J'ai lu Je ne m'ennuie jamais toute seule

Je ne m'ennuie jamais toute seule

Avis, Essais, Comparer J'ai lu Je ne m'ennuie jamais toute seule

Marque : J'ai lu
Date de sortie : 18/10/2007
Prix indicatif : 4.80 €

Auteur : Lucie Lux
Littérature : Française
Siècle : XXIe
Collection : J'ai lu Roman
ISBN-10 : 2846281823
Nombre de pages : 157.00 pages

" Ben vient de partir et, comme à chaque fois que nous faisons l'amour, je n'ai pas eu d'orgasme. Enfin, j'ai du plaisir, mais je n'arrive pas à décoller. Alors je simule en espérant le septième ciel. " " Cléo, comment veux-tu que Ben puisse te faire connaître l'orgasme, si toi-même tu n'arrives pas à l'atteindre ? " lui assène avec bon sens sa meilleure amie. En femme moderne et résolue, Cléo Savary va suivre ce conseil à la lettre et s'intéresser à son corps. Elle découvre le plaisir, d'abord avec ses mains puis - à cause des crampes - se met au vibro et explore les infinies facettes du plaisir solitaire. Un roman érotique terriblement drôle et instructif...

Notes moyennes des avis

Style, qualité d'écriture  Je ne m'ennuie jamais toute seule : Style, qualité d'écriture : 3,00/4 
Originalité des situations  Je ne m'ennuie jamais toute seule : Originalité des situations : 2,33/4 
Description des scènes d'amour  Je ne m'ennuie jamais toute seule : Description des scènes d'amour : 2,33/4 
Intérêt de l'histoire  Je ne m'ennuie jamais toute seule : Intérêt de l'histoire : 1,67/4 

 
avis utilisateurs  (3)
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Sélection des avis les plus recommandés :

Comparer
par Marii F 300
21.12.2009

Style, qualité d'écriture 3/4
Originalité des situations 2/4
Description des scènes d'amour 2/4
Intérêt de l'histoire 2/4
Note Générale 2/4
Les plus : Humour, ton léger, se lit facilement
les moins : Pas impérissable, quand même

Je ne m’ennuie jamais toute seule s’apparente beaucoup à un roman de chick lit. Il est léger, amusant, se lit vite, mais n’est pas vraiment excitant.

Pour le résumé de l’histoire, je me permets de vous renvoyer à l’excellent avis de StephB :
ClubDesSens.fr > /products/review.html?ID=5229

Je partage d’ailleurs son analyse, bien que je serais un peu moins sévère car j’ai passé un moment de lecture agréable avec ce livre. Je lui ai trouvé un intérêt au début. En effet, cette femme qui court après l’orgasme avec son ami et part à la découverte de son corps pourrait être n’importe laquelle d’entre nous. En tout cas, ça m’a rappelé quelques souvenirs.

Mais, comme StephB, c’est dans la deuxième partie que j’ai décrochée. Comme elle je trouve cette addiction au vibromasseur dérangeante dans la mesure où elle repose sur un cliché qui est faux (enfin, il me semble :-) ). Mais, plus encore, ce qui me gêne c’est simplement de voir l’héroïne risquer de mettre sa vie en l’air à cause d’une addiction. Peut-être que ça me dérange parce que ce n’est pas un thème que je m’attendais à voir aborder de cette façon dans un roman léger.

Malgré tout, je classerais ce roman dans la catégorie des « vite consommé, vite oublié ».

 

Autres avis les plus récents :

Comparer
par StephB F 1999
08.05.2008

Style, qualité d'écriture 2/4
Originalité des situations 1/4
Description des scènes d'amour 1/4
Intérêt de l'histoire 1/4
Note Générale 1/4
Les plus : c'est court et lisible, quelques passages amusants
les moins : histoire qui devient très vite lassante, jeu sur des clichés (addiction au vibromasseur) or cela pourrait être interprété comme une vérité

Premier roman de Lucie Lux, Je ne m'ennuie jamais toute seule arbore, pour titre, une citation de Pierre Louÿs, extraite du Manuel de civilité -une citation complète est d'ailleurs placée en exergue.


Cléo, journaliste, partage sa vie entre son travail au sein d'Osmosis, revue culturelle pour laquelle elle tente notamment de rédiger un dossier sur les rapports entretenus par le sexe et la musique, sa bande de copines qu'elle retrouve pour des nuits de visionnage d'affreuses cassettes vidéo bon marché ou plus fréquemment dans un bar où se mêlent musique et bière et son homme, Ben, qui se retrouve dans l'obligation professionnelle de séjourner six mois en Thaïlande.

Comment faire alors pour réussir loin de lui ce qui était jusqu'alors impossible avec lui : avoir un orgasme ? Mia, la meilleure amie de Cléo a la réponse : la masturbation. Si Cléo ne réussit pas à avoir d'orgasme, c'est faute d'entraînement. Tout le monde l'affirme, à Cléo de rentrer dans le moule.

Mais Cléo a besoin d'un homme pour fantasmer, ou plutôt d'une "énorme queue". Lecture d'Esparbec ou film pornographique lui sont donc nécessaires, ou encore mise par écrit de fantasmes qu'elle envoie par courriel à Ben. La masturbation fonctionne, Cléo a des orgasmes et devient dépendante de ces minutes où elle se trouve hors d'elle.

Puis vient la crampe et la solution proposée une nouvelle fois par Mia : le vibromasseur électrique muni de plusieurs têtes. Pourtant, cela ne va pas. Comment fantasmer avec un tel outil qui ne ressemble absolument pas à une "queue de hardeur" ? Les débuts sont difficiles, mais l'effet est toujours là, si simple. Cléo a des orgasmes à portée de main. Elle ne vit plus que pour ces moments, ne travaille plus, délaisse ses amies et Ben pour ne se consacrer qu'à son cher vibromasseur.

Le comble, finalement, c'est d'avoir besoin d'une image mentale de cet outil pour fantasmer. Le vibromasseur a détrôné les êtres de chair.


Roman de 158 pages, Je ne m'ennuie jamais toute seule se lit vit, et c'est heureux. Cinq cents pages, et j'aurais laissé tomber cette lecture qui n'a pas grand intérêt. Quelques passages font sourire pour mieux ensuite laisser retomber le récit dans une monotonie d'écriture.

  4 Commentaires
Comparer
par peppino H 15
10.04.2008

Style, qualité d'écriture 4/4
Originalité des situations 4/4
Description des scènes d'amour 4/4
Intérêt de l'histoire 2/4
Note Générale 4/4
Les plus : très erotique,pour les amoueux de la masturbation femminine.
les moins : trop court

en constante excitation lors de la lecture de ce livre.
les mots et situations sont très explicite.
dommage qu'il soit trop court,a quand la suite.

veritable eloge de la masturbation et du fameux eroscilliator que je n'arrive pas a trouver en france.

je me laisse complètement aller à ce plaisir fort et regulier.enfin,que je regule.je decouvre avec delice que ma maitrise de l'enginse precise.quand je sens la violence de l'orgasme s'amorcer,d'un mouvement leger du doigt,je l'abandonne pour d'autre plaisirs moins pressants.puis je reviens au point sensible.
je ne suis que vulve.

 

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