient motivé mon achat car j’aime beaucoup le moment où je mets les Smartballs et je m’attendais à ce que les Teneo me fassent encore plus d’effet. Et là, première déception : je n’ai jamais rencontré la moindre difficulté pour mettre les Smartballs mais, avec les Teneo, j’ai relativement du mal (en général, je n’utilise pas de lubrifiant, mais là j’avoue que j’ai été tentée). Ce qui fait que l’opération s’avère au final moins agréable que laborieuse. Deuxième modification au niveau de l’aspect extérieur : Fun Factory a rajouté une encoche dans la deuxième boule pour en faciliter l’insertion. Ca, c’est vraiment bien pensé, et c’est une amélioration que j’ai trouvé utile.
La conséquence de l’ajout de cette encoche, c’est qu’ils ont déplacé les extrémités de la ficelle. La matière de celle-ci a été changée (sur leur site, ils indiquent qu’elle est en silicone). Contrairement à certains avis que j’ai lus, je n’ai jamais eu d’inquiétude concernant la solidité de la ficelle des Smartballs, et il m’arrivait de m’en servir pour retirer les boules sans aucun état d’âme. Avec les Teneo, je me sens beaucoup moins tranquille. Peut-être que c’est seulement une impression qui est due à la différence de matière et au fait que la ficelle des Teneo est élastique, et que cette impression n’est pas justifiée. En effet, j’ai tiré à plusieurs reprises assez vivement sur la ficelle pour voir comment elle réagissait et elle a très bien tenu le choc. Néanmoins, je reste un peu méfiante et je ne l’utilise jamais.
L’autre différence majeure qui a motivé mon achat, c’est que le système de rotation des billes a été complètement revu, là encore pour offrir plus de sensations. Avec les Smartballs, je sens les billes bouger quand je fais des mouvements. Evidemment, on est très très loin de l’orgasme (ce n’est pas le but non plus), mais ça me fait un chatouillis agréable que j’aime bien. Avec les Teneo, deuxième grosse déception : je ne sens pas les billes bouger. Du tout. J’ai même essayé de faire du sport avec (à la maison, pas dans une salle quand même). En vain. Je ne sens rien. Rien de rien.
La dernière différence avec les Smartballs, c’est le poids : les Teneo sont un peu plus lourdes. Ca, je trouve que c’est une bonne idée, dans la mesure où ça me permet de diversifier les sensations en alternant les deux modèles. Par ailleurs, je ne sais pas si c’est dû au poids, au relief ou à une combinaison des deux, mais je ressens beaucoup plus – ou plutôt je suis beaucoup plus consciente – de la présence des Teneo. Les Smartballs, je les sens quand je bouge mais, si je reste immobile, je les oublie aussi facilement qu’un tampon. Les Teneo me procurent beaucoup moins de sensations mais je n’arrive pas à les oublier. Plus que les Smartballs, elle me procurent une conscience accrue de ma féminité, et je trouve ça assez excitant. Ce qui fait que j’aime bien les porter.
Autre point en faveur des Teneo, les Smartballs ont tendance à descendre quand je marche dans la rue. Les Teneo, en revanche, ne bougent pas. Je peux les porter des heures, faire tranquillement mes courses au supermarché avec, sans le moindre souci.
|
23 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Pertinence des conseils |
|
Style, qualité d'écriture |
|
Photos / Illustrations |
|
Note Générale |
|
Les plus : le fait d'aborder le sujet ?, la couverture
les moins : beaucoup ! voir le relevé ci-dessous
Jane Hunt articule autour de neuf chapitres, un prologue et une conclusion l'évocation d'une pratique autrefois tabou, voire condamnée, et actuellement en pleine réhabilitation : la masturbation féminine. L'auteur justifie la nécessité actuelle d'un livre sur ce sujet en ces termes : notre petit livre s'avère – encore - nécessaire. Les femmes ont besoin de se documenter encore et encore. [...] les anciennes peurs et les interdits, lourds de 150 années de désinformation sur le sujet, perdurent.
