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La Pharmacienne
Marque : La Musardine
Date de sortie : 18/02/2003
Prix indicatif : 8.00 €
Auteur : Esparbec
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Littérature : Française
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Siècle : XXIe
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Collection : Lectures amoureuses
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ISBN-10 : 2842712196
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Nombre de pages : 300.00 pages
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Esparbec, l'auteur de La Pharmacienne, refuse avec horreur d'être considéré comme un écrivain érotique. Il se définit avec fierté comme " pornographe à part entière ", et à ce titre il a publié une centaine de volumes qu'il range lui-même dans la catégorie des " bouquins de cul ".
Mais qu'on ne s'y trompe pas : cette écriture, apparemment simple et directe, mais d'une redoutable efficacité érotique, est en fait l'aboutissement d'une maîtrise suprême dans l'art de l'expression licencieuse. Bien loin des contorsions pseudo-" artistiques ", trop souvent le lot sempiternel des romans contemporains, Esparbec pratique avec bonheur la pornographie pure.
Dans l'Anthologie historique des lectures érotiques, Esparbec a eu droit à une longue notice fort élogieuse comme " le dernier des pornographes ", pour sa production puissamment libidineuse (il a d'ailleurs aussi publié de " vrais romans ", comme il dit).
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Notes moyennes des avis |
Style, qualité d'écriture | |
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Originalité des situations | |
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Description des scènes d'amour | |
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Intérêt de l'histoire | |
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par Shadowwooer 300
15.10.2008
Style, qualité d'écriture |
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Originalité des situations |
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Description des scènes d'amour |
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Intérêt de l'histoire |
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Note Générale |
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Les plus : le style d'Esparbec
les moins : les situations convenues, l'inceste systématique, le manque de profondeur des personnages
J'ai beaucoup lu Esparbec, qui revendique haut et fort le titre de pornographe. Et c'est vrai qu'il a des qualités d'écriture indiscutables, même s'il a parfois fait des choix éditoriaux que je ne cautionne pas. D'habitude, j'aime bien Esparbec. C'est du porno efficace, sans prétention intellectuelle mais bien fait. En revanche, ce livre m'a déçue. D'abord, le titre. Contrairement à StephB, je ne dirais pas que la pharmacienne a un rôle prépondérant. C'est un personnage très secondaire. Je m'attendais à une histoire "médicale" ou faisant intervenir la pharmacienne en tant que pharmacienne. Là, elle pourrait être poissonnière au chauffeuse de car, cela ne changerait rien. Ensuite, l'inceste systématique et répétitif. C'est un huis-clos de petits bourgeois de province, qui sent le cliché. Enfin et surtout, les personnages n'ont aucune épaisseur. Je les trouve peu crédibles, car on ne suit à aucun moment leurs pensées et ils se comportent de façon pour le moins étrange. Bref:! lisez d'autres Esparbec avant de lire celui-ci. C'est un grand auteur mais vous risquez d'être déçus.
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2 Commentaires
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par antoine-nyl 67
21.02.2013
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par StephB 1999
09.01.2008
Style, qualité d'écriture |
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Originalité des situations |
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Description des scènes d'amour |
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Intérêt de l'histoire |
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Note Générale |
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Les plus : style de l'auteur, drôle
les moins : relations incestueuses
Bertrande, alias Bébé, se fait surprendre par Beau-P', nouveau mari de sa mère (pharmacienne de profession), "à genoux dans la cuisine, avec la grosse pine toute raide de son cousin Jérôme enfoncée dans la bouche." S'ensuit un chantage de Beau-P', d'autant plus menaçant que celui-ci découvre que Bébé ne se livre pas qu'à ce genre d'activité avec son cousin, ni d'ailleurs pas qu'avec son cousin, mais aussi (entre autres) avec son propre frère jumeau, Bertrand. Arrivent ensuite la mère ainsi qu'un cousin de Beau-P', tout droit sorti de prison, qui a besoin d'un toit avant d'entreprendre des démarches de réinsertion. Et comme ce petit monde se retrouve dans une même maison, cela laisse un certain nombre de possibilités explorées tour à tour par l'auteur... Et, quant à la fin du roman... une queue de poisson. Mais comme l'écrit Esparbec : "Queue de poisson ou queue d'homme, les histoires doivent bien finir à un moment ou l'autre, non ?" Bien écrit, amusant, voire cocasse, La pharmacienne, roman à la langue crue, est un livre que je recommande volontiers. Le seul petit point qui me dérange, c'est le huis clos familial et donc les relations incestueuses qui en découlent.
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2 Commentaires
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par patapouf 19
29.09.2006
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