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Design / Aspect |
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Ergonomie |
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Silencieux |
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Qualité des vibrations |
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Efficacité |
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Rapport qualité/prix |
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Note Générale |
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Les plus : design très beau et particulier, bonne qualité des vibrations, présentation chic
les moins : bruit, alimentation a piles, bouton de mise en marche, gestion des programmmes
Avec Tuyo, j'ai eu une nouvelle occasion de profiter des applications bénéfiques sur le plan érotique de la géométrie dans l'espace. La sphère joignit le cône, et comme lui, fut un cadeau de la part de mon partner in crime.
Mon avis sera partagé, parce que ce splendide jouet a pourtant des défauts qui mettent ma patience (heureusement pas mon plaisir !) Allons jouer un peu aux échecs.
Presentation de l'objet : Le Blancs commencent - deux mouvements : la presentation est tellement séduisante et le concept est intriguant et invite a la découverte ! On a l'impression d'avoir affaire a un bijou fourni dans un écrin luxueux. J'apprécie le revêtement de satiné à l'extérieur et à l'intérieur... Cela engendre une sorte de complicité de décadence nonchalante... comme si mon jouet m'attend, a l'instar d'une courtisane luxueusement vautrée dans des draps de satin, une invitation aux voluptés vertigineuses... Très très belle, la sphère, très légère... Le tour des Noirs : Ah, alimentation à piles ! Et pas une, pas deux, mais carrément trois ! Qui ne sont pas fournis avec l'objet. Pour un objet dont les dimensions s'avoisinent à une orange... Et cela après avoir vérifier la manière de l'ouvrir, qui, sans être trop compliqué : le principe étant celui de tourner-enlever-emboiter-tourner en sens contraire. Voila ce qu'il faut faire avec la calotte sur laquelle se trouve le bouton poussoir.
L'ergonomie : Les Noirs continuent, car les Blancs sèchent au début : la mise en marche est un peu pénible : le bouton poussoir est trop plate et de ce fait le maniement n'est pas si commode : on doit chercher le bouton si on a envie de changer le programme. Ajoutez a cela que le changement exige une pression assez soutenue, et voila le tableau de mon agacement. Les Blancs reviennent en force : quel jouet commode ! Pour une fois que les vibrations débordent de partout, rayonnent de ce petit objet qui sur certains programmes tient tête au cône même ! Les noirs reviennent (l'évocation du cône leur a suggéré le mouvement) : les programmes sont accessibles seulement successivement : il faut parcourir toute la gamme de programmes afin d'arriver a celui que l'on souhaite appliquer... Et encore plus exaspérant que le cône : si on veut retourner a un programme antérieur, ben, il faut aller jusqu'au bout des 8, arrêter et reprendre. Bravo, Tuyo, vous avez gagné 1 point Machiavel ! Les Blancs (ayant consulté le Sénat Lelo) : la succession des textures (ABS, métal, silicone - hélas, sa qualité n'égale pas celle des jouets de la fameuse marque suédoise...) est une trouvaille très pratique du point de vue pragmatique (le silicone présente une boue de sauvetage assez fiable dans la mer glissante d'ABS) et sensoriel (le jeu des matériaux est plaisant au toucher)
L'expérience : Les Noirs tentent le dernier coup : ils convoquent l'enfant issu du mariage entre l'acoustique d'une vieux moulin à café et d'un sèche-cheveux des années 1970. Le bruit de ce petit jouet vous surprendra ! A essayer. Vous serez guéri de toute peur de Florence Foster-Jenkins. Les Blancs (ont le coup final): les vibrations ! Fortes, variées, ronronnantes, pulsantes, bref, on a le choix... Leur réverbération est agréable et efficace.
Il m'est difficile de trouver le juste équilibre entre qualités et défauts, mais je ne regrette pas l'expérience. Elle est spéciale u a la forme du jouet, a sa beauté, a l'efficacité des vibrations... Quant aux "mouvements des Noirs" ici énumérés, ils semblent quand même amendables.
Alors .. Quid de Tuyo ? Ça roule ! :)
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