L'intention est louable, les explications fournies quant à l'anatomie de la femme ou les techniques de masturbation bienvenues... Mais plusieurs points ont arrêté ma lecture, tant j'ai été agacée :
la vision de l'homme. Bien que je veuille bien admettre que certains individus ne pensent probablement qu'égoïstement à leur propre plaisir, faut-il englober la gent masculine toute entière et sans cesse rappeler des critiques négatives à son encontre ? Exemples de propos tenus : « éternel ethnocentrisme masculin » (p. 46), « cette éternelle paresse de l'homme à nous satisfaire » (p. 65), le conseil un peu particulier de « changer de mec » comme à la page 73 si l'homme ne nous satisfait pas, la remarque « les hommes adorent tout contrôler et surtout nous » (p.108) et j'en passe.
l'absence de références précises. Beaucoup de citations égaient le texte. Certaines sont empruntées au Rapport Hite. Quid des autres ? Parfois apparaissent un prénom et un âge, mais on ignore si les propos sont oraux ou écrits et d'où ils proviennent exactement. Certes, l'ouvrage n'a pas de prétention scientifique, mais quelques précisions me semblent s'imposer tout de même. Lorsque Jane Hunt aborde le sujet de la baisse de libido lors de l'utilisation d'antidépresseurs, on aurait également apprécié une caution autre que ses propres dires.
quelques plaisanteries peu drôles voire pas du tout, des métaphores ampoulées qui n'apportent rien et qui alourdissent l'écriture. Un petit exemple de plaisanterie à propos de la masturbation sous la douche : « Pour plus de sûreté, épousez un plombier. » (p. 58).
des pratiques jugées masochistes un peu arbitrairement. J'ai ainsi appris que l'on pouvait « s'administrer une petite fessée, pour les plus masos d'entre nous » (p.33), que l'utilisation d'un gode-ceinture s'apparentait à une pratique « SM » (p. 65), et que la masturbation en position allongée sur le ventre avait également un caractère masochiste puisque la femme qui se plaçait ainsi était à la merci d'un danger venu de l'extérieur (p. 49).
un a priori sur les sextoys. L'auteur explique clairement qu'elle n'aime pas les sextoys : « le gode, pour ce qu'il affiche d'industriel, de formaté et de mécanique, n'est pas ma tasse de thé », le tout en caractères gras, pp. 64-65. J'ai envie de répondre que c'est son droit le plus strict. Mais de là à les dénigrer comme J. Hunt le fait... Je cite la page 66 : « Entrez dans un sex-shop, vous aurez l'impression d'être dans une boutique de souvenirs d'Eurodisney. » Effectivement, quand j'en utilise, je porte même un masque de Mickey, aurais-je envie de répondre. Les godes sont donc des objets en plastique (« le plastique est roi », p. 66, « un bout de plastique froid et raide », p. 72) – je précise bien sûr que ce n'est pas le cas de tous, loin de là – et sont des objets inutiles, ne pouvant égaler l'orgasme produit avec un homme : « il sera, avec ses doigts, bien plus efficace qu'un gode » (p. 115). Pour être une utilisatrice assidue de sextoys et ayant aussi un homme à la maison, je ne serais pas aussi affirmative sur le sujet. Disons que je n'ai pas d'a priori négatifs sur les sextoys qui me conduiraient à une affirmation telle que la profère J. Hunt.
Bref, un livre que je n'ai pas apprécié du tout.
|
18 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Goût, parfum |
|
Texture |
|
Contenance |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Un parfum sensuel et enivrant
les moins : longévité des effets
Une curiosité pour l'attrait de ma partenaire envers les produits Lush m'a mené vers le lieu de perdition des Lushacolics. J'y suis entré en me disant que j'y ferais un tour, sans rien acheter.... Les parfums, les couleurs, les noms de produits et les descriptifs commercialement ajustés ont peu à peu gagné mon esprit et l'envie d'en acheter s'est faite sentir. N'ayant pas de salle de bains, mais une grande douche, je me suis tourné vers les cousins des ballistics de bain, les emotibombes..et le choix de "Sex in the shower" s'est fait à la lecture du descriptif, terriblement prometteur : "Plantez le décor, parfumez l’atmosphère, partagez une douche". Je saisis donc un exemplaire, pour tester (ainsi qu'une barre de massage Magie noire), dans l'idée de partager les délices d'une douche parfumée avec ma douce. Au sortir du magasin, j'ai encore quelques courses à faire et je me ballade avec mon précieux paquet. De celui-ci émane un parfum intense et puissant (Ylang-Ylang, gingembre, genièvre, jasmin, mimosa, géranium) qui me fait penser à ma chère et me donne de fortes envies ...pendant toute ma ballade et mon trajet de retour. Ces premières sensations présagent de bons moments lors de l'utilisation. En rentrant chez moi, je stocke le produit dans un meuble de ma salle de bain. A chaque matin, lors de mes ablutions, le parfum m'accompagne et me fait de l'effet. Il me tarde de l'utiliser quand je serais avec ma belle. Ayant lu dans un commentaire sur le CDS, qu'un des membres signalait que contrairement aux ballistics de bain, les huiles essentielles contenues dans les émotibombs n'étaient pas profitables à la peau du fait qu'elles devaient être utilisées dans le fond de la douche et qu'ainsi elles n'entraient pas en contact direct avec le corps, je réfléchis à une technique qui pourrait trouver parade à cet inconvénient. Je finis par trouver l'idée d'utiliser un filet à pastille de lessive, que j'accrocherais à la pomme de douche, avec "Sex in the shower" enfermé à l'intérieur. Je décide d'essayer cette "innovation" seul, pour tester la réussite de cette manoeuvre. J'installe donc le filet avec la pastille, puis je m'installe dans ma douche. Le parfum est toujours présent et stimulant. J'ouvre la pression d'eau...l'émotibomb commence à mousser et là je comprends que le produit ne fera pas profit. Au bout de quelques secondes (5,6 ?), l'émotibomb a réduit de moitié et les huiles s'évacuent dans le siphon, et au bout d'une minute, l'émotibomb a complètement fondu et le parfum enjôleur s'est évanoui. L'ambiance n'est plus, le charme est rompu... En conclusion, je dirais que Sex in the Shower peut trouver une utilisation pour parfumer agréablement une salle de bain (mais est-ce le but ?), et que j'ai envie de me faire inviter dans une baignoire avec une ballistic...
