Avis |
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par Eve  1408
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04.08.2006 19:52 |
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| Style, qualité d'écriture |
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| Originalité des situations |
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| Description des scènes d'amour |
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| Intérêt de l'histoire |
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| Note Générale |
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Les plus : Très bon style, récit captivant
les moins : Une histoire malsaine et dérangeante
Le récit d'un groupe d'enfants et d'adolescents qui, tuent le temps et cherchent sans cesse à inventer de nouveaux jeux pour se distraire. Loin du regard des adultes, ils apprennent ainsi la tendresse et découvrent peu à peu la sensualité... Mais leur apprentissage sensuel et leur quête de nouveauté va les entraîner sur un terrain dangereux. Les innocents jeux d'enfants glissent lentement vers des jeux de domination puis de torture. Guidés par un "chef" plus âgé, le groupe d'enfants ne se rend pas compte que la situation leur échappe et qu'il n'est plus question de "jeux de grands". Bientôt, le plaisir devient souffrance et les enfants s'enferment dans un contexte sado-masochistes qui les conduira à commettre l'irréparable...
A sa sortie en Italie, en 1997, ce roman a connu un énorme retentissement. C'est un livre qui vaut la peine d'être lu même si certaines scènes sont vraiment dérangeantes. On a certes vu pire dans le genre avec des auteurs comme Bataille, pour ne citer que lui ; toutefois, on ne sort pas indemne de la lecture de ce récit un peu particulier.
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Commentaires |
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par blue  300
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28.05.2007 19:43 |
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Je profite de l'avis de Lavax qui rapporte au tien pour te faire une bise Eve!
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| par Lavax 300
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28.05.2007 19:47 |
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Idem, et j'en profite pour te remercier, ici, de m'avoir fait connaître ce très beau, et terrifiant roman.
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| par Aretina 399
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05.11.2007 00:58 |
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Hello, Eve!:)
M'ayant précipitée à laisser un mot sur le bel avis de Lavax qui parle du roman "Sa majesté des mouches", qui m'est également venu a la tête en lisant ton avis, il faut rendre au César ce qui est du César: merci d'avoir exprimé ton avis sur le roman de Simona Vinci (quoi que le temps d'attendre jusqu'à pouvoir le lire aussi me semblera treees long!!)
Le désir de lire le roman de la Vinci est aussi fomenté par le fait que le roman de Golding ne me semble pas dérangeant en lui-même, car il ne l'est pas. Ce qui peut déranger les gens, a mon avis, c'est que le livre met en question la bonté et son immanence dans l'être humain. Et aussi que le "mal" n'est pas une force extérieure qui s'insinue en nous en moments de faiblesse à travers nos points vulnérables. C'est plutôt que le "mal" est une partie constituante de nous-mêmes. Et que c'est un de nos devoirs de savoir équilibrer les deux forces qui nous composent.
Tout comme le fait déjà bien connu que les circonstances d'urgence nous dénudent de tous les masques que la société, l'étiquette, la bienséance nous placent sur le visage. Et on ne reste que soi-même, peu importe si on est enfant ou adulte.
Mais cela est Golding.
A la Vinci, il me reste encore à la découvrir.
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