Intérêt |
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Style, qualité d'écriture |
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Note Générale |
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Les plus : texte de réhabilitation d'un partisan convaincu, style, récit court, éléments biographiques qui étayent la thèse, différenciation claire de la fessée érotique tel que J. Serguine la conçoit et la fessée punitive
les moins : le côté pointilleux du personnage lorsqu'il exige certaines culottes de certaines couleurs et de certaines matières
Une petite centaine de pages au service d'une réhabilitation : celle de la fessée. Mais pas celle à vertu pseudo-éducatrice, celle qui "corrige" les enfants. Jacques Serguine à travers son expérience évoque la fessée donnée à une femme, acte d'amour, rapprochement de deux corps, apaisement des esprits.
Trois chapitres explicitent le bien fondé de la fessée au sein d'un couple et sa nécessaire régularité à vertu thérapeutique : pas de réconciliation sur l'oreiller, jamais, mais comme il vaut mieux prévenir que guérir, la fessée a le goût d'un traitement homéopathique. J. Serguine explique jusqu'au choix de la position pour donner cette fessée, de la tenue vestimentaire idéale -culotte couvrante blanche ou noire sans matière synthétique, il raconte sa vision de la fessée, sa pratique ordinaire mais jamais banale, à tel point que chaque vendredi le tient fébrile, dans l'attente de ce moment partagé. Un livre qui fait de la fessée un réel acte d'amour.
Saveur d'un témoignage d'un partisan convaincu et convaincant.
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