|
14 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Efficacité |
|
Texture |
|
Ergonomie |
|
Design / Aspect |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Ingénieux, efficace, discret.
les moins : Jetable, un peu bruyant.
le Deep Throat Cup est mon deuxième masturbateur acquis après le Fleshlight, et le premier d'une série de trois Tenga que j'ai eu l'occasion de tester...
Comparativement au Fleshlight, la première différence qui saute aux yeux est la taille de celui-ci : à peine plus grand qu'une cannette de soda contrairement à l'ancêtre qui s'apparente à une quasi bouteille de 1.5L.
Pour utiliser ce masturbateur, il suffit d'ouvrir le bouchon protecteur en plastique après avoir pris soin de retirer le film plastifié qui le couvre. Celui-ci laisse place à orifice rond (et non réaliste comme le Fleshlight) qui semble étroit, complexe mais "accueillant" :-).
Le système de lubrification est vraiment efficace, non seulement le conduit est lubrifié, mais les extrémités du Tenga sont pourvus de sortes de mousses imprégnées de lubrifiants qu'elles libèrent au fur et à mesure des sollicitations.
L'intérieur est plutôt rugueux au premier abord (les premiers va-et-vient), à priori en raison du lubrifiant pas totalement bien réparti ou alors à des pas encore suffisamment souples? Cependant tout deviens plus souple et fluide au bout de quelques utilisations et rend très très agréable son usage. Les multiples textures et formes contenus dans le conduit ne sont pas vraiment différentiables mais permettent d'obtenir des sensations assez différentes en fonction de la rotation ou de l'inclinaison du Tenga.
Un passage à air, situé au sommet de ce modèle et que l'on peut à loisir boucher avec un doigt permet de moduler l'effet de succion et varier encore plus les sensations
Mon seul regret quand au Tenga est sa jetabilité : je l'ai pour ma part utilisé pendant à peu près une semaine (sans venir dedans), puis jeté après avoir tenter de le nettoyer à pleine eaux. La structure interne de celui-ci est très complexe : plusieurs enveloppes de silicone, nombreux éléments de maintient (bagues en plastique), blocs de mousses humides etc... qu'il est impossible de le nettoyer / sécher de manière efficace sans risquer prolifération de bactéries aux bout de quelques jours... Selon le prix d'achat, il peut donc s'avérer plutôt couteux...
Je conseille cependant de tester l'expérience Tenga, plus riche que le Fleshlight (je n'ai que la version de base, à texture lisse), quitte à investir dans le modèle non jetable.. bien plus cher, mais peut être rentable (si aussi efficace).
|
14 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : sa bouille adorable, sa texture
les moins : le compartiment pour les piles n'est pas joli
Lors d'une conversation sur les stimulateurs clitoridiens, j'avais posé une question essentielle: une clubienne avait-elle testé le Pingouin, le mini-Wormie et le Babybug? Personne n'ayant pu me répondre, je me suis décidée à me lancer dans une entreprise comparative.
A la mort de mon regretté Pingouin, j'avais acquis mon mini-Wormie. Celui-ci s'était avéré efficace, joli, mais bruyant et d'une matière peu agréable. 1-0 pour le Pingouin. Je me suis assez vite lassée du Wormie, son efficacité ne palliant guère à ma convenance ses défauts relativement peu raffinés et tout aussi peu sensuels. C'est dans ce contexte que je suis allée à Blanche (quartier du Moulin Rouge) pour m'offrir un Babybug, bien décidée à mener jusqu'au bout mes investigations scientifiques (non par plaisir, dans mon infinie mansuétude et mon désintéressement total, je fais don de mon corps pour le bien des clubiennes:-).
