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par nicoquin  847
| Style, qualité d'écriture |
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| Originalité des situations |
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| Description des scènes d'amour |
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| Intérêt de l'histoire |
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| Note Générale |
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Les plus : illustrations, proximité
les moins : franchement pervers, pas de répit
Habitant le Gâtinais, et donc pas très loin de Pithiviers, ce petit livre m'a attiré (puisqu'il se passe dans cette zone). En plus, les critiques sont plutôt bonnes. J'ai donc passé commande auprès de l'éditeur.
Ca baise, ça suce, ça encule dans tous les coins et recoins du supermarché (ou du bureau du commissaire de police), ça s'enfile des saucissons, ça coupe des bouts de tétons, ça tire dans tous les sens.
Aucun répit pour le lecteur. C'est même trop. Un peu de calme serait le bienvenu parfois. En fait, on a l'impression que les petites frappes de ce livre sont inspirées par celles du film Fargo des frères Cohen.
Par contre, l'écriture est agréable, les illustrations sympa. Ce livre se lit donc bien, mais n'est pas crédible pour 2 sous, ou alors la vie des superettes est extrêmement délurée (tout du moins dans le pithivérais).
Les cadavres et les scènes de cul s'accumulent, comme l'annonce le titre. Mais au final, on se demande où l'auteur voulait aller ... peut-être nulle part.
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4 Commentaires
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par Narcisse94 74
| Style, qualité d'écriture |
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| Originalité des situations |
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| Description des scènes d'amour |
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| Intérêt de l'histoire |
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| Note Générale |
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Les plus : Dans un monde complètement imaginaire
les moins : Le gore, ce n'est pas mon truc
Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais en achetant ce livre. D'une manière générale, je ne suis pas fanatique de porno, mais un rien sur le ton a guidé mon achat. Il me faut avouer que je suis fan du deuxième degré depuis de nombreuses années.
Bien que les descriptions crues et salaces, ainsi que les parties gores (et il y en a) ne soient pas mon truc, j'ai globalement bien aimé cet ouvrage. u premier degré, c'est paillard, trop explicite, violent, mis bizarrement, je n'ai pas lu ce livre à ce niveau. Je passerai rapidement sur deuxième degré, car c'est plutôt au troisième degré que cette histoire m'a plu (dans sa globalité) ; ce n'est plus décalé, c'est complètement barré, et je me suis retrouvé, tout au long de ces pages dans un monde complètement imaginaire, caricatural qui m'a franchement amusé.
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