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| Silencieux |
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| Note Générale |
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Les plus : Esthétique de l’objet, contact trrrrès agréable, reliefs délicieux, c’est un excellent gode !
les moins : Vous dites ? C’est un…vibro ? Naaaaaaaan ! Ah si, tiens. On dirait qu’il essaie de vibrer.
Je ne m’attarderai pas sur la jolie présentation des objets Lovemoiselle. D’autres l’ont très bien fait avant moi. Et c’est vrai qu’il s’agirait presque d’un objet d’art.
Venons-en tout de suite aux choses qui fâchent ! Donc l’extrémité mauve du Cécile renfeme les piles et la commande de l’objet. On a accès aux piles très simplement en dévissant ladite extrémité mauve. Il fonctionne avec deux piles AAA. Jusque-là, tout va bien. Sauf que les piles se déchargent si on les laisse dans l’appareil…
La commande se compose d’un seul bouton. L’utilisation est donc très simple…et c’est tant mieux car la notice est seulement en anglais. Une pression longue permet de mettre en marche et d’arrêter l’appareil. Une pression plus courte permet de changer le mode de vibration. Il vaut donc mieux éviter les mauvaises manœuvres. Pour ce qui est des modes de vibrations, j’en trouve 5, 2 modes continus d’intensité différente et 3 modes discontinus, que je trouve d’ailleurs assez originaux… mais il doit y avoir un schmilblick car, selon la fameuse notice, il devrait y en avoir 6.
Comme je l’avais dit brièvement dans la discussion initiée par KittyKat sur les vibros en céramique, si l’on se contente de tenir le Cécile dans la main, les vibrations se font bien sentir. En situation… eh bien, elles sont nettement moins convaincantes !
J’ai d’abord procédé à ce qui est pour moi Ze test : en stimulation clitoridienne. Le résultat n’est franchement pas spectaculaire ! En mettant le mode de vibrations continues le plus intense, je sens comme une caresse légère qui est bien insuffisante pour que je puisse espérer arriver à quelque chose. A chaque essai (je n’en ai pas fait des tonnes, non plus, ma conscience professionnelle a tout de même des limites), j’ai fini par aller, agacée, chercher un autre vibro pour parvenir à conclure. En usage interne, je sens comme un léger chatouillis. C’est tout.
Mais, si on n’essaie pas de le mettre en route, il est formidable. J’ai été incroyablement surprise de constater qu’un objet aussi dur pouvait s’avérer aussi doux, même entre les mains « d’autrui ». La froideur de l’objet, au naturel, au cours des premières minutes est également un délice. J’ai envie de pousser l’expérience en le soumettant à diverses variations de températures pour essayer les différents effets…après tout, si jamais le moteur rend l’âme, ce ne sera pas une grosse perte !
Quant à la forme, j’aurais préféré qu’il soit un chouille plus gros, mais c’est un point mineur. Je ne sens pas trop le petit relief en forme de courbe qui rappelle la tige de la fleur. Les creux et renflements, en revanche, sont très très agréables. Lors de va et vient, ils se font sentir à chaque passage et je voudrais que ça ne s’arrête jamais.
Verdict : si le Noémie possédait le même relief addictif que le Cécile, je vous dirais sans l’ombre d’une hésitation d’oublier celui-ci pour vous précipiter les yeux fermés sur le Noémie !
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