Le Babybug est d'un gabarit parfait. Il me faut préciser que je n'en use pas dans mon couloir secret, uniquement sur mon bouton d'amour, donc ses dimensions me satisfont pleinement car il est très facile à manier et sait se faire discret lorsque mon LoupBlanc me pénètre, tout en étant bien présent et efficace. Il est plus agréable à ce titre que le Pingouin, dont le corps volumineux rendait parfois peu aisée son utilisation dans certaines positions. Sa matière, la fabuleuse matière Fun Factory unanimement et incommensurablement plébiscitée par de nombreuses clubiennes, est toujours aussi agréable. Elle est plus souple que celle du Pingouin, mais aussi douce. Je préférais toutefois la texture de mon Pingouin, toute aussi veloutée au touché que celle du Babybug, mais un petit peu plus ferme et "n'accrochant" pas la peau comme peu le faire le silicone. Le Pingouin glissait plus aisément pour me caresser et me chatouiller avec plus de fluidité. Le Babybug comporte huit niveaux de vibrations continus et trois niveaux de vibrations discontinus. Le Pingouin comportait trois niveaux de vibrations continus et cinq niveaux de vibrations discontinus. Je n'utilise jamais les modes discontinus. Le fait de pouvoir monter en puissance avec le Babybug est très agréable, en cela il offre une progression supérieure aux prestations du Pingouin. Mais le Pingouin est plus efficace, la jouissance peut venir très vite avec ce petit animal si l'on n'y prend garde. Peut-être que le mode de vibrations le plus élevé du babybug est légèrement inférieur à celui du Pingouin. Le gros point fort du Babybug, c'est qu'un bouton + et un bouton - permettent de revenir en arrière ou d'éteindre aisément la chenille lorsqu'elle a rempli sa mission de plaisir, ce qui n'était pas le cas du Pingouin, il fallait passer tous les modes en revue pour mettre au repos le volatile coquin.
Certaines parmi vous ont signalé un problème technique avec un Babybug fou qui ne voulait plus s'éteindre. Cela m'est arrivé: j'avais beau tourner les piles dans tous les sens, le vermisseau était pris d'une crise de priapisme vibratoire incontrôlable!!! J'ai ôté les piles et lors de l'utilisation suivante il était redevenu fidèle à lui-même, s'animant ou se calmant selon mon bon plaisir. Cela ne m'est jamais arrivé avec le Pingouin. Mon Babybug est relativement neuf (même s'il a déjà rempli moult fois son office), aussi j'espère que ce moment d'égarement ne se reproduira plus.
Enfin le Babybug a, comme le Pingouin et le mini-Wormie, une bouille irrésistible. Mais si le compartiment des piles s'intégrait très bien dans le corps du Wormie ou du Pingouin, celui du Babybug est non seulement apparent mais en plus très laid. Mon préféré reste de loin le Pingouin avec son sourire aussi taquin que ravageur et ses grands yeux pétillants de malice.
Donc au final, mini-Wormie médaillé de bronze (loin derrière les deux autres), Babybug médaillé d'argent (la compétition fut serrée) et Pingouin médaillé d'or.
|
14 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : Il est petit, mais il fait un maximum! Surtout, ne vous fiez pas à ses courbes innocentes! ce petit vibro de 14 cm, molette incluse, a tout d'un grand! il vibre, évidemment, mais plus surprenant: il se trémousse avec vigueur dans tous les sens!
Sa texture est incroyablement douce et soyeuse.
Son effet boulier (renflement, creux, renflement, etc...) masse merveilleusement les parois vaginales qu'il occupe entièrement, avec une attention particulière pour le point G, qu'il sollicite sans violence.
Il se range et se transporte facilement. Nettoyage aisé et rapide.
Il a le bon goût d'être silencieux.
Très bon rapport qualité/prix
les moins : Je n'en vois aucun.
Si, peut-être un, et encore... Comme il est assez court, il est nécessaire de le sortir légèrement pour modifier la puissance vibratoire. Mais c'est si peu en comparaison des bienfaits qu'il dispense...
Le Dream Massager Ripple réserve bien des surprises. Il allie, qualité rare, la douceur et la puissance, d'où sa remarquable efficacité. Je le conseille à toutes, et plus particulièrement à celles qui souhaitent développer leur sensibilité vaginale sans crainte de la douleur. Les plus aguerries apprécieront la variété des sensations. Il s'utilise aussi très bien couplé avec un stimulateur clitoridien, car IL LAISSE LES MAINS LIBRES!!!! Eh oui, j'avais gardé le meilleur pour la fin!
|
14 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Packaging / Emballage |
|
Contenance |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : différents produits dans un même conditionnement permettent de tester plus facilement sans investir dans un grand flacon de chaque. C'est un kit agréable pour un week-end en amoureux.
