| Style, qualité d'écriture |
 |
| Originalité des situations |
|
| Intérêt de l'histoire |
|
| Description des scènes d'amour |
|
| Illustrations |
|
| Note Générale |
|
Les plus : De rares scenari parfois très originaux et drôles
les moins : Dessins peu convaincants, situations guères originales pour la plupart et parfois très similaires, absolument pas captivant
J'ai acheté le premier volume de Good Choice Umetaro en même temps qu'un Step Up love Story et qu'un Love junkies : j'avais demandé à la vendeuse de la boutique de mangas de me conseiller un titre différent des deux précedemment cités, quelque chose de beaucoup moins soft. Elle m'a conseillé GCU qui était effectivement rangé au fond de la boutique, dans le rayon reservé à un public très averti et qui était sous film plastique de manière à ne pas pouvoir être consulté en magasin, de la même manière que tous les autres ouvrages jugés trop hot.
Je m'attendais donc à un manga vraiment chaud... et c'est tout le contraire. Franchement, on s'ennuie. Le dessin est franchement loin d'être inoubliable et on accroche sans plus. Ce manga est constitué d'une série de courts épisodes n'ayant aucun rapport entre eux et mettant chacun en scène des personnages différents. Dans un même volume, on a la déception d'être confrontés à des scenari tellement similaires, d'un chapitre à l'autre, que l'on est guère captivé, dans l'ensemble par ce bouquin. Exemple : l'un des récits raconte l'histoire d'une jeune fille complexée par sa forte poitrine et, quelques pages plus loin, on a droit au récit d'une jeune fille complexée par ses petits seins. Dans l'ensemble, les scenaris de ces courts épisodes sont assez insipides et peinent à captiver le lecteur. Par chance, un ou deux récits valent le détour et sont carrément originaux et très drôles (perso, j'en ai noté 2 sur les 11 chapitres qui composent le volume) mais l'ensemble reste finalement très très moyen et, pour le prix, on est en droit de s'attendre à mieux.
Concernant les scènes de sexe, elles ne tiennent finalement pas une place très importante dans les récits et sont vraiment très soft, rien d'exceptionnel ni d'excitant, aucune originalité : rien d'autre que les traditionnelles paires de seins qui se balladent de pages en pages et de courtes scènes où l'on ne voit rien (et où le scenario ne nous incite pas non plus à imaginer davantage).
En définitive, je ne me ruinerai pas pour acquérir la collection de GCU, le premier volume ne l'ayant absolument pas convaincue. et je songe franchement à conseiller à la vendeuse de ma boutique de mangas de ne pas se fatiguer à mettre cette collection sous cello : ces pages ont tout juste de quoi eciter un pré-ado.
|
