Longueur |
|
Diamètre |
|
Texture |
|
Ergonomie |
|
Design / Aspect |
|
Efficacité |
|
Rapport qualité/prix |
|
Note Générale |
|
Les plus : pas de pile a changer, petite taille passe-partout (même en voyage), matière plastique compatible tout lubrifiant
les moins : impossible de s'assoir avec (les butées sont trop génantes), le prix est un peu élevé,n'est pas adapter à toutes les morphologies, apprentissage long et pas évident
Ami de la branlette rapide et intuitive, passer votre chemin... Cet "outil" n'est définitivement pas fait pour vous.
Ce mini plug, ce gode autonome, il reste assez difficile a décrire pour les ignares du massage prostatique (comme je l'étais). Il demande une vrai phase d'apprentissage avant de donner le meilleur de lui-même.
Les premiers essais sont long, décevant, on se demande ce que l'on fait là, a quoi ça sert, si ça va s'améliorer... La prostate demande a être sensibilisée, amadouée, cajolée avant d'exprimer son potentiel. Et quel potentiel!!! Une fois réveillée, celle-ci vous amène vers des sommets de plaisirs, des déferlantes d'orgasmes, les uns après les autres, avec comme seule limite, votre propre résistance physique.
Bref un joujou qui vous laissera haletant, pantelant, épuisé, mais comblé.
Après cette entrée en matière style mauvaise réclame, passons aux détails plus "techniques".
Ce jouet est sensé fonctionné par contraction réflexe des muscles pubococcygiens suite au massage du périnée et de la position en équilibre instable du joujou à l'intérieur. Ces mouvements provoquent un massage de la prostate qui fini par un orgasme, du moins c'est le but.
Pour commencer, la lubrification est fondamentale, l'aneros doit glisser à l'intérieur, ne pas hésiter à lubrifié. J'insère 2.5 ml de lub avec une seringue d'Advil(réservé a cet usage et rangé en lieux sùr!). L'aneros est lui aussi lubrifié (silicone, ou autre, suivant ce que j'ai sous la main).
La position est également importante, personnellement, je préfère la position en chien de fusil (couché sur le coté, les jambes légèrement repliés). En cas de mauvaises positions, les butée peuvent être gênantes. A chacun de trouver sa position, la plus confortable, celle ou l'appui sur la prostate au repos est délicat.
Ensuite, on peut démarrer les contractions de l'anus pour le faire bouger, doucement au départ. Dans mon cas, soit la courbure, soit la longueur, soit les 2, ne permettent pas un fonctionnement optimal. J'ai bien des contractions réflexes (celles décrites sur les sites spécialisés), mais impossible d'atteindre l'orgasme prostatique de cette façon. Le massage réflexe est insuffisant à lui seul.
Par contre, j'ai remarqué que de légers mouvements du bassin permettait à l'Helix d'appuyer plus fortement sur la prostate. Je démarre donc mes sessions avec de simples contractions de l'anus, histoire de s'échauffer. Puis je passe à de légers mouvements du bassin d'avant en arrière. Le plaisir monte graduellement jusqu’à atteindre un sommet orgasmique très fort où l'on peut se maintenir assez longtemps avec un peu entrainement (jusqu’à 1-2 mn, après je meurs!). La première fois, je suis resté abasourdi par la puissance de l'orgasme. J'ai la chance d'y être arrivé assez rapidement (au bout d'un moins environ).
On arrive alors avec un peu d'entrainement à aligner plusieurs orgasmes à la suite (max 5 pour moi, après je re-meurs), avec juste une petite pause entre chacun pendant lequel je continue avec de très légers mouvements pour maintenir la pression sur la prostate. Détail important, je ne touche pas à mon pénis pendant toute la session, c'est non seulement inutile mais je trouve l'érection gênante pour grimper les marches du plaisir prostatique.
Par contre, et c'est même recommandé, on peut finir avec délice une séance avec un orgasme "classique" tout en conservant l'aneros inséré. L'orgasme obtenu est lui aussi plus fort qu'une éjaculation normale. Si vous n'êtes pas seul, je vous laisse trouver comment finir cette dernière étape ;-)
Bref, un magnifique jouet mais qui demande du temps pour être maîtrisé.
|