Jolie présentation dans le style Shunga.
les moins : Des conditionnements pas étudiés en fonction du produit. Certains en trop petit quantité, d'autre en quantité plus importante (mais dans ce cas, on s'en sert plus ...).
La notice peu explicite. Ecrite en plusieurs langues, et en tout petit, difficile de trouver le paragraphe qui convient au produit. D'autant que suivant les langues, les paragraphes ne sont pas dans le même ordre (anglais et français !)
Les flacons difficiles à saisir quand on a les mains pleines d'huile ...(et sans doute l'esprit un peu fébrile)
Comme l'indique le commentaire des sites marchands, c'est le produit des escapades amoureuses. Mais mieux vaut avoir pris le temps de déchiffrer la notice avant la dite escapade ! Le kit contient 5 produits et un petit plumeau. Tout riquiqui le plumeau. Plus amusant qu'efficace. Le gel de bain et douche semble agréable mais la quantité proposée dans le kit est juste suffisante pour un bain. La première impression était bonne cependant. L'huile de massage érotique n'a pas été utilisée lors du week-end. Nous n'avons pas non plus passé notre temps au lit ! Essayée plus récemment, elle donne satisfaction. Parfum agréable pour ma femme (mais dans ce domaine, les avis sont très personnels !) et texture agréable pour le massage. Elle semble préparée à partir d'huiles comestibles (selon l'un des sites marchands) mais ce n'est pas clairement indiqué sur la notice, ni sur le flacon. L'huile aphrodisiaque, à la texture plus épaisse l'est peut être. mais dans le contexte où nous l'avons utilisée était il besoin d'aphrodisiaques ? D'autres essais n'ont pas semblé amplifier les sensations que nous éprouvions naturellement. Ou du moins la différence n'était pas flagrante. Chacun de ces produit est proposé dans un petit flacon contenant 10 ml. Trop juste pour le produit bain, juste suffisant pour les autres. les deux derniers produits sont dans des petit conditionnement genre poudrier. leur forme ronde les rend délicats à manipuler avec de gros doigts ! Surtout si vous avez utilisé une huile juste avant ! Un flaconnage à section carrée aurait été le bienvenu. Des stries sur le coté aussi ! J'ai découvert la poudre douceur des neiges. Une sensation vraiment agréable que le frottement des corps enduits de cette poudre. Et le produit ne tache pas les draps ! le plaisir aussi de déguster le corps de ma femme recouvert de cette poudre au subtil goût de framboise (certes un peu farineuse !). Mais d'abord les sensations sur le corps au contact. En fait composé de fécule de mais ou de blé agrémenté d'aspartam pour le gout sucré et d'un arôme artificiel. je me demande si en essayant avec la maïzena qui dort dans le placard de la cuisine ...certes je n'aurai pas l'arôme, mais les sensations de glissement devraient y être. Dommage que la quantité proposée soit un peu réduite et ne permette qu'une à deux utilisations (deux si vous économisez et/ou ne renversez pas à moitié le poudrier ! cf mes remarques sur les poudriers). Mais c'est un produit que je vais réessayer en grands conditionnements ! L'autre poudrier contient une huile "baume sensation". A mettre en massage sous le clitoris pour "amplifier" les sensations. Bon, je veux bien. ne voulant pas prendre de risques pour notre week-end (allergies, irritations ..), nous avons différé son usage. Mais l'avons tout de même testé. Mais nous restons tout de même un peu sur notre faim. Difficile encore de faire la part des choses entre l'amplification éventuellement due au produit et celle que nous avons nous même générée justement parce que nous utilisions un tel produit. certes, la notice précise que chez certaines femmes l'effet n'a lieu qu'après plusieurs utilisations ... en application quotidienne ! Par contre, la quantité est largement suffisante pour une utilisation sur plusieurs fois ( même quotidienne !). En résume, le kit est un peu juste pour servir de kit de test comme je l'envisageais initialement. cela reste quand même une jolie présentation qui peut agréablement pimenter un week-end en amoureux. Il peut même être offert à la dame de votre coeur (enfin, pas comme cadeau principal tout de même !) puisque la boite est très jolie. Globalement, il remplit son rôle d'érotiseur de vos moments de sensualité intime. Mais il reste quand même un peu cher pour ce rôle. J'avais profité d'une -bonne- promo et d'un bon d'achat qui me restait ! Le conditionnement mériterait d'être mieux étudié pour les quantités par produit. Il reste un peu juste pour un week-end en amoureux qui privilégie la position horizontale ! J'ai plus investi dans la qualité de l'hôtel et du diner en amoureux ! Des valeurs nettement plus sures pour passer une bonne soirée ... en amoureux !
|
13 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Style, qualité d'écriture |
|
Originalité des situations |
|
Description des scènes d'amour |
|
Intérêt de l'histoire |
|
Note Générale |
|
Les plus : très belle écriture, procédées très efficaces de séduire le lecteur
les moins : je n'y trouve pas (si c'est un fantasme, que pourrait-on lui reprocher alors ?)
