| Graphismes |
 |
| Intérêt du jeu |
 |
| Jouabilité |
 |
| Scénario |
|
| Durée de vie |
|
| Bande son |
|
| Note Générale |
|
Les plus : possibilité de se prendre pour un photographe de charme en se retrouvant derrière l'objectif, sympa de pouvoir choisir les tenues de ses Playmates (ça c'est mon côté petite fille qui aimait bien jouer à la poupée...)
les moins : scénario très limité, pas vraiment d'intérêt ni de réelle difficulté, on se lasse vite...
A première vue, PLAYBOY s'annonçait comme un jeu de gestion plutôt sympa : fonder et développer l'empire Playboy. Embauche de personnel, choix des Playmates, organisation de réceptions pour se faire des relations dans la Jet Set... Le défi semblait valoir le coup. Mais en fin de compte, PLAYBOY s'avère être un jeu d'une facilité déconcertante. Les objectifs sont atteints en un rien de temps et, du coup, on s'ennuie rapidement. Chaque mission remplie octroie des bonus sans grand intêret (du nouveau mobilier pour décorer sa maison etc) et on se demande vite ce qu'on fait assis devant son écran à regarder Heff et ses playmates se promener dans le manoir.
Sympa toutefois la séquence photo où l'on se retrouve dans la peau du photographe de charme. Il s'agit alors de choisir la tenue de sa playmate (du monokini à la guêpière sexy, sans oublier les chaussures, bijoux et autres accessoires), le lieu de la séance photo et de shooter la future couverture du prochain numéro. On peut demander à la playmate de bouger ou de changer de pose, varier les angles de vue... Mais là encore, on trouve ça marrant les 5 premières fois et ça s'arrête là. Le jeu devient vite lassant et répétitif dans son ensemble et on ne s'amuse que très peu de temps des filles sexy à moitié nues et du vieux Heff en peignoir.
|
