La Révolution met "la fouterie" à l'ordre du jour. Libérés de la censure, portés par l'énergie des temps nouveaux, les ouvrages érotiques participent à l'ivresse du partage public des savoirs, des secrets. La langue du plaisir et celle de l'insurrection se confondent ; du coup, l'héritage du monde antique et la tradition des trente-deux postures de l'Arétin s'en trouvent renouvelés.