Ce roman, j'ai longtemps voulu le lire. A cause de son renom. Mais je n'ai pas été préparée pour le grand plaisir que cette lecture est à même d'octroyer. Je ne connaissais pas le CDS quand j'ai reçu et lu ce roman (je voulais le lire en français). Je l'ai relu récemment pour rafraîchir ma mémoire avant de laisser l'avis. Le plaisir éprouvé n'a perdu rien de sa force à une seconde lecture.
Le charme de cette écriture a eu grand empire sur moi. Je pense que le fait d'adhérer aux comportements répertoriés dans ce texte ne devrait pas influer sur l'effet que les éléments formels font naître. La plume de Dominique Aury est d'une beauté renversante. Elle construit ses phrases avec la maîtrise d'un bijoutier qui épouse créativité à un sens étonnant de l'harmonie. Ce texte est une collection des bijoux syntagmatiques, chaque page semble un petit écrin rempli de pierres précieuses.
Le roman en soi n'est pas ni dérangeant, ni choquant. C'est une histoire d'amour, un peu à part. Mais une histoire d'amour tout de même. Et une très belle, qui plus est. O ne m'a pas semblé une poupée sans volonté : elle participe activement à toute étape de son évolution. Pour paradoxal que cela pourrait sembler, elle est active en étant passive. Elle accepte de se soumettre. Elle peut dire oui ou non. C'est un choix comme le sien ce qui rend ses maîtres maîtres. Sans sa volonté à elle, ils restent que les supports vivants d'une esquisse de volonté ou fantasme.
C'est cette optique qui, à mon avis, explique pourquoi l'amour de O se dirige ensuite vers Sir Stephen. Il est sa pierre de touche, son eau régale. C'est lui qui fait briller l'or dans O. René était un entraînement, Sir Stephen est le jeu final. O et Sir Stephen se complètent magistralement.
Ce qui me dérange en fait c'est la tendance de définir le roman à travers trois ou quatre bribes qui peuvent bousculer les esprits plus délicats. Ce sont effectivement des bribes qui ont leur rôle, mais présentées ainsi elles sont mises dans un autre contexte que celui où elles brillent dans la symbolique plus proche du ton du roman. En fait, ce qui subit le corps d'O me rappelle un fragment d'un roman de Michel Tournier : Gaspard, Melchior et Balthazar. Le roi "esthète", Balthazar médite sur les tatouages. Il parle du corps humain qui devient un bijou lui-même une fois orné de cette "amulette permanente", ce "bijou vivant [...] qui fait partie de notre corps." La peau tatouée devient "logos". L'idée a déjà été exploitée par Garcia Marquez dans son célèbre Cent ans de solitude, où un des personnages retourne de son tour du monde entièrement couvert des tatouages. Il ne raconte pas ses péripéties, mais tout le monde les connaît car il suffit de "lire" son corps.
Or donc, O, avec son corps marqué devient le document vivant de son histoire, de sa conception de la vie, de l'amour. Il y en a qui se contentent d'une alliance, d'autres d'un certain type de vêtement, d'une coupe de cheveux pour signaler ou exprimer leur crédo. D'autres gardent un journal intime ou rédigent des mémoires. O est plus graphique que cela. Son propre corps assume le rôle de narrateur de son histoire. Qui - je prends plaisir à le répéter - est une histoire d'amour. Son histoire est vivante.
Une autre aspect que j'ai aimé : le manque de fin. L'auteur en propose deux. Le lecteur est invité à faire travailler son propre imagination. C'est un coup réussi de l'auteur, car ainsi elle parvient à lier le lecteur à ce texte, à l'impliquer dedans.
Un must littéraire. Et en ce qui me concerne, un coup de cœur.
|
12 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Ergonomie |
|
Design / Aspect |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : aspect, hygiène, longueur
les moins : cordelette
Je ne suis pas une grande adepte de dilatation, mais je voulais quand même essayer avec un jouet 'grande taille', pour voir, et ne pas mourir idiote. Mon choix s'est porté sur celui ci pour deux raisons principales : la première son prix, abordable pour un jouet de cette taille, alors que le prix semble augmenter avec le diamètre ; et son aspect, neutre alors que la tendance serait plutôt au réalisme dans ces tailles. Qu'il soit lisse me paraissait aussi plus raisonnable par rapport aux jouets souvent nervurés. Le diamètre me semblait assez conséquent pour commencer, et c'est un fait : il est conséquent. La matière est lisse, sans être tout à fait douce : elle a tendance à accrocher un peu, et demande donc une bonne lubrification. Il est composé d'un corps intérieur qui semble être fait de jelly, et recouvert d'une gaine. Je ne sais pas si c'est dû au temps ou si c'était comme ça depuis le début, mais il y a un espace entre la gaine et le corps, ça baille. Ce n'est pas gênant en soi, mais j'espère que ce n'est pas le jelly qui se rétracte... Je n'ai pas trouvé d'intérêt à la cordelette, je dirais même qu'elle est assez casse pieds, puisqu'elle ne facilite pas le nettoyage, qui en dehors de ça est assez simple. Sa longueur permet une bonne prise en main, dans la mesure où il ne me parait pas possible de l'insérer plus loin que le petit bourrelet.
|
11 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Goût, parfum |
|
Contenance |
|
Texture |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : odeur, format, contenance
les moins : format
Encore une incontournable, la barre Magie Noire développe un agréable parfum floral, auquel se mélange une pointe de chocolat. Le mariage est surprenant mais très réussi. Le parfum frais et enivrant de Magie Noire détend, apaise, et prépare agréablement à des échanges sensuels. Comme d'habitude les beurres que contiennent la barre se fondent en une huile assez fine, qui laisse la peau douce et parfumée, et c'est un vrai bonheur que de promener la barre sur le corps pour en apprécier la fraicheur, avant un massage prodigué par des mains chaudes. Le prix par rapport aux huiles de massage reste très raisonnable, compte tenu de la longévité de la barre, et de la richesse des huiles qui la composent. La partie colorée ne tâche pas une fois qu'elle est étalée, mais attention aux draps pendant l'application. Comme pour la barre Amazone, le format ne correspond pas aux boites vendues ou offertes sur le site, mais là encore, une boite de cotons-tiges suffit à la protéger de la poussière.
|
11 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Design / Aspect |
|
Ergonomie |
|
Silencieux |
|
Qualité des vibrations |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : cet objet est à lui seul un énorme point positif
les moins : un peu trop rigide
mon (notre) premier sextoy. mon chéri m'a fait le plaisir de prendre le top. j'hésitais beaucoup, vu le prix, mais les divers commentaires ont fini par me/nous convaincre. colis extrêmement discret (heureusement d'ailleurs, puisque je l'ai reçu des mains de mon facteur...). A l'ouverture, impression si ce n'est de luxe, du moins de classe et de qualité. Cela m'importait beaucoup. Liv est un bel objet, pas impressionnant pour une novice. J'aime beaucoup son aspect lisse et doux au toucher. Côté pratique, le chargement sur secteur est impeccable, et laisse une autonomie plus que raisonnable (je n'ai pas chronométré par contre, désolée ;o). Enfin, il est super silencieux. On l'entend en mode maximal mais très doucement, et c'était ma principale crainte pour un vibro. Avec Liv pas de soucis! Et pour un peu qu'on mette un peu de musique, on ne l'entend plus!
|
11 Commentaires
|
|
|
|
|
|
|
|
Architecture & décoration |
|
Accueil |
|
Richesse de la collection |
|
Intérêt de la collection |
|
Mise en scène |
|
Documentation et signalétique |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : richesse de la collection, aménagement et mise en scène, prix
les moins : deux salles fermées au public (au moment de ma visite)
Son emplacement au début du Damrak le rend facile à repérer même pour quelqu'un qui ne maitrise pas la topographie d'Amsterdam. Grâce à ses heures d'ouverture (11.00H - 01.00H) il se prête merveilleusement à une visite tardive. Ce musée, ouvert en 1985, est assez surprenant, du fait de ses dimensions et du contenu et variété de sa collection.
Le billet coûte 3 €, mais qui s'imagine que la visite sera sur mesure, se trompe. Car les attentes seront largement dépasses, dans le meilleur sens du terme.
En fait, la collection est très grande et diversifiée. Chaque avatar de la sexualité a sa place, et même si ce n'est pas la première visite dans un musée du genre, on peut compter sur une ou autre surprise.
Même si certains objets sont peu ou prou attendus et connus, c'est toujours intéressant de voir comme chaque musée choisit de les ordonner et les associations que les objets leur inspirent. Sur les 5 étages on avance à travers l'histoire de la sexualité, avec ses manifestations courantes (art, culture, pratiques) et ses curiosa. Les pièces sont groupées en salons thématiques, mais pas forcement chronologiques.
L'entrée rappelle celle d'un temple antique. Dans le couloire d'entrée, une sculpture gracieuse donne la bienvenue. A gauche des grandes vitrines abritent des petites pièces artisanales de l'antiquité : en terre cuite, métal, marbre ou pierre, l'imaginaire érotique prend diverses formes.
En avançant on croisera la scène où la figure drapée des voiles de Mata Hari est entourée des admirateurs. La notice biographique est jouxtée par l'ordre d'exécution et un fac-similé de la lettre contenant le passage incriminant la courtisane d'espionnage.
On se perd ensuite dans un dédale visant à reproduire un district du plaisir à cheval entre le XIXe et XXe siècles. Suit la salle Rudolf Valentino, qui abrite des images évoquant les amours pluriels.
En montant les escaliers on contemple des œuvres graphiques (photos et affiches dont la charge érotique et/ou pornographique reste à la discrétion de la sensibilité de l'observateur).
Arts visuels : La photographie érotique reproduit l'histoire même de la photographie : des daguerréotypes plus ou moins pudiques jusqu'au clichées très travaillés et explicites. L'étendue de ma culture photographique de profil s'est enrichie à la vision de clichés qui n'étaient pas exhibés dans les autres musées de profil visités auparavant : dans la salle consacrée à la homosexualité Venusgalerij ( galerie de Venus), une collection de clichées montrant des couples masculins. A l'exception des œuvres idylliques de Van Gloede, je n'en connaissais pas autres. Or, au Venustempel, on peut effectivement voir des photos avec fellation, anulingus et triolisme homosexuel.
La sérigraphie est richement représente par les objets provenant du patrimoine érotique d'Asie. Des « albums de printemps », des rouleaux qui épatent par la beauté des images aux traits fins et précis et aux couleurs d'une évanescence troublante des ukiyo-e ou la brillance vive des image printaniers chinois. C'est dans la Salle Madame de Pompadour, toujours au premier étage, que l'on peut les admirer.
Dans la même salle, on assiste à l'Idylle printanière, une série de dessins de Rojan, un dessinateur russe, on retrouve le tableau d'Aldo Cuvoni représentant cette machine multifonctionnelle que l'on voit aussi au Sex-Machine Museum à Prague…
Arts plastiques : Des sculptures allant de l'antiquité jusqu'à nos jours, en traversant frontières géographiques et culturelles. Il faut, dans se but, pénétrer la salle Catherine la Grande. Les objets rituels d'Afrique, des figurines en porcelaine, terre cuite, marbre d'Asie… On fait la connaissance des scrimshaws, des très beaux curiosa de toreutique sur ivoire.
Pur la céramique érotique on peut citer par les œuvres de : - Mario Tauzin (des services de table décorées avec des images pornographiques), - Egidio Casarotti (statuettes en terre cuite munis des différentes accessoires qui servent a déguiser la statuette afin qu'elle soit « décente ») et - William Lockeridge (statuettes féminines en poses lascives).
La découverte continue a l'étage suivant, ou l'on assiste a la reconstitution de la séance photographique d'une des plus célèbres clichés du XXe siècle : Marilyn Monroe se faisant photographier par Tom Kelly. Le résultat sera le mythique poster central du premier numéro de Playboy. Le reste est histoire.
Toujours dans cette salle on a un tableau d'autres classiques de la presse et du « neuvième » art : la BD. Des anciens numéros de Playboy, Penthouse et Hustler… Les Pulp fictions…
Les couvertures vintage du magazine Bizarre, œuvres de John Willie, marquent le point d'intersection avec le coté kinky des choses. Mais montons alors encore un étage.
On se retrouve dans la salle Marquis de Sade, qui est la seule (peut être a l'exception de Rudolf Valentino) dont le nom renvoie sans truchement à la thématique de la salle. Le répertoire des pratiques se veut complet : du déguisement fétiche, bondage discipline, ondinisme jusqu'à la bestialité et le sadisme pur et dur.
L'ambiance est très éclairée, très aérée. L'aménagement muséal est bien : pièces soigneusement rangés, éclairage qui les met en valeur, notices explicatives en deux langues : anglais et néerlandais.
Une particularité de ce musée sont les « farces » : le long des murs des couloirs, il y a des petites niches peuplés par divers personnages espiègles : un monsieur exhibitionniste qui ouvre son trench-coat, une dame nue aux formes rubensiennes, qui surgit, bras ouverts vers le visiteur…
Les visiteurs sont très détendus (par rapport à d'autres musées érotiques) : ils commentent, il rigolent, il se font photographier… Certes, la question se pose si l'heure de notre visite (environ 22 heures) n'y était pas pour quelque chose ?
Bref, un des must d'une visite à Amsterdam.
|
11 Commentaires
|
|
|
|